le chalet des quatre au 9 aout 2007

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Sauvegarde du 10/08/2007 17:22:48

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Malice Vorkosigan a écrit:: Aylay, Guidonius, Hern et Malice venaient d’arriver. Très vite, Aylay avait remarqué une bâtisse qui semblait correspondre à leurs attentes. Une grande terrasse pour les beaux jours d’été, mais qui pour l’heure ne servirait pas, sauf peut être à un concours de bonshommes de neige, une grande salle commune, des cuisines, et des chambres dans les étages.

Ils se tenaient là, tous les quatre alignés admirant ce qui allait devenir leur taverne. Ils visitèrent l’étage, se bagarrèrent en riant pour savoir qui occuperait quelle chambre, et lesquelles seraient réservées aux clients, et déjà, Malice allait rêver sur le panorama merveilleux qui s’offrait à sa vue.

De la terrasse, le lac s’étendait en contrebas, un peu loin, lumineux malgré le soleil pale de février. En tournant la tête, un peu, on se laissait dominer par les montagnes, somptueuses dans leur blancheur immaculée.

L’air avait une saveur différente, et Malice le goûtait avec gourmandise.

Mais elle entendit à l’intérieur que l’on protestait, car elle avait laissé la grande porte de la terrasse ouverte, et le froid combattait la chaleur diffusée par la grande cheminée. Elle revint auprès de ses amis qui avaient commencé à personnaliser l’endroit. Malice alla à la cheminée, se savonna les mains devant le feu, retrouvant un peu de chaleur au bout de ses doigts. Puis elle alla aider ses compagnons à l’aménagement de la taverne.

Bien plus tard, éreintés, ils contemplaient le résultat. Fièrement ! Elle avait belle allure, leur auberge ! Le bois et la pierre s’harmonisaient à merveille autour du mobilier sculpté, des bougies, du feu ronflant, et des tentures et la grande salle semblait vous convier à rester autour d’une des tables, bavardant en riant avec des concitoyens !

Enfin, Hern et Guidonius allèrent placer dehors une pancarte provisoire, indiquant l’ouverture de leur belle taverne, sous l’œil de leurs compagnes collées l’une a l’autre, saisies par le froid. Puis tous les quatre réunis, ils jugèrent de l’allure de l’ensemble, et Malice dans les bras de Hern, retenait à grand peine son bouleversement !

- Allez mes amis, l’émotion me gagne! Si je reste ici, je vais pleurer, et si je pleure, mes larmes vont me geler aux yeux ! Ca ne sera pas pratique pour y voir et remplir les verres ! Soyons nos premiers clients ! En tant que tavernière, je vous offre un bon verre d’hydromel

Elle s’élança vivement au chaud dans la grande salle, et le temps que ses amis la rejoignent, elle était derrière le comptoir, alignant quatre verres déjà pleins de doux hydromel.

- A notre auberge ! Que notre nouvelle vie nous apporte le bonheur !

Malice Vorkosigan a écrit:: Malice s'étira dans son lit, sentant au fond d'elle un je ne sais quoi qui la faisait frémir d'impatience. Elle s'étira comme un chat, et soudain se souvint qu'elle habitait Lausanne! Elle se précipita à la fenetre, ouvrit les volets en grand, et prit en plein coeur la vue sublime qui s'étalait sous ses yeux!

Elle se prépara à toute vitesse, et descendit ouvrir la salle, propre et brillante malgré les fêtards de la veille.

Elle fit ronfler le feu dans la cheminée, et attendit le premier client de la journée, s'amusant à deviner ce qu'il voudrait consommer.

Il lui tardait de voir venir, Aylay, Hern et Guidonius, et elle espérait aussi la visite de Scarpia, Lucressia, Prospero....., touts les gens dont elle avait fait connaissance la veille!

guidonius a écrit:: Guidonius se réveilla très tot ce matin là. Ce n'était pour tant pas dans ses habitudes, mais l'excitation du nouvel environnement l'avait sorti de son sommeil. Il se leva sans faire de bruit, de peur de déranger ses amis, et descendit dans la grande salle. Malice était déjà là. Il alla vers la cheminée, mit quelques buches dedans et vint s'assoir en face de Malice

Te voila bien matinale Malice. Toi aussi tu ne pouvais plus dormir ? as-tu vu comme le lever de soleil est beau sur le lac, Vraiment cet endroit est féérique.

Il alla se chercher une boisson chaude et revint en face de Malice.

Nous avons encore beaucoup de pain sur la planche pour rendre cet endroit accueillant. Vous donnerez vos ordres avec Aylay.

J'avais pensé qu'avec Hern, nous pourrions construire une terrasse donnant sur le lac, qu'en penses-tu?

Son regard se tourna vers le lac et les montagnes en fond du paysage.

*vraiment cet endroit est idylique*

semele a écrit:: Sémélé passa pres de la taverne

bon allez il me faut un petit remontant parce qu'il fait bien froid ici quand meme dit elle en constatant toute la neige qui etait tombée du toit apres un coup de vent
de plus il ya l'air d'y avoir du monde

Sémélé entra

quel plaisir de voir un feu elle s'approcha de la cheminée avant même de regarder autour d'elle

ses mains reprenaient quelques couleurs

Elle se retourna et decouvrit une taverne pleine de charme

En effet au lieu d'avoir le mur en pierre comme d'habitude il y avait des teintures accrochées aux coloris dans les tons rouges et jaunes safran ce qui donnaient une ambaince tres chaleureuse

Sémélé se dirigea vers une table et s'assit Elle commanda un verre de liqueur de genevrier qu'elle descendit d'un coup (cul sec comme on dit)

puis decida qu'il etait tant de creer des liens elle alla parler a la taverniere… une jeune fille charmante au visage agreable

Bonjour madame ou mademoiselle je ne sais pas encore

vous etes nouvelle par ici? vous connaissez du monde?

Malice Vorkosigan a écrit:: Malice était ravie! Enfin sa première cliente de la journée! Elle commanda de la liqueur de genévrier, alors que Malice avait déjà la main sur l'hydromel. Pari perdu! La demoiselle avait un léger accent, une nuance d'accent qui l'intriga .

Mademoiselle, je ne suis pas mariée. Mais appelez moi Malice, sinon, je risque de ne pas vous répondre!! Oui, je commence à rencontrer des "colons"! Nous sommes arrivés hier, avec mes amis de Langres, en Champagne. C'est dans le Domaine Royal. Une des cinquante plus belles villes du Royaume, le saviez vous? Mais mes amis et moi avions besoin de grands espaces, et nous avons tenté l'aventure helvète! Moi qui rêve du Languedoc ou de l'Aquitaine, me voilà dans la neige jusqu'au cou!

Elle offrit le verre suivant à sa cliente.

Tenez, c'est ma tournée! Mais en échange, éclairez ma curiosité. Vous avec un tout petit accent, mais très léger... D'où vous vient il?

semele a écrit:: Merci bien pour ce petit verre

il fait tellement froid dehors que je ne sentais plus mes mains je m'excuse de ne pas etre venue vous dire bonjour tout de suite

Et bien Ravi de vous rencontrer demoiselle Malice je me presente Sémélé

j'avoue ne pas connaitre la Champagne ni meme le Languedoc ou l'Aquitaine

je ne connais que la langue d'oc que je parlais dans mon ancien village français

mon accent?

je suis Française mais j'ai vécu en Angleterre avec un homme italien (!) ce qui a dut faire un drole de mélange

Mais je suis venue seule je les laisse la bas

en disant ça Sémélé regardait vaguement par la fenetre comme si son corps etait la et son esprit ailleurs

Mais nous nous retrouverons je ne m'inquiete point pour ca je n'y pense pas je prefere me faire de nouveaux amis

hern a écrit:: Hern avait dormit comme un bébé , sans doute l'air de la montagne .Il tata le lit près de lui la place était vide, il se leva donc et après une rapide toilette se vêtit pour descendre dans la grand salle .

Dans l'escalier il reconnu la voie de sa princesse ainsi que celle de son ami Guido , mais aussi celle d'une dame qui n'était pas Aylay, tient les affaires commencent se dit il en souriant.

Les deux femmes discutaient paisiblement autour d'un verre , il faut dire que la taverne n'était guère remplie pour l'instant.

Notre première cliente Malice ?

Bienvenu en ces lieux dame Semele , mes hommages du matin.

Passant derrière bar il se prit un verre et se joignit aux dames, déposant un tendre baiser dans le cou de la tavernière de charme.

aylay a écrit:: j'étais tellement fatiguée du voyage que je mis un temps infini à faire surface .

je réalisais aussitot ou je me trouvais et je me précipitais vers la fenêtre, la vue était somptueuse, les montagnes enneigées et au loin un lac scintillant, la brume semblait vouloir se lever..

hummm.vite ils sont déja tous en bas , .je regardais le lit vide, et souris

, puis je me préparais et descendis enfin dans la salle commune de la taverne.

bonjour à tous

malice ,je vois que déja tu es à ton poste , je suis désolée j'ai fait la grac e matinée..

bonjour dame semele enchanté de vous accueillir

je m'avancais et lui tendis la main.

ce verre vous est offert , étant notre premiere cliente , n'est ce pas malice?

je crois que pour ma part,je vais plutôt m'offrir un bon chocolat

guido, ? tu désires quoi?

guidonius a écrit:: Guidonius regarda l a première cliente s'installer:

Bonjour Semele

Il fit un sourire à Semele, mais son attention fut attiré par un pas dans l'escalier.

Aylay, as tu bien dormi ma mie, je n'ai pas oser te réveiller ce matin, tu étais si belle dans ton sommeil.

J'ai déjà pris un café, mais je vais t'accompagner. Installe-toi avec nos amis, et ....Semele; notre première cliente

Guidonius se dirigea vers le bar et ramena un chocolat bien fumant à Aylay, ainsi qu'un autre café pour lui.

Tiens ma douce

Et il en profita au passage pour lui poser un baiser tendre sur la bouche.

Malice Vorkosigan a écrit:: Malice s'amusa de voir Aylay arriver, la voix un peu éraillée par la fatigue encore présente.. Elle fit un clin d'oeil à Guidonius, qui faisait bouillir du lait acheté ce matin au marché.

"C'est incroyable, ces vaches violettes, ça vous donne ce lait chocolaté, je n'en reviens pas! On devrait importer ça dans le Royaume de France. Je gage que ça aurait du succès!"

Elle sortit une bouteille d'alcool de fruits, en versa une large rasade dans le café de Guid qui semblait malade.

"Tiens, ça te soignera!"

Puis dans un gobelet, elle se versa du lait, se servit avec précaution, la timbale était soudain très chaude! Elle souffla sur le bout de ses doigts brulés, sourcils froncés. Elle découpa maladroitement quelques bonnes tranchées de pain, et une généreuse portion de beurre frais. Elle trotta jusqu'au cellier et en revint avec un plateau de fines tranches de jambon.

"Il y a de la viande en quantité, au marché, j'ai ramené de quoi nous régaler. Dame Sémélé, je suis sure qu'en Angleterre, vous n'aviez pas de charcuterie aussi appétissante! Servez vous!! Partagez notre déjeuner! Aylay, je te tartine un peu de pain, ou tu y arriveras seule, malgré ton air embrumé?"

Puis elle s'installa aux côtés de Hern, cuisse contre cuisse, sirotant le fond de chocolat chaud..Malice reporta son attention sur Sémélé, un peu chiffonnée par la petite tragédie qu'elle devinait chez sa cliente.

"Sémélé, franchement, avoir fait la route seule, je vous admire! Il fallait vraiment que la vie chez les Anglois ne vous convinsse pas pour vour échapper seule! Et votre ami italien est donc coincé la bas?Sachez que si vous vous sentez seule, vous trouverez ici des amis!"

scarpia a écrit:: Scarpia avait passé une belle journée de prières et de méditation dans sa maisonnette biscornue qui intriguait et rassurait en même temps les Lausannois.

Ca, c'en est un drôle ce gaillard-là ! un franc du billot pour sûr, et un illuminé

Il avait souri en passant devant ce couple qui se chamaillait à son sujet, et qui avait accueilli sa bénédiction avec confusion et chaleur.

Il s'était rendu à l'église Saint François, avait rencontré quelques paroissiens déçus qu'il ne puisse pas célébrer de messe.

Et maintenant, il se rendait chez les Quatre pour se désaltérer et poursuivre son oeuvre d'évangélisation et d'assistance. Il avait dans sa poche un certain anneau qu'une si charmante dame lui avait commandé, et qu'il avait réussi à forger, la veille avant le coucher du soleil. Il le lui apportait.

Il entendit les bruits joyeux d'une taverne toute simple où respirait l'amitié la plus saine et les amours les plus beaux. Il s'assit un instant sur une souche que le défrichement de la parcelle avait laissé là, et il s'abandonna à une méditation sur la communion des âmes et les perfections de la Création.

Et doucement, il s'assoupit...

semele a écrit:: Sémélé etait ravie de ne pas payer son verre

non pas parce qu'elle etait vénale! (j'en vois venir!) mais parce que sa bourse etait tristement vide

Elle fut plus ou moins présenté a differentes personnes mais elle n'arrivait pas à comprendre qui était le propriétaire… en effet tout le monde l'appellait "la 1ere cliente" (bien la premiere fois qu'elle etait 1ere en quelque chose)

ainsi elle etait la cliente de tout ce monde à la fois?

Elle se presenta à toutes les personnes qui venaient à elle mais ne retenut pas tout les noms trop de nom en si peu de temps… ça viendra avec le temps

décidement la suisse avait l'air d'être bien étrange! d'autres moeurs, d'autres habitudes… tant à découvrir et tout etait tellement different de Reading!

Malice Vorkosigan a écrit:: Il était tard, très tard, Malice dormait debout! Un ou deux derniers clients trainaient encore sur le pas de la porte, commentant âprement les programmes des candidats.

Serrant un épais chale sur ses épaules frigorifiée, elle sortit pour éteindre la lanterne sous le porche, et resta un instant les main sur les hanches la neige qui se remettait doucement à tomber, au clair de lune.

Une silhouette se découpait dans un coin, attira le regard de Amlice, qui se disait que rien n'aurait du se trouver là, en temps normal..

Elle traversa la rue en pente, glissant un peu, et s'approcha.

Oh lalaaaaaaa...

Elle se précipita vers l'homme, arriva en un joli dérapage sur la neige glacée aux genoux de l'endormi... un ivrogne? Non, un prêtre! Quoi que l'un n'empêchait pas l'autre! Mais il ne sentait pas l'homme ivre. Ce doux homme de foi était il donc malade, ou avait il été attaqué?

"Messire Scarpia? Ohh, messire Scarpia????"

Elle le secoua un peu, n'éveillant chez lui que peu de réactions! paniquant, elle traversa à nouveau la rue, se précipita dans l'auberge, interpellant Aylay et Guidonius.

"Vite, vite, messire Scarpia est endormi sous la neige, je nesais pas s'il va bien, aidez moi à le ramener! Vite!!"

Et elle fit encore une fois la traversée de la rue, n'attendant pas de voir si ses amis suivaient. A nouveau auprès du pretre, elle tenta de le réveiller, mais il semblait si engourdi!

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Guidonius entendit Malice appeler à l'aide. Messire Scarpia endormi dans la neige risquait sa vie là. Il se leva et se précipita pour l'aider à ramener l'homme au chaud dans la taverne

semele a écrit:: Sémélé vit la gentille taverniere ( mince son nom! quelle memoire courte! ca commencait par un M mais apres…) astiquer, ranger les chaises, laver… enfin elle s'affairait et Sémélé sentait qu'elle devra bientot partir

Regardant le petit fond d'alcool qui restait dans son verre tout en tournant le verre elle etait pensive

A un moment la taverniere sortit puis elle appela quelqu'un Sémélé arreta de faire tourner son fond d'alcool et regadra en direction de la porte

La taverniere et un homme (qui etait ma foi charmant!) ramenaient un homme qui semblait petrifié de froid

Le voyant Sémélé eut froid et s'approcha de la cheminée, elle installa une chaise pres du feu et dit

Installez le ici si vous le souhaitez je peux aller chercher du bois

Malice Vorkosigan a écrit:: Malice s'activait autour de Scarpia, aidée d'Aylay. Elle oterent ses vetements de dessus, manteau, écharpe, et les mirent à égoutter non loin de la cheminée. Attiré par le tapage, Hern avait compris la situation, et avait ramené une épaisse couverture dont ils entourèrent le prêtre. Malice lui amena un bol de vin chaud, épicé et odorant.

"Hern, Guidonius, ne pourriez vous pas approcher une banquette de la cheminée? Messire Scarpia s'y allongera et passera la nuit ici, au chaud. Pas question de le laisser repartir dans la nuit! Venez, messire, installez vous sur la banquette.."

Elle lui enleva le bol encore fumant des mains, le posa sur une table non loin, ajouta une couverture et des coussins sur la banquette, les tapotant pour leur donner du gonflant. Scarpia avait repris des couleurs, à la grande satisfaction de Malice..

Puis elle étouffa un énorme baillement, la journée avait été longue. Elle se saisit de la main de Hern, et cacha un autre baillement dans son épaule.

''Pardon à tous, mais la journée a été longue! Ca vous ennuie si je vous laisse fermer?"

Elle s'appuya contre Hern, fermant les yeux, se languissant du moment tout proche où elle se glisserait entre les draps réchauffés par une pierre qui avait été mise à chauffer devant la cheminée.

"Bonsoir à tous! Sémélé, à tantôt! Messire Scarpia, à demain matin! Aylay, Guidonius, bonne nuit à vous!"

Elle se laissa enlacer par le bras ferme de Hern, et ils gagnerent l'escalier qui montait aux chambres, bras dessus dessous, tendrement appuyés l'un sur l'autre...

aylay a écrit:: il était encore fort tôt lorsque j'ouvris les yeux.je me tournais un instant et sentis la présence réconfortante de guido dans le lit.

.il dormait à poings fermés..

je le regardais un instant les yeux chargés d'amour puis je sautais du lit.

je voulais voir au plus vite comment allait notre pensionnaire de dernière minute.

rapidement, je jetais un oeil par l afenêtre, le spectacle ne cessait de m'enchanter.

je souriais, nous avions eu de la chance de trouver cette batisse..

je descendis doucement , afin de ne pas réveiller celui que malice nommait prêtre.

toujours allongé sur la banquette, le dos tourné contre le mur, il semblait dormir paisiblement..

tranquillement, je me mis à préparer le feu, dans la belle cheminée.

il faudra que guido ou hern aille chercher du bois..me dis je.

j'étais encore étonnée de notre changement de vie si radical.

je n'avais à cette heure pas le moindre regret..

je mis de l'eau à chauffer. les flammes commencérent à poindre,

je ne me lassais pas de les regarder.

les premiers clients n'allaient pas tarder a arriver..

avec une joie indiscible, je jetais un oeil à la taverne auberge,

j'étais fière de ce que nous avions fait, j'esperais que nos efforts au fil du temps seraient récompensés,

et que beaucoup de gens viendraient égayer cette demeure.

j'allais dévérouiller le locquet de la porte..

et jetant un oeil par la fenêtre .

j'attendis que la troupe se lève et que notre pensionnaire sorte de son sommeil réparateur,

un bon petit déjeuner le remettrait surement vite d'aplomb.

voyant le lac au loin,je me dis q'aujourdui avec guido nous irions y faire une promenade,

je voulais le voir de plus prés , il semblait gigantesque.

guidonius a écrit:: Guidonius se réveilla en sueur. Il passa la main sur le coté du lit, il était vide. Aylay était déjà réveillée. La nuit avait été mauvaise, il était malade; surement le changement de climat l'avait affecté. Il songea à la douceur du climat de Langres, à son copain Tristant resté là bas, et tous ceux qui avaient compté pour lui, Manu, Hengst, Fredegonde, Lilas, eleo, Spock, Lea, Lali et une larme coula sur sa joue.

Il se dit en lui même: * Allons mon gaillard, tu ne va pas te laisser envahir par la nostalgie, ce n'est qu'un coup de fatigue assurément.*

Il se rappela que Aylay lui avait parlé d'une promenade au bord du lac. Surement cela lui ferait du bien. Il se débarbouilla rapidement et descendit dans la salle principale.

hern a écrit:: Quelques bruits en bas le éveillèrent , le jour était déjà un peu avancé .

A coté de lui sa princesse dormait encore , un rayon de soleil qui passait par la fenêtre venait jouer avec sa douce chevelure rousse lui donnant des teintes de feuilles à l'automne.

Il se leva doucement pour ne pas la réveiller, passa quelques minutes à la regarder dormir ,elle souriait dans son sommeil ,l'aménagement à Lausane l'ouverture de la taverne , tout cela semblait la rendre totalement heureuse.

Ils avaient tout quitter pour venir ici, mais voir ce sourire sur ses lèvres était une récompense qui valait tout cela.

Il frissonna un peu ,si le coin était magnifique il n'y faisait vraiment pas très chaud en cette saison, il jeta un oeil par la fenêtre pour contempler le lac qui paresseusement s'étalait au pied de la ville et de leur auberge.

Il se lava et se prépara rapidement et sans bruit, il fallait aller s'occuper un peu de cette taverne qui n'allait pas fonctionner toute seule.

Déposant un dernier baiser sur une épaule qui sortait gracieusement des draps,il descendit dans la grande salle.

Aylay s'activait déjà dans la pièce a ranimer le feu, il vint déposer un baiser sur sa joue.

Bonjour Aylay avez vous bien dormis?

Hein du bois d'accord je vais en chercher de suite , il ne faudrait pas effectivement avec ce froid de canard que nous en manquions.

Sortant de la taverne il alla vers la petit remise prendre la hache à fendre le bois et entrepris de débiter quelques bûches.

Une heure plus tard un peu en sueur il avait reconstituer une provision de bois qui durerait certainement jusqu'au matin.

guidonius a écrit:: Quant il arriva dans la salle, Aylay était seule avec Hern. Il jeta un coup d'oeil sur celui que Malice avait baptisé "le prêtre". Il était toujours endormi devant la cheminée. Hern était en train de nourir le feu. Il alla embrasser Aylay.

Bonjour ma douce, te voila bien matinale.

Salut Hern, déjà au travail ? tu as raison, nous avons encore du pain sur la planche, et tu es bien plus courrageux que moi

Il alla se servir une boisson chaude et vint s'assoir à coté de Aylay.

aylay a écrit:: bonjour a vous hern,et je lui rendis son baiser puis je le vis disparaitre pour la corvée de bois.

a ce moment la,guido apparut au pied de l'escalier.

a sa mine, je compris qu'il avait un vrai coup de déprime.

j eme précipitais vers lui et l'enlaçais avec amour.

.puis embrassant sa main tendrement je lui murmurais au creux de l'oreille..

viens mon amour, je connais un reméde efficace contre la nostalgie, vien s, la promenade attendra , nous avons une urgence ..

et un sourire lumineux sur le visage, , le prenant par la main, je l'entrainais en courant vers l'étage et la chambre

Malice Vorkosigan a écrit:: Malice descendait les escaliers, fort en retard, tignasse ébouriffée et oeil vitreux. La soirée de la veille avait été néfaste à son teint de jeune fille. Il faudrait inventer de la bière moins alcoolisée, ou mieux, des nuits plus longues.

Une tornade la bouscula, l'obligeant à se plaquer contre le mur.

"Mais euhhhh!!"

Aylay entrainait Guidonius vers leur chambre, sans doute très pressée de ... parler politique bien sur!

Un sourcil levé sans conviction sur le pourquoi de leur agitation, elle finit de descendre les escaliers, et arriva dans la grande salle. Scarpia dormait toujours emmitouflé dans ses couvertures, le chanceux, et Hern relançait le feu, accroupi devant le foyer de la cheminée.

Elle fit patte de velours et s'approcha sans bruit de lui. Elle lui appliqua ses mains fraiches sur les yeux, l'embrassa sur une joue, puis noua les bras autour de son cou.

"Bonjour, mon aimé.."

Une nouvelle journée commençait, et nul doute que ce serait une journée heureuse!

guidonius a écrit:: Guidonius redescendit un long moment apres. Aylay était restée dans la chambre pour faire un peu de rangement. Un large sourire de bonheur envahissait son visage.

Il alla vers le bar et prépara deux cafés, qu'il posa sur la table. Il regarda vers la fenetre. Le soleil écalirait le lac, et les sapins se reflétaient dans l'eau. Tout cela lui partu féérique.

*Une belle journée en perspective*pensat-il

aylay a écrit:: je dévalais les escaliers quatre à quatre et arrivait en riant dans la salle ..

ce petit interméde m'avait fait un bien fou,

je regardais guido du coin d e l'oeil, mon visage s'illumina, malice se retourna et me sourit aussi..

le moral semble meilleur mon amour dis je d'un voix gaie, c'est magnifique, buvons notre café et allons faire un tour au lac veux tu guido?

cela ne vous embete pas.

excuse moi malice pour tout à l'heure mais c'était une urgence , et je partis d'un éclat de rire .. bientôt rejointe par mes trois amis .

dieu que la vie me paraissait belle

scarpia a écrit:: Scarpia s'était laissé aller à quelques heures de sommeil dans le Chalet des Quatre.

Puis, il avait quitté ce doux nid d'amour en pleine nuit, afin de ne pas déranger cette belle harmonie, et de célébrer les Matines en l'Eglise St François. Il n'était pas loin de minuit.

Il avait vérifié qu'il avait bien sous sa burre le Livre des Vertus et s'était éclipsé. Il avait quelquefois trébuché dans la neige, mais il était enfin parvenu dans la maison de Dieu.

Il remercia le Seigneur d'avoir placé sur son chemin Malice et ses amis.

Elle est gaie et apparemment insouciante, tâquine et légère, mais Vous le savez bien, c'est une grande âme.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

hern a écrit:: Levé de bon matin Hern tout sourire descendit dans la salle commune pour préparer l'acceuil des clients de la journée.

Couchés tous fort tard ils n'avaient pas eut le temps de tout nettoyer , un bon coup de serpillière devenait nécessaire.

La taverne ne désemplissait pas comme nombre de celles de Lausane d'ailleurs et déjà certains habitués y venaient régulièrement discuter.Tout cela s'annonçait fort bien.

Le coup de propre terminé , il activa le feu pour faire venir dans la pièce une douce chaleur. Le tas de bois était au plus bas.

Bon vu que guido doit encore être entre les draps je vais encore devoir m'y coller.

Il sortit et passa une heure a fendre le bois de la journée.

En tous cas voilà un exercice quotidien qui me maintiendra en forme.

guidonius a écrit:: Guidonius se leva très tot ce matin là. Il regarda Aylay dormir, sereine, se prépara et descendit dans la grande salle. Tout était si calme. La brume se levait sur le lac et le paysage était féérique. Il se servit un café et le but en admirant ce paysage de rève. Il alla directement derrière le chalet pour s'occuper de Tornade, son magnifique cheval espagnol.

IL souriait interieurement, pensant aux remarques habilement faites par Aylay. Elle aimait tornade, non seulement parcequ'il était une partie de la vie de Guidonius, mais aussi parcequ'elle révait d'en avoir un à elle. Une fois bouchonné, Guidonius mit sa selle sur Tornade et parti faire un tour dans la campagne. Il apercu Hern qui fendait du bois.

Salut Hern, déjà levé toi aussi? je vais en vitesse faire un tour au village et je reviens t'aider. Nos damoiselles ont encore besoin de dormir visiblement. J'en profiterais pour ramener du pain chaud

Malice Vorkosigan a écrit:: Ce matin était un beau jour! la vie à Lausanne l'enchantait! la ville était animée, bruissait sous les rumeurs, les bruits qui couraient... Des bandits, des poètes, des marchands, des politiciens, tout ce petit monde agitait Lausanne, et une bonne humeur générale la confortait tous les jours d'avoir choisi de tenter un nouveau départ.

Elle descendit à la grande salle, contempla encore une fois le décor.. un soupir de contentement lui échappa. Le ménage avait été fait, et elle adressa un silencieux remerciement aux fées du logis qui lui avaient épargné ce labeur, puis elle mit son tablier. Le feu chantait dans la cheminée..

Hern entra dans la salle, les bras chargés de buches. Elle alla vers lui, l'aida à les entreposer non loin de l'âtre, puis elle l'embrassa.

Je crois que nous sommes prêts à ouvrir, mon amour...

aylay a écrit:: la journée avait été chargée, je ne voyais pas les heures passées.

aujourd'hui c'"etait mardi gras, et j'avais passé une grande partie de l'apres midi a faire des crépes pour mes 3 amis et aussi pour la taverne.j'étais fatiguée mais heureuse.. un pile gigantesque se profilait sous le torchon blanc qui les protégait.

je savais que ce soir , nous allions nous régaler tous les quatre et peu être que d'autres se joindraient à notre festin...

je laissais le soin à hern ou guido de trouver la boisson adéquate.

profitant d'un instant de répit, je me mis à la fenetre ,

et aperçus une silhouette familière.

.mon coeur bondit dans ma poitrine.

j'ouvris précipitamment la porte , guido revenait sur le dos de tornad e son magnifique pur sang..

un brin d'envie me vint alors,

comme j'aimerai en avoir un a moi

rendre vite lui criais je,

j'ai une surprise pour toi tu vas adorer mon coeur

guidonius a écrit:: Guidonius arriva un peu tard. Aylay l'avait entendu et était sur le pas de porte de la taverne. Il termina de mettre Tornade dans son enclos et la rejoignit à l'interieur. Il alla déposer le pain tout chaud sur le comptoir

Humm quelle bonne odeur de crepes. J'adorre ca, merci ma belle tourterelle pour cette surprise.

Il se goinffra rapidement avec une ou deux crèpes, pris aylay par la main et l'entrainat dehors, vers l'enclos de Tornde.

Moi aussi j'ai une surprise pour toi. Je trouvais ces derniers temps que Tornade s'ennuyait seul, alors je lui ai trouvé une compagne. Cette pouliche est à toi maintenant. Tu peux l'appeler comme tu veux, elle n'a pas encore de prénom. C'est mon cadeau d'installation à Lausanne.

Il prit aylay dans ses bras et l'embrassa longuement.

La Bertille a écrit:: Elle écume de rage, le fichu en bataille, le chignon aux abonnés absents, maintenue par quelques quidams qui les ont séparées, la catin et elle!

Elle gueule:

J'm'en va la crever, j'm'en va la crever! J'm'en vais l'emberlucoquer, et elle en pâtira! Mauvaiseté!!

Puis elle s'aperçoit qu'elles ont été séparées, la fielleuse et elle, et qu'elle est dans un de ces nouveaux bouges qui ont récemment ouvert. Elle finit par se calmer un peu, grommelant en écartant les hommes qui la maintiennent.

Là, c'est bon, ça va, chuis pas un chien enragé non plus!

Elle regarde autour d'elle, l'oeil critque, et renifle sa désapprobation. Tous ces nouveaux venux, c'est pas bon pour la ville, sur!

guidonius a écrit:: Guidonius vit la vieille dame rentrer, l'air hagard, completement échevellée. Il pensa en lui même *elle a pas du boire que du petit lait celle-ci. Il sourit et lui dit:

Alors ma p'tite Dame, ya quelque chose qui ne va pas? voulez-vous que l'on vous serve un petit coup de gniaule ?, ca vous requinquera ca !

aylay a écrit:: .guido et moi revenions main dans la main de l'etable ou nous avions laissé les chevaux .

j'etais encore sous le choc de la joie du magnifique cadeau qu'il m'avait fait en me donnant cete superbe jument.

.alors que nous franchssions la porte de la taverne,

nous entendimes des marmonnements incompréhensibles sortir de l a bouche d'une lauzanoise pure souche.

guido et moi nous regardames et étouffâme un rire discret

bonsoir Madame, que nous vaut l'honneur de votre visite

avez vous donc une petite soif..?

malice n'est elle pas la pour vous servir

je me présente aylay ,propriétaire de cet établissement ,; guido mon ami, la tavernère ne doit pas être loin non plus

asseyez vous donc, je vois qu evous semblez bouleversée

racontez moi donc.

je fis un signe discret à guido pour nous servir a boire et je vins m'asseoir pres de cette pétillante villageoise.

je sentais que les moments à venir allaient être des plus interessants

Anonymous a écrit:

Un petit pigeon, trés essouflé se posa prés du chalet des quatres. Une lettre était accrochée à sa patte.

Citation :: Lettre de Tristan de Fonpeyrine :

Bonjour mes amis,

Langres est bien monotone sans vous, notre bon maire est moins joyeux, il bougonne sans arrêt, moi même j'ai arrété de boire ... J'ai même accepter un poste de Sergent ! J'espère qu'il fait beau à Lausanne et que tout va pour le mieux pour vous.

Je suis un peu triste que vous soyez partis avant les baptèmes, mais j'espère que vous allez quand même vous faire baptiser.

Je vous passe à tous le Bonjour de Langres : Aylay, Malice, Guidonius, Hern ...

Pourvu que vous reveniez un jour et que les esprits changent !

M'enfin c'est votre choix, je le respecte, et je vous souhaite beaucoup de joie !

Tristan

(p.s. : Guidonius nos bonnes vieilles soirées en taverne me manque)

hern a écrit:: Une femme tenue par quelques hommes entre dans la taverne en pestant et en râlant, d'un geste brusque elle fait lâcher prise aux deux hommes, qui en haussant les épaules se dirigent vers le bar pour y prendre une bière, au moins ne seront ils pas venus pour rien.

Remontant de la cave avec un nouveau fut a mettre en perce, il entend la femme jurer et tempêter après quelqu'un qu'il ne voit pas au premier regard dans la salle.

Posant son tonneau il s'approche.

Mes hommages madame que vous arrive t'il donc pour être tant en colère, vous a t'on détroussé , volé quelque chose?

Asseyez vous , calmez vous et dites nous en quoi nous pouvons vous être utile ma brave dame.

Un pigeon arrive a cet instant ,laissant quelques instants la dame il prend connaissance du message envoyé par un bon ami Langrois.

eleonora37 a écrit:

Un pigeon connu de certain arriva portant a sa pate une lettre.

Citation :: Mon ami , mon frére

Te voila parti loin de moi avec des amis qui m'étais cher votre depart me peine on aurai au moins pu boire un verre avant votre depart.

Je ne le cache pas je vous en est voulu mais tu me connais votre bonheur m'est primordial et si celui ci est loin de moi je ne peux vous en vouloir plus longtemp.

Toi ma belle malice

on a pas eu le temp de bien se connaitre mais tu as eu mon amitié des le premier jour et je voulais que tu le sache prend soin de mon frere s'il te plait et reste une chipie et fait le tourné en bourrique il adore ça.

Chante aussi du brassens et penser a moi qui chanterai en pensant a vous.

Aylay,

Tu sais ce que je pense et comment je reagis si ta vie est mieu ailleur soit heureuse et prend soin de toi je reste ton amie meme si je n'ai pas compris.

Guido,

On a pas eu le temp non plus de faire connaissance mais je t'adore tu va me manquer et pas qu'a moi.

Mes amis voila je vous laisse prenez soin de vous .

Puisque l'ombre gagne

Puisqu'il n'est pas de montagne

Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli

Puisqu'il faut apprendre

A défaut de le comprendre

A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"

Et puisque tu penses

Comme une intime évidence

Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire

Puisque c'est ailleurs

Qu'ira mieux battre ton cœur

Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir

Puisque tu pars

Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles

Sauront t'aimer mieux que nous puisque

L'on ne peut t'aimer plus

Que la vie t'apprenne

Mais que tu restes le même

Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu

Garde cette chance

Que nous t'envions en silence

Cette force de penser que le plus beau reste à venir

Et loin de nos villes

Comme octobre l'est d'avril

Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile

Sans drame, sans larme

Pauvres et dérisoires armes

Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur

Puisque ta maison

Aujourd'hui c'est l'horizon

Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir

Mais pas trop tard

Dans ton histoire

Garde en mémoire

Notre au revoir

Puisque tu pars

Dans ton histoire

Garde en mémoire

Notre au revoir

Puisque tu pars

J'aurai pu fermer, oublier toutes ces portes

Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait

J'aurai pu donner tant d'amour et tant de force

Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez

Pas assez, pas assez, pas assez

Dans ton histoire (dans ton histoire)

Garde en mémoire (garde en mémoire)

Notre au revoir (notre au revoir)

Puisque tu pars (puisque tu pars)...

hern a écrit:: A peine le premier pigeon repartit qu'un second vient se poser près d'Hern.

Il ote le message accroché à la patte le lit avec émotion. Il prend un parchemin sa plume et rédige quelques mots.

Ma chére petite soeur adorée

Même si tu es désormais loin de moi par la distance, tu reste proche dans mon coeur.

J'y garde bien au chaud nos moments en taverne a chanter et a rire comme des moments de bonheur.

Je sais que je t'ai peiné mais je ne pouvais faire autrement que de partir au cotés de celle que j'aime .

Tu aime également je sais que tu comprendra cela.

Pensées affectueuses.

Ton frère de coeur

Hern

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

guidonius a écrit:: Deux pigeons coup sur coup venaient d'apporter des messages. Guidonius regarda Hern lire les message. Une immense émotion envahit son visage.

Hern ?? de mauvaises nouvelles?

Hern tendit les missives à Guidonius, et sortit un parchemin pour écrire. Guidonius parcouru les deux missives. Une larme commenca à couler sur sa joue.
Ah, Hern, je sais combien ils vous manquent. A moi aussi, terriblement, et je me sens un peu coupable par moment de les avoir ainsi abandonnés, mais le moyen de faire autrement ? Si seulement les esprits avaient pu se calmer un peu et la tolérence faire réfléchir. Allons, songeons à notre bonheur d'être ensemble avec nos si belles damoiselles, et buvons à tous nos bonheurs, passés avec nos amis de Langres, et futurs, ici avec nos amours

Il tendit une verre à Hern et trinqua avec lui.

hern a écrit:: La femme ronchonnait toujours a voix basse dans son coin mais visiblement s'était un peu calmer.

Il finit son message accroche celui ci a la patte du pigeon et le lance par la fenêtre pour lui faciliter l'envol.

Vous avez raison Guido , que demandez de plus que des femmes belles, intelligentes et qui nous aiment.

Portons leurs un toast l'ami.

Leve son verre .

La Bertille a écrit:

hern a écrit:: Mes hommages madame que vous arrive t'il donc pour être tant en colère, vous a t'on détroussé , volé quelque chose?

Asseyez vous , calmez vous et dites nous en quoi nous pouvons vous être utile ma brave dame.

.

Elle bougonne encore, mais le joli coeur qui lui parle la fait papillonner des yeux.

Quoi, C'est quoi qu'est dommage? Mais mon sire on m'a pas retroussée, j'vous rassure!

Elle se rajuste rapidement, faut etre correc, dans ces endroits là, que du beau linge! Puis elle zyeute le tonneau qu'il a remonté avec lui.

Mais ce s'rait un charmement que d'boire un p'tit gorgeon en vot douce compagnie, mon sire! j'ai eu ben d'l'a malaventure tout tantôt, et pour sur, fait soif! Y'a c'te garçonnière qui lorgne après mon Louis!Vicieuse!!!

Puis l'arrivée de deux pigeons la coupent dans son élan, et tant mieux ses sangs étaient pour s'échauffer à nouveau! Elle boit une lampée du verre que l'aubergiste lui a servi. Et vlà qu'un nouveau fait son entrée.. Ah, ben c'est pas mal famé, ici!

hern a écrit:: Vous avez raison Guido , que demandez de plus que des femmes belles, intelligentes et qui nous aiment.

Portons leurs un toast l'ami.

.

Ravie, elle lève son verre presque vide avec eux! Ca oui, elle est prête à les aimer! Polis et serviables, jolis garçons de surcroit, le bec sucré et tenanciers d'un estaminet pas trop vilain... En plus ils s'cachent pas d'la trouver jolie et intelligente... les hommes sans fausse pudeur, ça la secoue jusqu'au trognon d'elle meme!

jeahne a écrit:: Jeahne rentre dans l'auberge , elle a une allure garçonne et la mine fatiguée mais un sourire tranquille éclaire son visage . Une femme est assise dans un coin en train de reluquer son verre vide. Deux hommes sirotent au comptoir.

Elle s'approche elle aussi du comptoir :

- Bonjour aubergiste , auriez vous une chambre de libre pour quelques jours ? J'ai un cheval dehors qui nécessite un abri pour la nuit ? Avez vous un endroit où je pourrai le mettre durant mon séjour ?

aylay a écrit:: je revenais de la cuisine, quand je vis la lausannoise en grande conversation avec hern et guido.

elle me faisait rire en fait,

je sentais que c'était une sacré femme mais je me demandais quelle tête pouvait avoir son mari le louis..

la porte de la taverne s'ouvrit soudain et laissa le passage a un e jeune femme, avec une allure un peu garçonne,mais fort jolie. elle semblait épuisée.

bonjour Madame,entrez ,et asseyez vous

je suis aylay aubergiste, et voici guido mon compagnon et hern, notre poète et cuisinier àces heures.

nous avons des chambres pour vous sans problème et aussi un box pour votre cheval.

tenez goutez un peu de vin chaud par ce froid ,c'est notre spécialité je suis sure que cela va vous requinquer.

je souriais à la dame.

elle sembla se détendre unpeu.

hern re servez donc la dame bertille, son verre est vide,c'est un sacrilège

guidonius a écrit:: Guidonius fut le premier à voir la nouvelle arrivante.

Bien le bonjour gente damoiselle. Assyez-vous là, ces dames vont vous servir quelque chose à boire. Pour moi, je vais aller mettre votre cheval à l'écurie. Il y sera bien, en compagnie de nos chevaux.

Puis il sortit mettre le cheval de la nouvelle arrivante dans un box libre

jeahne a écrit:: Jeahne sourit devant un tel accueil :

- Je vous remercie , je resterai donc quelques jours chez vous . Hern est poête ? j'aime la compagnie des poêtes , je le suis moi même à certaines heures de ma vie .

Jeahne ébaucha un mouvement pour se lever et s'occuper de son cheval mais l'aubergiste avait été plus rapide qu'elle et était sorti pour rentrer Caboche à l'abri .

-Huumm , ce vin chaud est fort bon , ça fait du bien .....Je suis fatiguée de ma route mais je sent qu'ici je vais pouvoir prendre le repos nécessaire à la poursuite de mon chemin . Vous êtes installé depuis longtemps ici ?

guidonius a écrit:: Oui ma Damoiselle, nous sommes arrivés il y a peu de la ville de Langres. Vous êtes ici dans l'auberge des poètes et des amoureux. Vous comptez rester longtemps à Lausanne?

jeahne a écrit:: Jeahne ne put s'empecher d'ébaucher un mouvement de surprise en entendant parler de Langres :

- Langres en France ? c'est en Champagne , je crois ?

Jeahne marque un pause et reprends :

- Non je ne resterai pas longtemps à Lausanne , j'en suis bien désolée car la ville est plaisante et sera sans nulle doute fort agéable à vivre .

Jeahne finit son verre de vin chaud , ses pommettes rosissent sous l'effet du breuvage :

- Je repartirai dès que je me serai suffisamment reposée, je vais en direction de Langres , c'est étrange......., coincidence.....?.......signe du destin ? ...mais.... je ne suis pas certaine de m'y arréter .

Si vous avez des amis là bas et que ma route m'y conduit , je pourrai peut etre leur transmettre des messages . Nous en reparlerons lors de mon départ qui ne saurait tarder si vous le souhaitez

hern a écrit:: Souris en écoutant les propos de la Lausanoise, lui ressert un verre .

Tenez madame pour vous remettre de vos émotions. C'est la tournée de la maison.

Entendant la jeune femme qui vient d'entrer parler de Langres ,il se dirige vers elle.

Mes hommages madame.

Quelle coïncidence nous venons tous quatre de Langres .Nous devons y retourner sous peu pour régler quelques dernières affaires.

Si vous le désirez ce sera avec plaisir que nous voyagerons de concert.

En attendant installez vous nos chambres sont a votre disposition.

lelouis d'la bertille a écrit:: lelouis tout a coté de la taverne venait de se faire epingler au mur par une flêche lancée par la belle cavalière rencontrée un peu plus tôt.

c'est y pas dieu possible une chose pareille.

j'a failli me pisser dessus

poufiasse de toi, je t'aurai la prochaine , si je t'attrape dans une ruelle le louis va te montrer la vigueur de la suisse.

maquerelle, fous moi lecamp..

et il parvint en déchirant le col de sa chemise à se défaire de la flêche.

ses jambes tremblaient neanmoins,car la flêche était passée tout pres de son cou.

j'a bien cru ma derniere heure arrivée c'te fois

j'ai besoin d'un remontant.

sa protuberence en avait pris un coup dans l'aile, et était pour l'heure bien flasque

il ouvre à toute volée la porte de la taverne et fait irruption dans la salle remplie à grand coup d'injures et de grossieretés

morue, trainée marmone t'il dans sa barbe

bien le bonjour m'ieurs et dames

j'a besoin d'un remontant qui arrache la

et soudain il vit sa femme la bertille

ah tu es la , toi pour te chercher j'ai failli me faire tuer ,

il s'avance menacant vers la bertille surprise

et léve la main..

haaa je sais pas c'qui me retient de t'en coller une bien placée. ,

puis voyant tout les gens alentours le regarder d'un air furieux et prêt sa intervenir , il se calma et viens s'asseoir a coté de sa greluche.

hern a écrit:: Regarde l'homme entrer, débraillé, braillard et mal embouché.

Celui lève la main sur la dame , puis se ravise.

Peut être le fait que si vous portez la main sur cette dame en ma présence , vous devrez m'en répondre sur le champ.

Et cessez de brailler ainsi nous ne sommes pas à la foire et ici il n'y a nul bestiaux à vendre ou a acheter.

Peut être qu'un verre de rince cochon vous serait agréable ?

jeahne a écrit:: Jeahne remercia Hern qui venait de lui resservir un verre.

- Ce sera le dernier Messire , sinon , je vais avoir du mal à trouver le chemin de ma chambre.

C'est le moment que choisi un hurluberlu mal fagotté et braillant comme un âne pour entrer avec moult fracas dans l'auberge . Messire Hern semblait pret à en découdre mais finalement le gueulard se calma et s'assit tranquillement . Jeahne était restée sans mots dire . Elle se leva, salua ses hôtes et s'approcha de Hern .

- Quel noble geste Messire , s'approchant plus près, elle lui mumure en souriant :

Je ne suis pas certaine qu'un verre suffira à le calmer, fût il suffisament fort pour enivrer un porc !!

Sur ces mots Jeahne se retira dans sa chambre , bien heureuse d'enfin gouter le calme et le confort d'un toit si accueillant.

manu95 a écrit:

Une colombe se pose sur le rebord de la fenètre de l'auberge. De son bec en tombe un message.

Citation :: Mes cher amis

Je suis désolé de ne vous envoyer de nouvelle que maintenant, mais il faut dire que votre dépard m'on donner beaucoup de travail. et pour cause, vous êtes irremplaçable.

Mais Langres dispose d'une prévôté à nouveau fonctionnelle. Le conseil municipal tente se reforme à nouveau, mais comme toute plaie une cicatrice reste visible. Les tavernes sont bien vide depuis votre départ, moi même suis un peu déprimer par cette séparation. bien sur je fait face pour la ville, mais au fond de mon coeur, je reste certe fragile. nous allons bientot avoir du poisson, ce qui est une bonne nouvelle pour nous. en suisse, je devien que vous n'en manquerez pas.

Hern, j'ai bien reçu ton pigeons m'anonçant votre venue à langres pour les dernier détail. j'ai hâte de vous acueillir heu vous arrèter pour vous garder chez nous à nouveau. Vous serez toujour les bienvenue dans votre ville de Langres, et bientôt je compte passer vous rendre visite.

Enfin si vous venez à Langres, méfiez vous fortement du chemin entre Dijon et Langres, c'est devenu dangereux et la jusitice y est peu éfficace, Aylay le sait, mais ça à empirer, hengst et lalicorne en ont fait les frait avec un agresseur qui restera impuni.

Mes amis, Hern, guido, Aylay et malice, soyez heureux dans votre nouvelle vie, vous le méritez amplement. investissez vous pour votre ville, prévôté, conseil municipal, ou autre, car vous êtes d'une aide précieuse, et au moins je saurai que vos capacitée que vous avez utiliser jadis à langres ne seront pas gaspillé lors de votre départ.

je vous embrasse tous.

Manu95, bon maire, mais un ami avant tout.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

aylay a écrit:: alors que j'allais servir le fameux louis de la bertille pour le calmer,un pigeon se posa , sur la fenetre,
les amis, c'est manu qui nous écrit..il est visiblement inquiet pour nous si nous devons voyager.

je fis passer la lettre à hern et à guido..

je servis le louis , qui semblait un peu effondré sur sa chaise

je vous laisse un moment ,je vais faire une petite promenade avec poupette.

je réprimais unsourire, laisant guido et hern en compagnie du couple d'enfer.

heureuse de la perspective de la ballade à cheval

un grand sourire illuminait mes traits.

a plus tard et

sans regarder derriere moi de peur d'avoir un reproche de mes amis pour mon départ, je filais et pris la porte rapidement.

La Bertille a écrit:: Elle est contente, son Louis est là. Il lève la main, mais c'est l'inquiétude qui le fait parler. Le tenancier fait un peu son autoritaire, ça calme le Louis

Mais il a deviné y'a que deux choses qui peuvent calmer le Louis! Un bon coup!

Le taulier sert le Louis, alors elle tend son verre à nouveau. Elle regarde son homme, il fait le fuyant. Ahh, pour sur, il a quelque chose à cacher, le vil félon! Elle plisse les yeux, méfiante.

Dis donc, le père, c'est quoi qu'tu m'dis pas? T'as la tête d'un chat qu'a bouffé tout l'caillé!

Elle croit deviner, s'inquiète, se lève en proposant..

Mais rev'nons au mazot. J'vais t'faire un truc qui va t'calmer là où ça te gratte!

lelouis d'la bertille a écrit:: le verre fut bu par le louis en un rien de temps,mais il ne regardait pas sa bertille,

il tendit son verre à nouveau, bu sec , et se leva.

viens la bertille, on rentre chez nous, toute cette bourgeoisie y comprend pas nos b'soins,

c'est ça ma bertille, j'a b'soin de tes soins.

y a que toi qui peut me r'econforter ma biquette .

tu as manqué a ton louis, et les vaches aussi s'ont envie d'te voir.

leur mamelles sont pleines a péter comme moi

y a qu'toi qui sait les vidanger avec douceur ma bertille.

lelouis jette un oeil lubrique à sa bertille .

le louis prend sa grognasse par le bras, et l'entraine vers la sortie.

b'soir et merçi pour le coup, j'ai pas le sous là ,mais je vous enverrai quelques oeufs foi de louis.

et bras dessus bras dessous, ils disparurent dans le crépuscule naissant

jeahne a écrit:: Quand Jeahne se réveillé , le soleil était à peine levé . Elle sortit voir Caboche qui semblait avoir passé une fort bonne nuit . Elle le pansa un bon moment avec de la paille fraiche , lui donna de quoi assouvir sa faim . Puis ainsi qu'à son habitude, elle lui parla de longues minutes . L'animal ne bougeait pas , ou si peu, qu'on l'aurait cru à l'affût des mots de sa maîtresse.

Après une douce caresse sur les naseaux , Jeahne le quitta pour faire un tour en ville , il lui fallait prévoir son voyage et acheter de quoi tenir plusieurs jours . Le marché devait surement commencer à s'éveiller à cette heure.

hern a écrit:: Le couple le plus glamour de Lausanne avait quitté les lieux.

Les derniers clients avaient quittés les lieux.Hern rangea quelques peu et ferma la taverne.

Le lendemain matin aux premières heures il accomplit à nouveau la corvée de bois en pestant contre guido qui décidément restait au lit plus que de raisonnable. Enfin cet exercice n'était pas pour lui déplaire au final, il le gardait en parfaite forme physique.

Il vit descendre la jeune femme qui occupait leur chambre et qui sans même déjeuner était déjà partie en ville .

Mettant un nouveau fut en perce il s'installa pour attendre les clients de la journée.

aylay a écrit:: je descendis enfin ,dans mes bras une boule de poils.

hern malice, regardez!!

je ne vis que hern dans la salle , qui s'affairait déja .

malice n'est pas la.?

regardez j'étais tout excitée à l'idée de lui montrer la petite chienne que j'avais ramené la veille.

c'est une merveille hern, je l'appelle prune,

mais elle sera notre chienne a tous les quatre est ce que cela vous plait.?

doucement j'écartais le lainage ou je l'avais posée, c'était déja un bébe fort conséquent au vu de sa taille une fois adulte

puis je la déposais par terre et la laissais se promener afin qu'elle se fasse aux odeurs environnnantes, elle alla de suite vers hern, lui renifler les chaussures .

je me mis à rire ..

je crois qu'elle vous aime bien hern.[

hern a écrit:: Aylay venait de poser au sol une petite chienne toute jeune.

Gambadant dans la salle elle vint renifler ses bas de braies, puis en prit un bout entre ses crocs pour tirer un peu dessus jouant avec le tissus.

Et bien dites moi en voilà une nouvelle chipie, prune me dites vous Aylay?

Alors vient là Prune avant de m'avoir arraché le bas de mes vêtements .

Prenant le jeune animal sous le ventre il le soulève et l'amène à hauteur de sa figure pour l'observer, recevant immédiatement un petit coup de langue râpeux.

Oui je crois qu'elle m'aime bien vous avez raison Aylay, à moins qu'elle ne nettoie avant de manger.

Éclatant de rire il ébouriffe le poil de la jeune chienne avant de la reposer au sol.

Allez chipie fait connaissance avec les lieux.

mabel77 a écrit:: Arrivée devant l'auberge, Mabel descendit de son cheval et l'attacha près de l'abreuvoir.

L'endroit semblait animé et plaisant; elle décida d'y rester pour la nuit, de plus elle avait vu en arrivant le beau lac et le temps étant clément elle irait pécher l'après-midi même.

Elle entra dans l'auberge et vit quelques personnes rire en regardant un petit chien faire la course entre les tables, elle sourit et alla vers le comptoir

Bonjour à tous! Puis regarda la tavernière et lui dit: J'aimerais un lit pour la nuit s'il vous en reste et je prendrais une bière ainsi que de quoi manger s'il vous plait

Elle déposa ses affaires à ses pieds et s'assit sur un tabouret attendant qu'on lui apporte de quoi se restaurer.

Malice Vorkosigan a écrit:: Malice riait des facéties de la petite boule de poils, s'inquiétant un peu pour les pieds des tables et des chaises, mais bon... comment ne pas craquer!

Hern, tu iras tuer un cerf tous les jours, quand cette bete sera adulte, pour la nourrir! Je devine que ça doit devenir énorme, cette engeance, et que ça doit dévorer un curé farci de quilles à chaque repas!!

Elle regarda par dessus son épaule si messire Scarpia n'arrivait pas justement, puis se détendit en voyant qu'une cliente entrait, et ce n'atait pas un curé ami à farcir de quilles!

Bonjour, ma dame! Une bière, un repas, et une chambre! Très bien, tenez, veuillez signer le registre, et vous aurez la chambre Edelweiss, dont voilà la clé. Pour le repas, nous avons du gibier à la broche, des fèves, et du caillé de brebis à la confiture et aux noix.. Installez vous à table, ou allez dans votre chambre vous rafraichir, je vous prépare tout ça.

Et Malice se mit au travail, enjambant parfois en riant Prune qui n'avait peur de rien et gambadait aprtout.

jeahne a écrit:: Jeahne revint à l'auberge après avoir passé une bonne partie de la journée à se promener dans les rues de Lausanne .

Elle se rendit immédiatement vers l'écurie pour voir voir Caboche qui était resté la journée entière enfermé. Finalement , au lieu d'aller diner , Jeahne décida de l'emmener faire une ballade dans les environs de Lausanne . Elle l'harnacha , l'enfourcha puis se dirigea vers les portes de la ville.

mabel77 a écrit:: Elle avait prit son temps à se restaurer après être allée se rafraichir dans sa chambre plutôt coquette dailleurs.

Plus tard elle était allée pécher au lac qui était vraiment un endroit paisible.

Exténuée par le voyage et l'après-midi à la pêche, elle rentra à l'auberge et alla direstement dans sa chambre, elle voyageait depuis des jours et la seule chose qui la réjouissait à ce moment-là était le lit douillet qui l'attendait.

Elle passa devant les gens en saluant brièvement de la tête, trop fatiguée pour entamer une quelconque discussion elle monta les escaliers, ferma la porte derrière elle et s'écroula habillée sur le lit ou elle s'endormit aussitôt dans un sommeil profond après une dernière pensée remplie de tendresse pour sa fille.

aylay a écrit:: je tentais tant bien que mal de ratttraper prune, qui avait pris ses marques à present.

prune viens ici dis doucement à la petite peluche qui me regardait en courbant la tête,

malice désolée si elle te dérange, il va falloir que je trouve une ficelle pour l'attacher

je fis un signe amical a la nouvelle arrivante qui montait les escaliers.

j'espere que vous passerez une bonne nuit,

la chambre donne sur le lac, vous verrez demain matin vous ne nous quittez pas trop tot,

le spectacle est splendide.

malice, et hern, voulez vous un petit verre,histoire de trinquer,j'ai comme une petite soif..qu'est ce qui vous tente?

je souriais à la nouvelle , son visage était paisible mais fatiguée son voyage avait du être long.

soudain je bondis, prune venait de faire pipi juste devant la cheminée, , je faillis éclater de rire, heureusement hern tourné vers malice, n'avait rien vu.

saisissant un vieux bout de tissu j'épongeais vite fait ,et mis le torchon trempé sur le visage de prune, lui faisant bien comprendre qu'il ne fallait pas faire ca ici,

je l'entrainais dehors, sur le coté de la taverne, et posant le chiffon sur le sol, je la fis asseoir dessus en lui disant de faire pipi ici,

la petite boule de poil au regard rieur, me fit une oeillade,

bougea la tête de tout coté et me fila entre les jambes pour revenir se mettre derriere hern en protection..

je la suivis en courant ,j'avais envie de rire, elle était trop craquante...

alors on se le boit ce coup?

jeahne a écrit:: Après une longue chevauchée à travers la campagne vaudoise , Jeahne et Caboche revinrent en ville .Caboche dégageait quelques volutes de fumées, sa robe brillait et Jeahne avait retrouvé un teint rose et frais . Jeahne remis Caboche dans son box , lui mis à disposition un grand seau d'eau fraiche puis elle rentra à l'auberge . Ellerefermait la porte derrière elle , lorsqu'elle entendit: "alors on se le boit ce coup? "

Jeahne s'avança vers le comptoir quand elle faillit se prendre les pieds dans une boule de poil qui courait ça et là. Elle devina un museau brillant au milieu de la boule .

-Bonjour, est il possible de souper ? Et d 'avoir une chope de bière ?

hern a écrit:: Un cerf par jour tudieu ce n'est pas un chien que vous avez là Aylay, il va me vider ma production journalière de boucherie à ce compte là.

Un coup à boire bonne idée en attendant le repas .

En riant il allait servir Aylay et son ange, quand dame Jehane entra dans la taverne demandant à souper et à boire.
Bien sur bien sur que vous ferait il plaisir de manger, je me préparait à faire une bonne cote de boeuf pour les amies de Malice cela vous conviendrait il?

En attendant venez donc boire un verre avec nous ?Comment trouvez vous donc Lausanne?

Avez vous trouvé tout ce que vous vouliez pour votre prochain départ?

Prenant quatre pintes de bière bien fraîche il s'attabla avec les trois femmes.

Dites moi Aylay ou est donc passé Guido , je ne l'ai point vu de la journée?

scarpia a écrit:: Scarpia pointa son nez au Chalet des Quatre après une journée bien chargée. Pensez donc! il avait prononcé la messe à Saint François et avait ensuite assuré un service de culte à Saint Philadelphes.

Il était un peu triste d'avoir si peu vu de Lausannois, en ce jour du Très-Haut, en ces deux lieux d'Amitié aristotélicienne et de communion.

Ho la ! bien le bonjour les Quatre ! alors, hormis Aylay vous n'avez pas honoré nos églises de vos chères présences ?

aylay a écrit:: la bière est la bienvenue,je meurs de soif.

bonsoir dame jeahne..

guido?

je fronçais les sourcils,

il est parti en retraite quelques jours, il avait besoin de faire cette retraite spirituelle

vous savez bien qu'il veut se faire baptiser, il a besoin de faire le point sur sa vie presente et future.

je vais surement me faire baptiser très prochainement .

j'ai croisé le père scarpia en taverne .

j'avais l'eau à la bouche en pensant à la côte de boeuf.

hern,prune est trop petite pour l'instant pour manger un cerf,mais faite attention à vos mollets tout de même

je me mis à rire...

alors dame jeahne, lausanne vous plait elle?

soudain le père scarpia entra , la mine un peu fatiguée

venez donc vous joindr e anous monpère?

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jeahne a écrit:: Jeahne sourit sous l'avalanche de questions posées par messire Hern . Elle vient s 'assoir à la tablée avec les trois accolytes et atrappe une chope de bière qu'elle commença à siroter tranquillement .

-Une côte de boeuf , ma foi ce serait du pur plaisir Messire Hern ...j'en salive par avance ...J'aime beaucoup Lausanne , je vais regretter de partir . Je pense faire en sorte de revenir quand l'occasion se présentera et si Dieu le veut bien .

Jeahne reprends une gorgée de bière au moment où le Père Scarpia entre dans l'auberge.

-Bonsoir mon Père , Dois je comprendre que j'ai raté l'office ?

Jeahne prend un air contris

-Zut et flûte , je me suis trompée d'horaire sans doute , j'aurai du mieux me renseigner. Il faut dire que ma ballade à cheval dans la campagne m'a fait du bien, .... presqu'autant qu'une prière .

scarpia a écrit:: Un bon repas pris dans la plus belle amitié ! Le Très-Haut ne pourrait qu'approuver mes enfants!

Et Scarpia s'installa, déposa quelques pièces pour la taverne, et croqua sans manières dans la côte de boeuf bien juteuse cuite si délicatement. Il avait coeur à faire bombance après une journée vouée à tant d'activités nouvelles!

Il fronça les sourcils après quelques bouchées et observa tranquillement Jehanne.

Je crois que vous n'êtes pas prête pour votre baptême mon enfant... Galoper par monts et par vaux c'est bien beau, communier avec la nature sauvage de nos contrées incroyables est une joie à tomber les fesses sur le sol, mais assister à la messe avant d'être admise à communier bientôt, voilà qui s'iimposait à une âme en quête de sérénité... Qu'en pensez-vous belle enfant ?

hern a écrit:: Hummm hummmm l'office tudieu j'ai complètement oublié, pardonnez moi mon pére mais entre le bois à couper les fûts a remonter et les diverses taches de la taverne j'ai oublié totalement.

Puis je vous offrir une bière pour me faire pardonner cet oubli?

La pénitence n'est guère grande je vous l'accorde, mais dés que j'aurais cinq minutes je vous promet de passer vous voir.

Me mordre les mollets , Aylay allons cette petite canaille à l'air de m'adorer, je lui garderais de plus l'os de cette magnifique cote de boeuf.

Un rapide aller retour en cuisine et il revient avec un énorme cote de boeuf , huilée et recouverte de moelle prête à être grillée.

Attisant la cheminée il place la viande afin que celle ci grille point trop vite mais suffisamment pour prendre une belle couleur.

Buvons donc en attendant que cette merveille soit à point et que nous puissions nous en régaler.
En retraite Aylay pour être baptisé me dites vous, mais avec tous les péchés qu'il a commis , nous le revoyons plus pendant au moins un mois.

Tente de garder son sérieux en regardant Aylay.

Malice V. a écrit:: Malice occupée à ranger le panier des provisions faites au marché n'avait pas vu le père Scarpia entrer, mais entendit sa bonne voix, et le reproche à peine voilé. Elle sortit le nez de son panier, tenant à la main des topinambours...

Bienvenu au Chalet, mon père! Hern, voulez vous verser une bonne rasade à notre cher curé? Pour ce qui est de la messe, excusez moi, mon père... la taverne a fermé fort tard, hier au soir. Je dois avouer que ce matin, j'ai echoué à ouvrir les yeux plus de deux secondes avant une heure fort avancée.

Elle agita ses topinambours, faisant tomber de la terre des tubercules au sol.

Installez vous là, avec nous mon père, à notre table. Vous dinerez avec nous, si vous voulez bien nous faire cet honneur. Nous vous invitons avec grand plaisir! Et vous pourrez mettre à profit le repas pour me faire la morale, et je vous jure que j'arriverai au dessert totalement mortifiée! Ca vous dit?

Elle le regarde, rire aux yeux, les topinambours en goguette, mis à mal par les grands gestes qu'elle fait en parlant..

hern a écrit:: Regarde son ange se débattre avec les topinambours.

Que faites vous donc Malice , vous nous préparez un numéro de jonglerie pour agrémenter les soirées en taverne?

C'est une bonne idée , mais j'ai l'impression qu'il va vous falloir encore vous entraîner quelques peu.

Sourit en voyant les légumes qui roulent un peu partout au sol, l'un d'eux poursuivit rapidement par Prune qui semble vouloir goutter à la chose.

Malice V. a écrit:: Malice éclate de rire en voyant la petite chienne courir après le tubercule, qu'elle rattrapa, et machouilla avec vigueur, avant de recracher le tout, l'air positivement dégoutée.

Hern croyez vous qu'elle va apprendre à rapporter? Ce serait pratique, plus besoin de se baisser!

Elle se frotta le nez, y laissant une trainée de terre.

Je suis désolée Hern, je ne sais pas jongler. Et ces topinambours ne sont pas de bonne qualité, voyez, ils ont pris le gel, et se détachent de leur tige. Mais j'ai aussi des céleris raves, quelques rutabagas, et de belles carottes! Et regardez moi ces panais! Ah, si on m'avait dit un jour à Langres que je regarderais droit dans les yeux tous les rutabagas que je croiserais, histoire de savoir ce qu'ils ont dans le ventre, creux ou solide, et que je taterais du chicon plus souvent qu'à mon tour...Ca mène à tout, l'émigration!!

Elle finit de ranger ses provisions, alla récupérer le pauvre topinambour délaissé par Prune, nettoya le sol, et remisa le panier au cellier..

jeahne a écrit:: Jeahne sourit aux mots du Père Scarpia .

-Manifestement je ne suis pas la seule à avoir raté l'office mon Père, serions nous une tablée de mécréants ?

Jeahne jette un oeil brillant sur la côte de boeuf qui commence à grésiller et suinter dans l'âtre et elle reprends :

- mais je l'avoue bien volontiers mon âme s'est égarée ce matin,sans doute grisée par le regain d 'énergie que me procure l'air de Lausanne. Heureusement Aristote m'a épargné un traumatisme fessier , j'espère qu'il me pardonnera cet oubli . Je conviens que ma demande de baptême est peut être hative et qu'il me faut me rapprocher encore plus des voies de Notre Seigneur avant de recevoir ce sacrement .

hern a écrit:: Vous voilà experte en légumes de toutes sortes mon ange, je vous laisse le soin de vous occuper de leur pousse et de leur récolte , si ces travaux ne sont pas trop dur pour vous bien évidement.

Je vais voir si je trouve des recettes pour les agrémenter.

La pièce de viande grésillait dans la cheminée preuve qu'elle allait bientôt être à point.

Mes amis je pense que nous allons pouvoir nous régaler sous peu .
Allons père Scarpia ne faites pas cette tête , nous sommes des mécréants certes mais des mécréants de bonne compagnie.

Mesdames pour le vin je vous propose un rouge un peu corsé , pour accompagner notre viande, mais si certains préfèrent du blanc j'en ramène également de notre cave.

J'en ramène une de chaque allez.

Voyant Aylay grimacer.
Bon d'accord deux bouteilles de chaque.

jeahne a écrit:: Hern s'apprétant à descendre à la cave , Jeahne lui lance :

-Pour ce qui me concerne , le rouge ira fort bien , Messire Hern , tout en jetant un oeil au Père Scarpia dont le menton commençait à luire sous l'effet de la graisse de la côte de boeuf .

-Et deux bouteilles devraient amplement suffire à noyer mon chagrin de ne pouvoir être baptiser ici à Lausanne.

Puis Jeahne se tournant vers Malice :

-Je ne saurai que trop vous conseiller les beignets de topinambours madame. Un peu gras , certes , mais si délicieux ....

hern a écrit:: Il remonte avec deux bouteilles de rouges et deux de blanc.

Voilà de quoi arroser dignement cette succulente cote de boeuf.

Se saisissant du tire bouchon il ouvre sans attendre une bouteille de chaque et les déposent sur la table.

Disposant la cote sur une planche il en découpe de larges tranches qu'ils sert a toutes et tous, accompagnés de quelques légumes d'hiver.

Il remplit ensuite les verres.

Bon appétit ,régalez vous .

Levant son verre.

A lausanne à l'amitié et bien sur à l'amour.

En disant ces derniers mots il regarde avec tendresse Malice qui revient du cellier pour les rejoindre à la table en regardant avec envie la viande qui l'attend.

jeahne a écrit:: Jeahne récite un discret bénédicité :

-Bénissez, Seigneur, bénissez ce repas, ceux qui l'ont préparé et procurez du pain à ceux qui n'en ont pas. Ainsi soit-il.

avant de lever son verre avec ses hôtes, puis elle attaque avec conviction la côte de boeuf saignante .

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lelouis d'la bertille a écrit:: le louis entrouvit la porte de la taverne, avec à son bras un panier recouvert d 'un torchon.

he la messire et m'dames, comme promis foi de louis..

le louis regardait avec grand étonnement la tablée et la côte de boeuf quasi terminée sur la table,

il ne put s'empécher de reluquer les bouteilles et par la même ocasion la belle greluche , qu'il avait vu la veille.

j'vins vous porter des oeufs de nos poulettes ,tout frais sortis des troufignas ce matin.

et la bertille, ,

il se tourna vers malice , en soulevant le torchon

vous envoie un étouffe aristotélicien.

il éclate d'un gros rire bruyant et gras qui manqua de l'étouffer,.

scuse moi m'dame,c'est que la bertille y a mit tout son coeur a faire c'gateau ,avec le lait tout frais sorti des mamelles de nos vaches...

il est rud'ment bon croyez moi,foi de louis

dame malice lui servit un petit verre de rouge et dame aylay attrapa en vitesse prune qui voulait se précipiter sur les mollets du louis.

il était certain que malgré sa dégaine un peu répugnante et son parler vulgaire,c'était au moins un homme de parole.

lelouis se rendit compte qu'il ne devait pas s'attarder

il fit une courbette un peu gauche en reculant vers la porte et en se tenant la barbe toujours hirsute.

a la revoyure messire m'dames

la bertille prendra son panier quand son mal de dos la f'ra plus souffrir

et le louis disparut aussi vite qu'il était entré

jeahne a écrit:: Chers tous , je vais vous laisser , pour aller me reposer . Je vais d'abord aller m'ocupper de ma monture puis je file au lit ! Merci pour ce bon repas . Dame Malice , pouvez vous m'ouvrir un compte dans votre auberge ? Je pense que je vais rester ici plus longtemps que prévu .

Jeahne se leva et fila en direction de l'écurie.

Elle s'occupa de Caboche pendant un long moment , vérifia ses fers . Puis elle vérifia le harnachement posé à coté . Tout semblait en ordre . Elle remonta donc se coucher , non sans avoir bouclé son sac et effectuer une prière solitaire face à la fenêtre de sa chambre .

hern a écrit:: Le gâteau semblait appétissant , les oeufs finiraient sûrement des le lendemain midi en omelette.

Hern sourit en voyant Aylay rattraper Prune qui comme une flèche filait vers les bas de chausses du bonhomme.

Celui ci s'éclipsa sans trop demandé son reste , inhabituel chez celui qui semblait d'une effronterie a toute épreuve.

La soirée était bien avancée , déjà dame Jehanne prenais congés , il était temps de fermer la taverne et d'aller se coucher.

Bonne nuit dame Jehanne reposez vous bien.

Un peu fatigué il fit une rapide remise en ordre de la taverne avant de prendre tendrement Malice par la taille , un sourire un baiser et il lui glisse à l'oreille.

Il est grand temps mon amour d'aller à notre tour rejoindre notre chambre.

Se tournant vers Aylay et Guido qui venait d'arriver il les salua de la main.

Bonne nuit mes amis à demain .

jeahne a écrit:: Jeahne se leva matin . Elle descendit dans la salle commune alors que le jour se levait à peine . Elle laissa sur le comptoir de quoi régler sa note de la semaine puis elle sortit harnacher Caboche qui frémissait déjà , devinant qu'ils allaient reprendre la route ensemble.

Jeahne enfourcha sa monture et la diriga à pas tranquille vers la cathédrale; Elle s'y arréta , attacha Caboche non loin de la lourde porte .

aylay a écrit:

une pancarte était apposée sur la barriere.

Citation :: retour sous peu

entrez donc vous mettre au chaud

et faite comme chez vous

en attendant

La Bertille a écrit:: Bertille revenait rapidement du marché, panier au bras, tablier propre et fichu de belle couleur sur la tête. Ah, elle l'aimait son Louis, pour être allée lui chercher à la nuit tombée une racine de gingembre, afin d'épicer la sauce au poivre qui napperait leur pièce de viande! Mais elle avait froid, et s'en jeter un petit derrière la luette ne lui aurait pas déplu plus que ça.

Devant le Chalet, elle remarqua un gribouillis. Elle plissa les yeux pour lire, enfin, pour faire semblant. Personne ne lui avait jamais appris. Prend un air de compréhension.

Peste,ça m'a l'air important! Faut que j'rentre voir ça!

Elle ouvre la porte qui ne lui résiste pas, entre dans l'auberge fraiche, le feu est éteint.

C'est pas des rapiats, ça, qui vous zy ouvrent leur bouge et vous zy mettent pas une buche dans le foyer! Tavernier, un ptit kil!!

Comme personne ne répond, et que rien ne se fait entendre à l'étage, elle regarde un peu partout autour d'elle.

Mais qu'y sont où? Ahh, bah si qu'elle est ouverte, cte porte, c'est quon peut consommer!

Passe derrière le bar, débouche une bouteille d'hydromel, va pour attraper un verre, puis se ravise.. Sent au goulot l'odeur dans la bouteille qu'elle porte à sa bouche, avale une longue lampée.

Ah, bé y savent vivre, ici!

Elle boit encore quelques longues rasades, rote de satisfaction, regarde le fond de la bouteille, décide de terminer, pour ce qu'il reste..

Ahh,ben l'é vide cte boutanche; J'l'embarque, faudrait pas qu'elle s'casse toute vide comme elle est!!

Elle beugle en sortant:

Merci ben, m'sieurs dames, j'repasse demain pour le paiement!!

jeahne a écrit:: Jeahne s'approchait de l'auberge quand à sa grande surprise elle en vit sortir la Bertille qui parlait semble t il toute seule .

Jeahne l'interpelle avec le sourire :

-Bonjour , vous semblez sortir de l'auberge , je croyais qu'elle était fermée . Quelqu'un est revenu ouvrir ?

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Conception a écrit:: Accompagnée de Silenoz qui allait lui offrir une bonne pinte à rabord, Conception arriva comme une fleur dans l'auberge, même s'il n'y avait pratiquemment... personne! Qu'à cela n'tienne, l'appel d'la bibine était plus forte que tout.

La Pontissalienne se posa confortablement sur une chaise, etattendait qu'le borgne commande pour eux deux.

Anonymous a écrit:: Silenoz entra en compagnie de dame Conception dans la taverne. Balayant la salle du regard, il ne vit personne. Il aida la dame à s'installer en lui tirant la chaise. Puis il se dirigea vers le comptoir...

Il y a quelqu'un? Tavernière!......

Les mots du borgne retentirent dans le vide...

Une taverne déserte, il ne doit pas rester grand chose à boire...

Soudain, il aperçu une bouteille qui traînait dans un coin...

Ah! De la fée verte...

Il s'en saisit et attrapa deux chopines qu'il dépoussiéra promptement. Il déposa quelques écus sur le comptoir avant de rejoindre dame Conception. Silenoz versa le liquide verdâtre dans les chopes...

A votre bonne santé !

jeahne a écrit:: Sans réponse de la Bertille , et voyant deux personnes rentrer dans l'auberge , Jeahne se dit que finalement elle devait bien être ouverte. Elle emmena donc Caboche dans l'écurie qu'il connaissait déjà .Pendant un bon moment , Jeahne s'occuppa de lui puis finalement son sac sur le dos elle entra dans l'auberge .

-Bien le bonjour , messieurs dames

Il y avait bien un homme et une femme assis en train de siroter mais l'auberge semblait bien vide par ailleurs .

Jeahne posa son sac en bas de l'escalier qui menait aux chambrées puis elle s 'approcha du comptoir . Il était net et bien rangé, juste un ou deux verres qui étaient restés là en attente d'être remplis .

Jeahne fit le tour du comptoir , farfouilla un peu dans les rayonnages et les placards et finit par dénicher une bouteille de bière qu'elle prit avec une chopine.

S'adressant aux deux buveurs , ell leur lança avec un sourire

-à votre santé !

Puis elle alla s'assoir à une table aprsè avoir sorti un bon morceau de pain de son sac . Elle se mit a siroter tout en se rassasiant . Le journal des rumeurs trainait sur la table , il était vieux de quelques jours mais Jeahne le parcouru avec plaisir.

Anonymous a écrit:: Assit en buvant son absinthe, Silenoz eu une curieuse impression. Une taverne vide, délaissée... Une dame qu'il ne connaissait que depuis peut, une seconde qui les observaient en dégustant une bière... Etrange... Le borgne troublé se surprit à avoir quelques frissons. Le paysan continua de boire en silence, le regard méfiant...

jeahne a écrit:: Une fois le journal terminé , Jeahne leva les yeux en direction des deux autres clients de l'auberge et constata qu'ils n'étaient pas très bavards , le borgne ne semblait pas vraiment à l'aise . Jeahne se leva et s'approcha de l'âtre qui était vide et froid .

Accroupie devant la cheminée , elle se retourna vers les clients:

- Vous logez ici ? Moi j'ai une chambre ici depuis une bonne semaine . Les patrons sont absents mais ils ne devraient pas tarder à rentrer . Ca vous tente une petite flambée ?

Conception a écrit:: Un mot, un seul... flambée, et Conception revint à la réalité (oui, dur de mener une vie avec la tête dans la lune.. )!!!

Oups, excusez ma distraction, mais l'verre était si bon...

Elle faisait des glouglous et des sluuuuuurp pour renforcer ce sentiment de délectation.

Ah, ahem... oui... :mrgreen: Santé, bonjour, santé !^^

je profite un peu de cette jolie ville avant de reprendre l'chemin. Mais, par un heureux hasard, m'sieur que v'là a vu sa carriole se renverser dans la rue où je flânais, et ainsi, nous voilà ici, à siroter tranquilou nos bibines...

Mais est-ce une hallucination de mon esprit embué, ou bien avez-vous parlé de flambée??????? Chez moi, très très loin d'ici, on flambe l'armagnac en avalant allègrement du pruneau (pour les fins amateurs)... Bon, j'vous dis pas l'engrais qu'ces 'tits fruits offre aux fleurs du jardin!^^

Mais c'est dé-li-cieux!

Alors??? Cette flambée?

Anonymous a écrit:: Silenoz vu l’inconnue s’approchée de la cheminée. Il répondit favorablement à sa question en hochant la tête. L'atmosphère lugubre de la taverne ne le rassurait point. Seulement quelques bougies éclairaient les lieux. Peut-être qu'un feu réchaufferait l'atmosphère...

Mais ce qu'il redoutait, c'était ces damoiselles qui l'entourait. Qui étaient elles? Si il était tombé dans un traquenard, il ne pourrait se défendre. De l'une, il n'était pas armé. De l'autre, il ne se résoudrait pas à frapper à une dame, même si sa vie était menacée. Observant du coin de l'oeil, l'inconnue préparer le feu, Silenoz devenait de plus en plus anxieux. Pas un bruit ne peuplait ces lieux, hormis celui du bois qui commençait à crépiter sous les premières flammes...

jeahne a écrit:: Finalement la femme répondit à Jeahne qui se mit à faire du feu dans la cheminée . Au bout de quelques instants les flammes crépitèrent et une douce tièdeur envahit les lieux .

-Moi c'est Jeahne , je suis arrivée il n'y a pas très longtemps à Lausanne et je m'y plait bien , mais c'est pas dit que je reste . J'ai la bougeotte moi aussi .

Jeahne lorgnait du coin de l'oeil le triste sire qui ne pipait mot et paraissait de plus en plus méfiant .

- et vous Messire , votre carriole , pas trop de casse ?

L'homme semblait maintenant carrément paniqué, son oeil unique roulait comme une bille prise de vertige . Jeahne d'une voix douce lui dit :

-ça ne va pas Messire ? un souci ?

Anonymous a écrit:: Le borgne sentait son coeur palpiter. Que lui arrivait-il? Quel mal le rongeait? Sentant la panique l'envahir, il eut le réflexe d'attraper sa chope encore pleine. Il avala le liquide vert quelle contenait d'une seul traite...

Ah! ça va mieux...

Silenoz esquissa un sourire aux questions de dame Jeahne...

Sans doute le contre coup de l'accident... J'ai fais une jolie casccade...

Le paysan remplit à nouveau sa chopine d'absinthe...

Trinquons! A la vie et à ses surprises. Aussi insolites soit-elles...

Conception a écrit:: Aussitôt dit, aussitôt fait, Conception trinqua avec le borgne et la jolie jeune femme.

Veuillez m'excuser, je dois vous laisser là, mais sachez que j'ai passé un agréable moment en votre compagnie. A une prochaine fois!

Elle fila...

jeahne a écrit:: Jeahne trinqua aussi et salua la jeune femme qui partait .

-Au revoir, peut être à une prochaine fois et bonne route

Puis Jeahne retourna près du feu pour le tisonner, elle rajouta une grosse bûche . Quelques escarbilles volèrent ça et là. Le silence régnait de nouveau sur l'auberge .

Anonymous a écrit:: Silenoz s'inclina et souhaita bonne route. Puis il s'adressa à la damoiselle...

Si j'ai bien compris, vous résidez en ces lieux... Ne trouvez pas étrange qu'il n'y ai aussi peut de passage? Qui plus est dans une taverne...

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Le Valet dévoué a écrit:: Le valet encore sous le choc de la nouvelle qu'il venait d'apprendre, se dit que decidement, les lausannois etaient comme les autres des moutons.

il vit une taverne, ce n'etait pas dans ses habitudes de frequenter ses lieux de perdition, mais il lui fallait un verre d'alcool bien fort, pour accuser le coup.

il poussa la porte de l'etablissement, et se rapprocha du comptoir.

jeahne a écrit:: Le borgne sembla se détendre soudain et Jeahne s'empressa de lui répondre :

-Oui messire je loue une chambre ici, car il s'agit d'une auberge et non d'une taverne . Mais les propriétaires sont en voyage actuellement et cela explique sans doute le peu de passage , tout le monde a cru l'auberge fermée . Cependant nos hôtes ont eu la bonne idée de laisser la porte ouverte à ceux qui souhaitaient le gite et le couvert , ils rentrent en principe très bientôt. Demain peut être.

Soudain un personnage rentre dans l'auberge et se présente au comptoir, l'air abattu voire accablé .

aylay a écrit:: je pris le temps d'amener poupette à l'écurie,de la defaire de la selle, je la pansais un long moment.

elle avait bien mérité quelques attentions.

.je savais qu'il me faudrait aller très vite à l'auberge,les provision s devaient être au plus bas,

notre absence avait été longue,trop longue , lausanne et notre chalet m'avait manqués cruellement.

mais je voulais dans un premier temps me recueuillir à la cathédrale, afin de remercier le très haut de nous avoir accorder unn excellent voyage,

hern et malice étaient un peu en arrière mais ils n'allaient pas tarder.

.peut être après la prêche seraient ils là eux aussi.

j'esperais que l'auberge ne soit pas vite, peut etre jeahne avait elle repris sa place..

une heure de plus ou de moins n'etait pas bien grave a prèsent, l'auberge attendrait un peu..

prune ma petite chienne adorable se coucha dans un vieux panier à coté de poupette,

je sentais bien que ce long voyage l'avait un peu perturbée ,elle était si petite encore,je la regardais avec tendresse unisntant alors que ses yeux lentement se fermaient.

puis je courus presque vers la cathédrale, ne voulant pas manquer la messe.

guidonius a écrit:: Guidonius venait à peine de mettre Tornade dans son box qu'il entendit sonner la messe. Il ne prit même pas le temps de ranger ses affaires et prit la direction de l'église.

Vite Aylay, la messe va commecer, il ne s'agirait pas d'arriver en retard dès notre retour.

jeahne a écrit:: Jeahne avait finalement rejoint sa chambre après avoir passé la soirée en compagnie du borgne .Le lendemain matin elle se leva prestement pour aller à la messe et également au bureau du cadastre pour y trouver un logis bien à elle.

Elle était contente de savoir que Malice , Aylay , Hern et Guidonius allaient probablement rentrer dans la journée . Enfin l'auberge et la ville retrouveraient un peu d'animation.

Après être aller voir son cheval dans l'écurie elle se rendit à la cathédrale, craignant une fois de plus d'être en retard

Le Valet dévoué a écrit:: alors qu'il etait en pleine reverie, le valet s'apreçu vite qu'il avait été laissé seul comme un chien.

-Arfffffffff que pouvais attendre d'un tel etablissement, decidement, pas moyen de demenager dans une capitale, faudra toujours se contenter de village de geux sans education...remarque ça m'etonnes pas de ma maitresse qu'on atterisse dans ce genre de village...qui se ressemble, s'assemble.

il etait assis et ne savait que faire...rester sortir...

Anonymous a écrit:: Le borgne s'était endormit près de sa bouteille d'absinthe vide. Il fut tiré de son sommeil par les dires d'un homme qui ronchonnait. L'esprit embrumé par l'alcool, la gorge sèche, il se dirigea vers le comptoir à la recherche d'une autre bouteille. Au passage il croisa l'inconnu...

Et bien mon brave, on a une petite soif? Qu'est-ce que vous buvez?

guidonius a écrit:: Après la messe, Guidonius et Aylay étaient rentrés rapidement pour ranger leurs affaires. Ils étaient montés dans leur chambre dirrectement par l'escalier de service. En redescendant Guidonius vit du monde dans la grande salle. Il y avait là Silgenord et un personnage qu'il avait vu sur le marché une fois ou deux, et qui était le valet de lamairesse Elisa.

Bonjour Messire Silgenord, content de voir enfin une t^te de Lausanne. Notre ville nous a bien manquée ces derniers temps, et ses habitants aussi.

Puis il se dirigea vers l'autre occupant.

Bien le bonjour monsieur, je vois que vous n'avez pas hésité à entrer. C'est bien. Soyez le bienvenu dans notre auberge. Vous êtes le majordomme de Dame elise si je ne m'abuse, et votre verre semble bien vide. Tenez, je vous sert un petit verrre de Genepi, offert par la maison en cadeau de bienvenu.

Il attrappa la bouteille dans la réserve spéciale et en servit un verre au valet ainsi qu'à Silgenord.Puis il retourna derrière le bar, prit un chiffon et commença à donner un petit coup de nettoyage

jeahne a écrit:: Sachant que les "Quatre "devaient arriver sous peu , Jeahne repassa à l'auberge après être aller chercher les clefs de sa nouvelle demeure . Elle voulait aussi en informer ses hôtes.

En arrivant à l'auberge elle s'arréta d'abord au box de Caboche qu'elle n'avait pas pris le temps de sortir de toute la journée . Elle lui parla quelques minutes , lui remplit de nouveau la mangeoire de fourrage, remis de l'eau bien fraiche dans son seau puis elle retourna à l'auberge. En entrant elle eut la surprise de voir Guidonius affairé un chiffon à la main . En souriant elle lui dit:

-bonsoir messire Guidonius, vous voilà donc bien occupé . L'auberge aurait elle eut le temps de crouler sous la poussière depuis votre départ ?Je suis confuse , j'ai pensé à faire un peu de feu, hier soir mais pas le ménage ....

guidonius a écrit:: Bonjour Jeahne, merci pour le feu. Ca fait du bien d'arriver chez soi et d'y trouver une douce chaleur apres tant de jours de voyages. Je suis ravi de voir que tu es arrivée sans encombre. Tiens, viens prendre un verre avec nous tous.

Il prit un verre derrière le bar, le rempli de génépi et vint le donner à Jeahne.

Alors Jeahne, comme ça tu as rencontré mon ami Manu, le maire de Langres? un bien beau et bien charmant garçon tu ne trouves pas?

Guidonius regarda Jeahne, et lui fit un petit sourire.

jeahne a écrit:: Jeahne sourit aux propos de Guidonius et accepta bien volontiers son verre de génepi.

Elle s'installa au comptoir:

-Oui Guidonius, j'ai fait la connaissance de Manu ...nous allons être amené à nous revoir souvent je crois .C'est vrai qu'il est charmant mais je ne le connais pas bien , il a l'air fort occupé à Langres.

et vous votre voyage ? bien passé ?

guidonius a écrit:: Oui Jeahne, un bon voyage. Nous avons juste perdu en route Malice, donc Hern et elle arrivent demain. Ce petit voyage à Langres m'a fait plaisir, j'ai pu revoir mes amis, mais Lausanne me manquait un peu finalement

jeahne a écrit:: Jeahne sourit aux propos de Guidonius:

- Malice s'est encore perdue ? décidemment ...A moins que ce ne soit le retard accumulé depuis le voyage aller ? .

Ha tiens j'ai une nouvelle , j'ai une maison place saint François , ce n'est pas très loin d 'ici , au numéro 5 . mais je continuerai de venir ici souvent je pense ! Au moins ici, on rencontre un peu de monde , c'est pas comme en ville . Pendant votre absence je suis passée à la seule taverne de Lausanne , et bien il n'y avait personne, pas même un tenancier , et pourtant , c'est pas faute d'avoir patienté

Puis Jeahne se penche et murmure à Guidonius :

- et je me fais baptiser demain, ...au Temple, chapelle saint Michel . Tu pourrais peut être passer , ça me fera plaisir .

guidonius a écrit:: Guidonius fit un peiti sourire à Jeahne.

Désolée Jeahne, nous avons été absent et tu as du trouver notre taverne bien morne. Malice et Hern ne devraient plus trop tarder maintenant, leur retard est infime, et je sais qu'il leur tarde d'arriver à Lausanne. Malice est très attachée à notre nouvelle ville vois-tu.

Je suis ravi de voir que tu t'es trouvée une maisonnette. Dès que Aylay est rentré de voyage, nous passerons te faire une petite visite c'est romis. Mais si tu as besoin d'un coup de main pour t'aider à la nettoyer et l'aménager, n'hésites pas, tu sais qu'on peut t'aider.

Puis il lui chuchotta à l'oreille:

Je vais essayer de passer, mais demain j'ai beaucoup de travail à faire. Mon baptème est pour jeudi, viens y faire un tour ca me fera plaisir, et tu y croisera quelqu'un que tu connais et qui n'est pas resté insensible à tes charmes

Il lui fit un petit sourire entendu, et alla chercher une bouteille derrière le bar, pour arroser ces bonnes nouvelles

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jeahne a écrit:: Jeahne leva les sourcils aux propos de Guidonius :

-Jeudi ? ici à Lausanne .......tu te fais baptiser ? je viendrai , pas de souci dit Jeahne avec un grand sourire et l'oeil malicieux

Voyant revenir Guido une bouteille à la main, elle prit deux verres sur le comptoir et les posa sur une table puis elle approcha deux chaises

-tu as raison , fêtons ça !

guidonius a écrit:: Guidonius versa a boire à Jeahne, puis il prit son verre et trinqua avec elle.

Oui Jeahne, je voulais que ce soit le père Scarpia qui me baptise.... Trinquons donc à nos baptèmes et aux bonheurs qui suivront

Guidonius lui fit un sourire complice et cliqua son verre sur le sien

Malice V. a écrit:: A l'approche de Lausanne, Malice n'avait pu s'empecher de lancer Baccarat au grand galop, mettant Hern au défi de la rattraper, ce qu'il avait réussi sans difficulté. C'est en riant qu'elle franchit les portes de sa ville, folle de joie d'être enfin rentrée après avoir fait perdre un temps fou à tout le monde en se perdant deux fois!

Elle mena de suite Baccarat aux écuries, prit grand soin de sa fidèle jument, embrassa prestement Hern, et fila à la cathédrale..

A son retour, elle regarda le Chalet grossir à mesure qu'elle s'en approchait, voyant les les fenetres ouvertes des bribes du décor qu'elle aimait tant.

Enfin, enfin elle franchit la porte avec un soupir heureux, et s'arrêta, regardant tout autour d'elle, notant les détails , saisie de la chaleur qui régnait grace au feu qui flambait dans l'âtre.

Guidonius et Jeahne partageaient un verre en devisant paisiblement, elle se dirigea vers eux, ravie de les retrouver et les salua.

Bonjour, mes amis! Ca y est, nous voilà de retour!! Quel bonheur! J'ai cru que ça n'en finirait jamais, à force de m'égarer! En tout cas, Langres et ses bonnes dames, c'est bel et bien fini pour moi, je raye cette ville de ma carte avec bonheur! J'ai eu la sensation d'etre en prison tout le temps là bas, d'etre épiée, jugée.. arggh, je déteste ça! Hélas, Eleo me manquera!

Elle s'installa avec eux, se servit un verre, et le sirota avec délices.

Quel bonheur d'être chez soi..

Elle s'affala dans les coussins, déjà ivre de bien être, saoule de l'air des montagnes éclatantes..

Hern ne devrait pas tarder, je pense.. Il a du aller se laver de la crasse du voyage, non? Je ferai de même dans un moment, pour l'instant ,je goûte trop le plaisir de retrouver ma maison!!

hern a écrit:: Hern avait installé son cheval à l'écurie ,elle avait voulut aller faire un tour à la cathédrale sûrement pour voir le père Scarpia.

Il en avait profité pour flâner un peu dans Lausanne pour voir les éventuels changements qui auraient put intervenir, mais en fait les choses étaient comme ils les avaient laissés à leur départ.

Entrant dans l'auberge un bon feu crépitait dans la cheminée, guido s'en était occupé.

Il était d'ailleurs en train de discuter avec sa princesse et Jeahne, il s'approcha d'eux.

Bonjour guido , mes hommages dame Jeahne ravit de vous revoir, Lausanne et nos amis nous manquaient.Mais nous voilà de retour et pas près de bouger.

Prenant Malice par la taille il dépose un baiser dans son cou.

Mon ange nous ne sommes guère présentables, tout couvert de la poussière de la route, je crois qu'un brin de toilette s'impose.

Je monte faire chauffer de l'eau pour un petit bain bien chaud , cela te fera le plus grand bien et à moi aussi.

A tout à l'heure mes amis

jeahne a écrit:: Alors qu'elle trinquait avec Guidonius , Jeahne vit arriver Malice qui manifestement fatiguée par la route s'affala bien vite sur quelques coussins disposés sur les banc ça et là, non sans avoir trinquer auparavant avec eux ! . Quelques instant après, ce fut au tour de Hern d'arriver :

- haa vous voilà , ça fait plaisir de vous revoir tous . il ne manque plus que Dame Aylay. Elle doit être en ville .

Et bien je vais vous laisser retrouver vos quartiers tranquillement . Je m'en vais m'occuper des miens , il faut que je songe à aménager ma nouvelle demeure .Je vous laisse mon cheval en pension tant que je n'ai pas correctement aménagé.

Bonne soirée à tous

Sur ces paroles Jeahne salua ses amis et les quitta

manu95 a écrit:

Un pigeon entre dans la taverne et se pose devant guido à sa patte pend un message.

Citation :: Mon amis, mon dépard pour votre ville est iminente. si mes calcul sont exact tu recevra mon pigeon le jour de mon election. d'ailleur je devinne aisément prochainement voir le tien excrémenter aisément devant mon bol de soupelette.

Donc je suis prèt à partir à lausanne pour ton baptème. Je pense pas mettre trop de temps, d'ailleur ai je le choix! mes fonction me permettent pas une longue absence, enfin c'est bientot fini. J'ai vraiment hate de vous revoir, toute votre petite troupe, et puis une autre personne, mais tu doit t'en douter un peu mon ami. au fait pense à me réserver une suite royale. Ah enfin je pratique toujour la fessé donc veille à ce qu'elle soit vraiment royale. A très bientot mon fère.

Manu

guidonius a écrit:: Guidonius vit arriver le pigeon devant lui. Il détacha le message qui était à sa patte et le lut. Il sourit en voyant le mot de son copain manu.

Il pensa intérieurement:

Super, ca c'est une bonne nouvelle. T'inquiete pas mon ami, je vais te la mittonner moi, ta chambrette;; au petits oignons que tu vas être

hern a écrit:: Redescendant pour dîner il vit guido penché sur un parchemin.

Des nouvelles mon ami , j'espère quelles sont bonnes, car en ce moment Lausanne n'est pas très gaie avec les décès que nous venons de subir.

Guido lui tend le parchemin un grand sourire aux lèvres ,il est fort à parier que celle ci ne l'est pas.

Tient donc Manu nous rend visite , tudieu il laisse un peu la mairie il doit être motivé .

Rajoutant quelques bûches dans le feu pour la soirée, il prépare la grille pour y faire cuire les poissons péchés hier dans le lac.

Ce soit je vous fait du sandre au fenouil grillé vous m'en direz des nouvelles.

guidonius a écrit:: En entendant la suggestion de menu pour le soir, Guidonius esquissa un sourire à Hern.

Ah, Hern tu as raison. Cela nous fera du bien, un bon poisson mitonné par tes soins. J'avoue ne pas trop avoir le moral ce soir. Entre l'absence de Aylay, ce duel stupide qui m'a fortement aggacé et la grave maladie d'Arascar, rien que des mauvaises nouvelles. Heureusement, l'arrivée de Manu va mettre un peu d'ambiance ici.

manu95 a écrit:: La porte de l'auberge s'ouvre. Sur le seuil, Un homme, grelottant et fatiguer entre. du regard il parcour la salle et pose son baluchon à même le sol afin de soulager ses épaules0. Du chemin il en as fait. à cheval 2 jour et 2 nuit de route, ne s'étant accorder qu'une maigre pose. La faim le tenaille, et le someil aussi. mais derrière ce visage épuisé se distingue un grand sourire.

Bonsoir mes amis!!!! fait pas bien chaut dans votre pays. j'espère que le vin chaud est toujour aussi bien préparé par Aylay .

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

hern a écrit:: Un homme entre laissant passer avec lui un courant d'air frais, Hern se dit qu'il ne serait pas du luxe pour conserver la chaleur des lieux de mettre une petite entrée avec une double porte à cette taverne.

Il lève les yeux de sa tache et reconnait Manu , le maire de Langres

Manu comment va l'ami, heureux de te voir ici, Guido t'attend avec impatience pour son baptême.

Aylay est partis quelques jours en recueillement chez les nones, mais tu la verra peut être avant ton départ elle revient sous peu.

En attendant je te prépare un vin chaud spécial grand froid , cela va te réchauffer l'intérieur.

Installe toi et raconte nous quelles sont les nouvelles de Langres? Toujours assiégée par ces brigands qui en veulent à ses caisses?

eleonora37 a écrit:

Un pigeon vint se deposer sur l'epaule de hern.

Citation :: Mon frere mes amis,

J'ai entendu dire que mon cher Guido ce baptise sans me le dire mais bon je n'aurai pu etre la comme vous le savez je prepare mon voyage de noce une merveilleuse senteur s'offre a moi celle de la liberté et de l'aventure je ne sais quand nous nous reverons alors je vous souhaite plein de bonheur bravo Guido et quand a vous les fiancés oubliez pas de m'inviter a toutes les festivité

Je vous embrasse

votre éléonora

guidonius a écrit:: Tout le monde s'était retrouvé à l'église pour le baptème. Il s'était bien passé, malgré des absences qui avaient peiné Guidonius. Ils revinrent tous à l'auberge pour commencer la fiesta. Giodonius alla prendre la barrique de vin dans la réserve et pris le cochon de lait qu'il avait préparé et le mit sur la table.

Allez, mes amis, apres le spirituel, un peut de matériel ne nous fera pas de mal. Faisons bombance, nous l'avons bien mérité, et trinquons à tous nos amis qui n'ont pu venir.

jeahne a écrit:: Finalement tous les accolytes avaient suivis Guidonius à la taverne .

Celui ci s'empressa d'aller chercher de quoi sustenter l'appétit de ses amis .

- tu veux de l'aide Guido ? Quoi que ..... découper la cochonaille , ce n'est pas trop mon truc dit Jeahne en riant non seulement je risquerai de me blesser mais aussi de découper une rondelle de convive. Par contre , je peux servir à boire si tu veux

Soudain Jeahne pense à quelque chose , elle s'approche de Guido et lui murmure discrètement :

Dis moi ? as tu convié le Père Scarpia ? Ceci dit , il doit avoir une autre cérémonie demain matin , sans doute est il déjà allé se coucher .

Bon allez , je sers qui ?

Elystra a écrit:: Elystra avait suivi le groupe de joyeux luron de prêt, elle avait besoin de détente entre amie avant le grand jour J. Au son du vin, elle s'approcha de Jeahne.

Moi j'en veux s'il te plait! Un petit remontant en attendant demain. Un toast devrait être fait je pense.

guidonius a écrit:: Guidonius s'approcha de Jeahne:

Allez Jeahne, commence à servir. Les autres invités ne devraient pas tarder à arriver. Nous ferons un toast lorsqu'ils seront là.

Puis, se tournant vers Elystra:

Allez, Elystra, donnes-toi du courage, mais n'abuses pas trop, une future mariée se doit d'arriver sur ses deux jambes à sa messe de mariage, et le père Scarpia n'apprécierait pas trop si tu ne tenais pas debout ! Ne t'inquetes pas, je surveillerais Aslejval pour qu'il n'arrive pas trop bourré à sa noce

jeahne a écrit:: -Tu as raison Elystra , il nous faut porter un toast .

mais attends un instant , que je serve tout le monde .

Jeahne va prendre un pichet , le remplit au fût qui fleure bon le bois et la moiteur de la cave ; Puis elle fait le tour des verres disposés sur le comptoir laissant à chacun le soin de se servir et les remplissant généreusement.

Elystra a écrit:: Un sourire rieur se dessina sur les lèvres d'Elystra en prenant le verre que lui tendait Jeahne.

Tu crois que je peut avoir confiance? C'est pas toi qui voulais le souler deux fois plutôt qu'une?? Je me demande bien qui sera le plus dure a surveiller ... toi ou lui?

guidonius a écrit:: Guidonius fit un sourire à Elystra.

Allez, fait moi confiance Elystra, tu sais bien que je sui icapable de ca !!!!!

Les invités arrievaient, mais Guidonius avait ses pensées ailleurs. Il ne cessait de regarder vers la porte. Il sentait que Aylay n'aller pas tarder. Il avait une espèce de pressentiment et de petit pincement au coeur qui lui faisait comprendre qu'elle n'était plus loin maintenant. Il lui tardait veaiment de la revoir. Il gardait son petit bouquet de fleur avec lui, prèt à lui offir dès qu'elle arriverait

aylay a écrit:: je n'avais pu rester plus longtemps en retraite, lausanne, mes amis , me manquaient trop.

le voyage à langres déja m'avait privé de la vie lausannoise, et mon départ précipitée en retraite n'avait pas été pour me réjouir.

c'est avec une indicible joie que je franchis les portes de lausanne, forcant la marche de poupette toujours prête à me seconder.

je n'avais qu'un désir, me vaudrer dans un bon baquet d'eau chaude, vétir des habits chauds, et boire afin de réchauffer mon corps transi.

je savais que j'avais du rater le baptême de guido..

je 'navais pas très bien saisie son empressement à se faire baptiser si vite., même si son désir de devenir templier était fort ancré en lui..

je soupirais penchée sur le cheval, lui caressant de temps en temps l'encolure..

je réalisais que nous avions véçu peu de chose en commun, et que nous nous prenions nos décisions sans nous concerter vraiment.

je ne ressentais pas notre couple comme un vrai couple en soi..

mais j'étais trop fatiguée pour m'etendre sur de telles pensées, je savais que je devais mettre des choses au point dans les jours à venir, mais ce soir , place aux retrouvailles et à la bonne humeur.

apres un rapîde passage aux écuries ou je notais un nouveau cheval

j'entrais dans la taverne, le sourire aux lèvres ..

une vague de chaleur providencielle m'enveloppa tout d'un coup et prune , soudain surgissant de nulle part , se précipita sur moi ,

folle de joie sans meme penser à dire bonjour aux personnes qui se trouvaient là , je me saisis de prune et la couvris de baisers.je réalisais qu'elle m'avait manqué terriblement.

apres de longues éffusions avec ma petite chienne, je me tournais vers guido derriere le comptoir et vers jeahne et elystra...

enfin de retour .m'esclamais je .. je leur souriais heureuse de voir des visages amis..

et je m'avançais vers guido, il souriait heureux semble 't'il de me voir

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

guidonius a écrit:: Guidonius vit arriver Aylay avec une joie qu'il eut du mal à contenir. Il avait peur que leur tout nouveau couple ne résiste à la séparation, mais cette épreuve devaient leur ouvrir les yeux. Aylay avait l'air bien fatiguée par le voyage.

Te voila enfin, mon coeur, tu m'a manquée, tu le devines

Il prit Aylay dans ses bras, la serra tres fort contre lui et l'embrassa longuement.

Tiens, je t'ai cueilli ces fleurs ce matin, je santais que tu arriverais bientot. Va te reposer un instant, je te prépare un bain et ensuite nous pourrons continuer la fête qui n'attendait plus que toi.

[/i]

Malice V. a écrit:: Malice vit entrer Aylay avec une immense joie. Elle s'abstint de se jeter sur elle, la laissa embrasser Guid, fut surprise, mais amusée que la primeur des baisers aille à Prune. Elle se marmonna:

Bon, on va voir si bwana Aylay va d'abord aller dire bonjour aux cochons avant de venir me voir..

Elle avait entrepris de servir des plats de panais aux oignons et aux échalottes, (elle trouvait ça très bon, mais savait que dans quelques heures tout le monde aurait une haleine pestilentielle), et continua son service. L'auberge était animée, le feu ronflait fort dans la cheminée, un brouhaha et des éclats de voix, ou de rire emplissaient l'espace.

Les mains enfin vides, elle regarda autour d'elle. Le retour d'Aylay la rendait heureuse, sa confidente, son amie était de retour.

aylay a écrit:: j'enlacais guido, à mon tour, heureuse de le revoir..

puis me reculais pour le regarder.

merçi pour les fleurs ,elles sont très belles..*alors te voilà baptisé , cela fait quoi?

manu est il la? il a été ton parrain..non?

je ne vais pas vous quitter ,sinon je suis capable de m'endormir et de ne plus pouvoir me révéiller, je tiens à faire la fête.

ou est ma tavernière préférée?

je fis mine de jeter un oeil de droite à gauche...

ahahahah! dis je avec un grand sourire...en voyant malice s'affairer..

ta bwana t'a t'elle manquée?

je m'avancais vers malice et l'embrassais avec beaucoup de tendresse..et lui murmurais à l'oreille

tu m'a manqué mon amie

ou est hern?

je suis tellement heureuse d'être de retour..

j'ai terriblement soif tu sais ..

guido , allez levons nos verres fétons ton baptême veux tu ?

ce porcelet me semble fort appétissant !! j'ai une faim de loup ..

lausanne est la plus belle ville du monde,

et je me mis à rire,

et j'ai les meilleurs amis du monde aussi .

guidonius a écrit:: Mon coeur, ca ne me change en rien, si ce n'est que je sais encore plus aujourd 'hui combien je t'aime. Ton absence m'a couté, mais le moyen de faire autrement. Le père Scarpia avait fixé lui même le jour pour en faire deux en même temps. J'aurrais préféré t'attendre et que nous nous baptisions en même temps. Mais ce n'est pas grave mon coeur, pour ton baptème, nous ferons une cérémonie bien plus grandiose.

Et il fit un tendre baiser à Aylay.

manu95 a écrit:: Manu arrive un peu plus tard, il a du déposer ses affaires dans sa chambre.

retrouvant les invités, il eu la bonne surprise de voir Aylay.

ah te voila Aylay. on m'a dit que tu était en retraite. heureux de te revoir.

manu embrasse son amie.

Puis il se dirige vers Jeahne

Heureux de te voir ma Jeahne!!! ça me fait vraiment plaisir de te retrouver.

manu enlace Jeahne chaleureusement.

Anonymous a écrit:

Un pigeon se posa sur le rebord de la fenêtre :

Citation :: Boujour chers amis,

Du fond de ma retraite je vous salut tous, et plus particulièrement Guido et Manu. Voilà il m'a semblé entendre des rumeurs comme quoi un baptème allait se dérouler. Alors tout mes voeux au futurs protégés d'aristotes !

A une prochaine fois sans doute ...

Tristan De Fonpeyrine

[/i]

aylay a écrit:: manu arriva enfin,je l'embrassais chaleureusement aussi..

ravie de te voir , je suis hélas arrivée un peu tard ,mais tant pis, on va fêter cela quand même

puis voyant manu se précipiter vers jeahne, je fis un clin d'oeil à guido e t malice .

un pigeon se posa sur le rebord de la fenétre..

tiens guido tristan a pensé a toi ...il t'envoie ses bons voeux .

tu vas resté quelques jours avec nous manu ou tu es contraint par la mairie ?

que pense tu de lausanne?

je me chauffais les mains au dessus des flammes crépitantes.

un bon tas de bois était posé a coté du foyer..

je vois que hern n'a pas interrompu sa corvée matinale

jeahne a écrit:: Jeahne avait encore le pichet à la main lorsque deux bras l'enlacèrent vigoureusement, le contenu du pichet manquant de se renverser .

-Heyyy , Manuuu !

Jeahne se dégage doucement de l'étreinte repose le pichet sur le comptoir, elle prend un verre rempli et le tend à Manu avec une ébauche de sourire à la commissure des lèvres et l'oeil malicieux :

-Ma Jeahne ? Tiens donc .... quelle fougue et quelle assurance pour un pauvre voyageur épuisé et vacillant sur ses jambes .

Jeahne se penche, pose sa joue sur celle de Manu et murmure :

-moi aussi je suis contente de vous revoir Messire

C'est alors qu'Aylay debout devant la cheminée interpelle Manu .

hern a écrit:: Remontant de la cave un fut neuf de bière ,hern constata avec plaisir qu'Aylay était de retour.

Il me semblait bien avoir reconnue cette voie. Cela fait plaisir de vous revoir mon amie. Les nones vous ont elles enfin relâchée ou mise à la porte à force de les faire tourner en bourrique?

Posant son fut il embrasse son amie sur les deux joues.

Et bien cela fait plaisir de voir tout ce monde , mangeons buvons jusqu'à ce que nous soyons rassasiés.

Manu quelles sont les nouvelles de Langres ? Toujours sous pression?

Tout en parlant il va mettre son fut en perce , afin de pouvoir abreuver sans discontinuer tout ce petit monde, déposant au passage un baiser dans le cou de sa princesse ,visiblement heureuse de revoir son amie.

manu95 a écrit:: Manu Pris le verre de jeahne et savoure la boisson qui lui carresse les papilles.

certe, je suis bien fourbu, mais le bonheur de te revoir me redonne des forces.

Manu sent alors la joue de Jeahne se poser sur la sienne, et de sa douce voix lui chuchoter que cette joie est réciproque.

cela fait un bon moment que Manu n'avait pas autant rougi

Puis Hern le solicite afin de parler de Langres.

Ahhh Langres... c'est toujour la même crise en ce moment. Les brigand ne lachent pas mais l'un d'entre eux à été capturer. heureusement que la prévôté est éfficace.

Manu soupire

Enfin je prend un peu de distance avec cette histoire à Lausanne, mais comprennez que je doivent repartir assez vite.

Il regarde avec regret Jeahne et reprend

Enfin bientot je ne serai plus maire, ce sera un poid de moins.

guidonius a écrit:: Guidonius failli s'etouffer avec son verre losqu'il vit le trouble de Manu.

Eh bien Manu ? les bises des damoiselles te font rougir maintenant ?

Donnes nous plutot des nouvelles de Langres, nous sommes tous un peu inquiets de la situation

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

guidonius a écrit:: Guidonius revin, effondré de sa discussion avec Aylay. Elle ne l'aimait plus, l'avait-elle aimé un jour, il ne savait plus que croire. Il prépara son baluchon, sella son cheval, regarda une dernière fois cet endroit ou il pensait trouver le bonheur. Puis il parti. Surement, il laisserait quelques amis sincere derrière lui, mais sa décision était prise.

hern a écrit:: Hern entendit guido , il le saisit par le bras.

Ne part pas ainsi sur un coup de tête , réfléchis ,prend un peu de recul , un peu de temps pour y songer.

Tu a des ami(e)s ici , ne sacrifie pas tout ainsi.

manu95 a écrit:: Manu vis partir son ami de l'auberge. etonné il s'empresse de le rejoindre à l'exterieur. A sa mine déconfite, il semble que quelque chose n'allais pas.

guido guido, attend donc. Que se passe t'il? pourquoi t'en va tu?

jeahne a écrit:: Alors que la discussion tournait autour des événements de Langres , Guidonius disparu un moment . Quand il revint , il était blême , livide. Sans mots dire , il sortit . Il portait son baluchon . Manu sortit derrière lui et Jeahne emboita les pas de Manu .

Arrivée à l'écurie elle vit Manu qui discutait avec Guido . Elle s'approcha à son tour :

Guido , ne pars pas comme ça , viens , asseyons nous et parles .

viens . ce n'est pas parce que tu pars sur un coup de tête que ça changera quelque chose . De toute façon, on te laissera partir si tu le souhaite vraiment mais pas comme ça . Viens là , asseyons nous .

guidonius a écrit:: Merci Hern, mon ami, mais ma décision est prise et je ne reviendrais pas dessus. Je sais que je quitte des amis, mais je ne sais pas faire autrement. Sois heureux avec Malice, prenez soin d'aylay. Manu, on se retrouve à Langres.

Guidonius passa la porte et partit définitivement.

manu95 a écrit:: Je ne peut t'empècher de partir mon frère, mais si je suis venu à lausanne, c'est pour ton baptème. bien entendu j'ai d'autres motivation à etre ici, mais pourquoi n'attend tu pas que l'on parte ensemble, tu pourra réfléchir à ce que tu souaite vraiment non?

jeahne a écrit:: Les paroles de Jeahne n'atteignirent pas Guido qui enfourcha son cheval et disparut au coin de la rue . Elle resta plantée là, les bras ballants .

Sans même sans rendre compte, elle s'asseya sur une barrique qui trainait dans l'écurie .

La joie du baptême était loin derrière et le gout du vin festif bien amer soudain . Des relents douloureux envahirent le coeur de Jeahne , elle ne se sentait pas de retourner à l'auberge .

manu95 a écrit:: Malgrès ses dires, guido était parti, loin au triple galop. Manu avait grande envie de le suivre et le ratraper, mais sans doute son ami avait besoin d'être un peu seul.

Sans dire mot il s'assoie à côté de Jeahne resté alors interdite.

aylay a écrit:: apres notre conversation je n'avais pu retenir guido ,ni lui faire entendre raison.

je comprenais son geste de désespoir.peut etre était ce mieux ainsi.

j'avais besoin de prendre l'air

je filais seller poupette, l'enfourchais prestement et d'un claquement de talon,

je pris la petite rue qui sortait de la ville vers un chemin de montagne.

.l'air frais me ferait du bien surement..

Elystra a écrit:: Le chalet se vidait rapidement... Elystra avait eue son verre mais y avait a peine touchée... Elle avait essayer de parler avec Guido de cette décision hative qu'il prennait ainsi et elle avait compris que contrairement a se que plusieurs pensait sa décision n'était pas pris sur un coup de tête... mais semblait plutôt une conclusion réfléchi.

Elle avait le regard triste, la jeune femme perdait un ami cher a ses yeux et devait partir prestement pour un petit voyage sans son mari. Elle qui prennait toujours tout a coeur, se sentait démembrer par les décisions qu'elle voyait prise tout autour d'elle. Décision qui l'affectait mais qu'elle n'avait aucun pouvoir, ni même la plus petit illusion de pouvoir y changer quoi que ce soit.

Il avait dit que leur amitié resterait et qu'un jour ils se reverraient... Quand, où et comment, avait été les premières questions qui lui avait traversée les lèvres, même si elle les savait sans réponses... Elle était le genre de femme a aimée connaitre sa route et son destin... La laisser au dépourvu de la sorte l'avait toujours mise mal a l'aise...

Elle fini son verre qui semblait soudainement avoir un goût amère à sa bouche... vivement qu'elle revoit Asle... lui seul avait le pouvoir de lui redonner le sourire lorsqu'elle se sentait déprimée et triste...

Elystra posa son verre vide sur le comptoir, dans la petite auberge il ne restait plus personne tous étaient parties pour tenté de garder leur ami prêt d'eux ou n'avait point eu le courage de revenir a l'auberge. Elle se dirigea vers la porte, le moment était venu de partir... La jeune femme aurait mille fois préférée restée mais pour l'instant le temps s'écoulait tel les graines dans un sablier, le délai approchait, ils ne leur restaient plus beaucoup de temps, elle devait partir maintenant...

Malice V. a écrit:: Malice ne tenta pas de retenir Guidonius. Elle le savait attaché à Langres, sans doute bien plus qu'à Lausanne. Elle savait qu'il devait etre dans la peine, mais les bonnes âmes de Langres sauraient s'occuper de lui avec compassion. Là bas, il retrouverait Manu, Tristan et Lilas, Eleo et Spock, et aussi.. Malice eut un reniflement, les autres.

Tout le monde courait après Guidonius qui allait retrouver une vie qu'il n'avait pas voulu quitter.

Malice eut un soupir fataliste. Peut etre que le destin remettait en place, par cette façon douloureuse, un de ses agents déplacé par erreur. Si Malice n'avait pas souhaité si fort fuir Langres, ni Hern ni Aylay n'auraient tenté le déménagement. Avec son caprice, Malice avait obligé trois personnes à se déraciner d'une ville où tout leur souriait. Hern aimait Lausanne, et Aylay aussi, farouchement. Mais Malice avait toujours eu l'impression que Guidonius avait été déchiré de quitter la ville où il avait vu le jour.

Rangeant les reliefs de la fête du baptème, elle laissa voguer son imagination, et avec un sourire, très nettement vit Guidonius se faire porter en triomphe devant la mairie de Langres. Oui, un jour, quand Manu renoncerait, Guidonius serait le maire de Langres..Malice en était sure!

Par contre elle était inquiète pour Aylay qui ne devait pas avoir décidé de cette séparation de gaité de coeur, et qui devait extérioriser sa peine dans la solitude. Il lui tardait d'entendre les cliquetis des sabots de Poupette...

jeahne a écrit:: Manu s'était assis à côté de Jeahne . Ils restèrent un moment comme ça , sans rien dire ....le regard perdu au coin de la rue où avait disparu Guido . Jeahne s'appuya contre Manu:

- tu sais , je le connaissais à peine Guido, mais je l'aimais bien , beaucoup même . Je ne sais pas ce qui a pu se passer , je croyais leur couple solide ....

Jeahne soupire

-Heureusement qu'on a le Temple , on pourra l'entourer là bas et puis il faudra que tu t'occupe bien de lui à Langres .

..........

quelle journée , si contents il y a une heure à peine et maintenant si tristes.

Jeahne regarde Manu avec un petit sourire tristounet

- toi qui étais venu pour faire la fête avec tes amis , et savourer de bons moments avec eux .....c'est raté .

Anonymous a écrit:: Arascar avait appris "la mauvaise nouvelle" et son ami guidonius, lui avait écrit.

Il espérait qu'il revienne sur sa décision, même si c'était des moments difficiles à passer pour lui, mais peut être qu'un simple voyage lui changerait les idées, et qu'il reviendrait plus tard.

Dans la vie il faut garder espoir, car la roue tourne, et demain est un autre jour, qui peut-être lui rendra la joie.

Arascar connaissait ces situations difficiles, et lui aussi avait vécu une crise dans son couple....Mais la nuit porte conseil.

manu95 a écrit:: Jeahne s'appuye sur l'épaule de Manu.

Ce n'est pas grave. Au moins guido à pu se baptise et je suis fier d'avoir été son parrain. c'est un homme généreux et à langres il sera bien accueillis, et c'est vrai qu'il y a le temple.

Manu prend alors timidement la main de Jeahne

Certe la fête à tourner court, mais j'ai peut être trouver bien plus que je ne le pensait à Lausanne.

Manu regarde Jeanhe

Mon coeur à trouver plus. mais je vais devoir repartir pour Langres. Y retrouver guido mais aussi mes responsabilitée de Maires. lLa bas, les habitant comptent sur moi pour défendre la ville d'un attaque de brigands.

Manu baisse alors les yeux, regardant tristement le sol humide

aylay a écrit:: la nuit tombait déja quand je me décidais a rentrer.

je savais que rester dehors à la nuit noire ne servirait a rien..

si ma tête ne s'était pas vidée , au moins j'avais pris un grand bol d'air et la vue de cette colline, aux portes des montagnes, était de toute beauté.

je savais avoir pris la seule décision possible.

on ne choisit pas l'amour que l'on a dans le coeur ou pas et non , je n'étais pas suffisamment altruiste pour me sacrifier afin de ne pas blesser.

la vie était trop courte, et j'avais une certitude et une ligne de conduite , qui ne me quittait plus à present..

les instants de bonheur, je comptais les saisir au tournant sans aucun scrupule,sans arriere pensée mais ces instants de bonheur je savais ne pouvoir les vivre que partagé.

je posais pied à terre, mis poupette à l'écurie..

je pris le temps de bien m'occuper d'elle.

comme si elle comprenait ma peine ce soir., elle frotta son museau contre ma joue avec tendresse

je me demandais qui restait en taverne, je retardais l'heure de rentrer , j e me savais d'humeur peu bavarde..

un grand verre d'alcool serait le bienvenue par contre.

après avoir pansé la jument et lui avoir donné du fourrageainsi qu'un, dernier baiser sur son encolure,

je m'empressais vers la taverne, le froid m'ayant saisie soudain..

et j'entrais précipitamment ,heureuse malgré tout de sentir la douce chaleur m'envelopper.

jeahne a écrit:: Perdue dans ses pensées Jeahne sent soudain la main de Manu qui prend la sienne . Elle la lui serre doucement et lui dis:

- tu repars déjà ? ne me parles pas de brigands , je vais avoir peur et trembler en pensant à ........, enfin ....si c'est ton devoir de maire.....

Manu opine de la tête sans rien dire, alors Jeahne lui sourit en le regardant dans les yeux , ces beaux yeux devenus si tristes .

-ne sois pas triste Manu. Si je te sais triste je vais l'être aussi et mon coeur n' a pas envie d'être tout à fait triste lui ce soir . Forcément le départ de Guido nous affecte mais c'est sa route à lui ........

Jeahne se lève et prends à son tour les deux mains de Manu

Viens rentrons maintenant ,il est tard .Guido est parti , c'est fait ,nous n'y changerons rien , ça doit être mieux ainsi sans doute , ....C'est son choix et nous devons le respecter, ... viens ....rentrons .

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manu95 a écrit:: Jeahne semblais vouloir aborder sa peur au suget des brigand de Langres mais se ravisa sur la tragédie que vis Guido.

Manu ecoute Jeahne. Malgrè la situation elle exprime beaucoup de sagesse dans ses mots.

Guido à fait son choix il est vrai. s'il pense qu'il sera plus heureux à langres, il dois alors avoir raison.

Soliciter par Jeahne, Manu se lève afin de rentrer.

Je te suis. la journé à été longue.

Malice V. a écrit:: Malice, inquiète pour Aylay s'était assoupie dans le grand fauteuil devant la cheminée. Guido sur les routes dieu sait où, Aylay aussi... le sommeil l'avait légèrement attrapée, mais l'inquiètude était là quand meme, par le biais de reves courts et mauvais.

Elle s'agitait, bien que bercée par les chuchotis de Jeahne et Manu, quand enfin la porte s'ouvrit, et une bourrasque d'air froid entra dans la grand salle, faisant vaciller les flammes crépitantes dans leur âtre.

Malice ouvrit les yeux, s'extirpant d'un cauchemard pénible..

Aylay!!

Malice se leva brusquement, s'empetra les pieds dans ses jupes, se rattrapa au plateau de la table avec une exclamation agacée, et fila droit vers son amie, devant laquelle elle stoppa, scrutant à son visage des indices de son humeur..tendit une main vers elle, la laissa retomber aussitot.

Tu bois un verre avec moi?

aylay a écrit:: a peine entré, je notais la présence de jeahne et manu dans un coin à bavarder doucement..

je ne pus m'empecher d"ébaucher un sourire à leur vue et aussi en voyant malice se prenant les pieds dans sa jupe...

je t'ai réveille on dirait ou étais tu dis moi?.

tu m'attendais?

je me laissais aller dans un fauteuil prés de la cheminée.

merçi je veux bien un verre oui,merçi de ne pas me laisser siroter seule..

donne moi ce qu'il y a de plus fort.

j'ai besoin de me griser ce soir .

viens assied toi pres de moi et trinquons veux tu ?

aux jours futurs ,aux surprises et aux incertitudes que nous reserve la vie

je levais mon verre et le tendis vers mon amie..

jeahne a écrit:: Finalement Manu et Jeahne rentrèrent dans l'auberge.

Aylay et Malice étaient là , toutes les deux en train de siroter .

Jeahne s'approcha du foyer et tisonna le feu en silence .

hern a écrit:: Aylay était rentrée la mine triste, cela lui faisait mal au coeur de voir ses deux amis se séparer,mais quand l'amour n'y est plus rien ne sert de tricher.

Il rejoignit Aylay et sa princesse se servant un verre , il vint s'asseoir entre elles deux les prenant chacune par les épaules.

Il déposa un baiser sur la joue de son amie ,pour lui exprimer son soutient, ils se connaissaient assez pour que ce geste suffise à lui faire comprendre qu'il était là pour elle.

Allez les filles buvons un verre , la vie continue , elle est aujourd'hui triste,mais demain elle sourira à nouveau.

Manu et jeahne discutaient à une autre table il ne voulut pas les déranger en leur demandant de se joindre à eux.

aylay a écrit:: hern nous avait rejoint gentiment , il m'embrassa sur le front , un instant je me laissais aller sur son épaule .je fermais les yeux .

merçi à vous deux ..d'être toujours présent.

la chaleur amicale réchauffait mon coeur peu à peu, et l'alcool lentement

s'insinuait dans mes veines,.

je me détendis ..et me levais.

manu et jeahne, étaient proches l'un de l'autre serrés contre la cheminée..

au moins manu semblait ne pas être venu pour rien..

je souriais timidement, la vie est une belle chose quand même ..

un couple se défait ,un autre se reforme..

j'acceptais plusieurs verres consécutivement..

j'avais besoin ce soir d'être saoule, pour chasser toutes les mauvaises pensées..

je crois mes amis qu'il est l'heure pour moi de tirer ma réverence..

un grand lit froid m'attend..mais là , je crois que je ne vais même pas m'en rendre compte..

je sentais mes jambes se dérober sous moi..

hern se précipitait déja pour m'aider..

ca va aller hern, ca va aller.

j'ai juste besoin d'attraper la bonne cadence..

a la premiére marche qui montait à l'étage

je me retournais et dis tout fort.

désolée , désolée vraiment d'avoir gaché une si belle journée,bonne nuit à tous

manu95 a écrit:: Manu se join au tisonnement machinal du feu de Jeahne. Douce chaleur, caressant sa peau. Aylay malice et Hern buvaient, manu reste à côté de Jeahne n'ayant nulle envie de boire, et de toute façon trop fatiguer.

Manu pose sa tète sur l'épaule de jeahne et ferme les yeux, commençant à somneler devant la cheminé

jeahne a écrit:: La tête de Manu se faisait de plus en plus lourde sur l'épaule de Jeahne qui n'osait plus bouger.

Quand Aylay, haussa un peu le ton pour dire :

-désolée , désolée vraiment d'avoir gaché une si belle journée,bonne nuit à tous

Manu ne broncha même pas. Jeahne se tourna alors vers Aylay et lui fit un sourire chaleureux , elle ne pouvait pas lui en vouloir, elle n'avait pas à lui en vouloir . Puis se retournant vers Hern , Jeahne lui désigna de la tête Manu qui dormait.

-Hern,..Hern

Jeahne n'osait pas appeller trop fort de peur de réveiller le pauvre Manu.

-Hern , s'il te plait aide moi, on va l'allonger sur le banc là , et je lui apporterai une couverture. Le voyage et les émotions ont eu raison de lui .A moins qu'il n'ait une chambre ici ? dans ce cas là peut être vaut il mieux le réveiller ?

hern a écrit:: Nous lui avons réservé une chambre Jeahne.

Il devrait peut être effectivement aller se coucher , les émotions ,le voyage ont eut raison de lui.

Vous devriez peut être le réveiller pour qu'il aille dormir, une bonne nuit de sommeil lui fera le plus grand bien.

jeahne a écrit:: Jeahne hocha la tête puis elle passa doucement la main dans les cheveux de Manu:

-Manu, tu ferai mieux d'aller te coucher , demain sera un autre jour, je suis sur que nos hôtes t'ont préparé un bon lit douillet là haut , ....Manu ?

manu95 a écrit:: Manu entrouvre les yeux. Les jambes engourdis, il se lève péniblement. il vois Hern et jeahne à ses côté.

Oh désolé Jeanhe, je m'était assoupis quelque peu. comment vont les autres? Malice, Aylay? et Guido?

Manu manque de s'écrouler.

houla ma tète. je crois vraiment qu'il faut que je me repose

jeahne a écrit:: Finalement manu ouvre lesyeux et Jeahne sourit en le voyant vaciller de ci delà

- Et bien ...heureusement que nous n'avons pas abuser du précieux breuvage contenu dans ces futs . Il aurait fallut que nous te portions ....

Tout le monde va ....à peu près bien Manu , presque mieux que toi .

allez zou... au lit mais je ne jouerai pas les mères poules, je te le garanti.

et Jeahne de rire en disant cela .Hern, aurez vous l'obligeance de bien vouloir accompagner Messire Manu dans sa chambre ?ou tout du moins lui rappeller le nom de celle ci ?

manu95 a écrit:: Je vait y aller tous seul ne vous faite pas de souci.

Manu embrasse sur la joue Jeahne, et monte l'escalier menant à sa chambre. Il s'instale confortablement dans son lit et part dans le royaume des rèves dans la minute qui suis.

jeahne a écrit:: Jeahne rassurée de voir Manu résolu à se reposer , lui rendit son baiser et s'engagea à sa suite dans l'escalier pour rejoindre sa chambre , non sans avoir salué ceux qui restaient encore à deviser dans la salle commune .

manu95 a écrit:: Les premier chants d'oiseaux pénètrent dans la chambre de Manu. Doucement il se réveille. a la fenètre il regarde la lune et les étoiles s'éteindrent progressivement en silence.

C'est un moment si paisible, si calme.

Sans bruit, il sort de sa chambre et s'en va s'assoir sur le tonneau de la veille, regardant le spectacle céleste qui s'orffre à lui, et songeant à Jeahne. C'est un moment qui se partage ça. Il n'avait oser la réveiller en frapant à sa porte, mais regrèttait son hésitation.

Manu fini par aller devant sa fenètre et jeter des petits cailloux contre le volet. Si elle dort profondément cela ne la dérangera pas mais si elle est sur le point de se réveillé, elle les entendra surement.

Toc.....Toc....Tic.....

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aylay a écrit:: je m'étais levée tôt.un étrange silence m'ayant finalement réveillée..

je sautais hors du lit et me précipitais à la fenêtre, ,la neige à nouveau tombait à gros flocons tourbillonnants..

je souris à voir ce manteau neigeux ,je savais que prune serait contente.

je me préparais a toute vitesse et , me faufilais hors de la chambre à pas de loup.

prune était couchée,devant la porte.. afin de ne pas réveiller la maisonnée. je la pris dans mes bras, elle devenait de plus en plus lourde.

elle s'appliqua avec adresse conscience à me laver tout le visage.

he bien dis moi , j'ai plus qu'a me relaver a présent..on verra plus tard.

viens ma douce viens je vais te montrer ce que tu aimes.

la salle de la taverne était vide , il me fallait me dépecher, je ne pouvais pas tout le temps laisser la corvée du feu à hern..

a peine la porte de l'auberge ouverte , prune m'échappa et se précipita dans la neige fraiche..

celle ci était un peu plus lourde que la neige d'hiver, mais pas encore chargée d'eau heureusement.

je n'aurais pas trop à frotter la petite chienne en rentrant..

ce fut un vrai régal, prune se mit a courir partout en aboyant,

je crus mourir de rire lorsqu'elle décida soudain de manger les flocons qui couvraient son petit museau de bébé chien encore.

sa bouche s'ouvrait et se fermait en rythme...

puis ayant récuperé un bout de bois prés de la cheminée.

je lui fis faire de l'exercice, elle commencait à comprendre mes ordres , mais c'était une petite coquine,

et j'avais toujours du mal a ce qu'elle ramene le morceau de bois à mes pieds.

un long moment plus tard, rafraichie et heureuse, je saisis la petite beauté dans mes bras et l'embrassais tendrement en lui grattant la tête .

aussitôt elle se mit sur le dos en jappant , les cuisses écartées complétement abandonnée à mes caresses..

et bien dis moi tu es une sacrée chienne toi déja les cuisses écartées de bon matin..

je pouffais toute seule , tournant la tête afin de voir si quelqu'un me voyait rire de la sorte..

heureusement que je ne fais pas comme toi dés les premiers heures du jour.. je me redressais enfin, pliée de rire.

allez prune stop, viens donc m'aider a present, le travail nous attend, je vais te donner à manger

et dans un même mouvement nous regagnâmes l'auberge.

jeahne a écrit:: Le jour commençait à poindre à travers les volets et Jeahne bondit de son lit :

-flûte et zut la messe , je vais être en retard

heuuu ha mais non c'était hier ??non ? Si ....je ne sais plus , de toute façon faut que j'aille pêcher moi .

Jeahne fait une rapide toilette avec le broc d'eau fraiche posé sur la table puis elle entreprend de se s'habiller lorsqu'elle entend un bruit inhabituel, un petit bruit venant de l'exterieur.

Intriguée, elle s'approche de la fenêtre en tendant l'oreille.Elle entrouvre les persiennes et regarde alentours .Le ciel commençait à peine à s'éclaircir et quelques étoiles obstinées persitaient encore à l'illuminer . Quelques flocons commençaient à tomber .Jeahne jette un regard circulaire pour essayer de trouver l'origine de ce bruit et ses yeux tombent dans ceux de Manu , dans la cour de l'auberge , le visage tourné vers sa fenêtre.

- Manu ? Qu'est ce que tu fais là ? Tu as passé la nuit dehors ? lui dit elle doucement pour ne pas réveiller les autres dormeurs de l'auberge.

Manu ne répond pas et lui fais signe de le rejoindre . Jeahne lui sourit et referme la fenêtre .

Les nuits étaient fraiches encore ,Jeahne prend sa pélerine et pieds nus , sort de sa chambre pour descendre . Sur la pointe des pieds, elle entame la descente des escaliers

scrouinnnnnnnnnnckkkkkkkkk

Jeahne s'immobilise au milieu de l'escalier, l'oreille tendue pour guetter un mouvement dans le chalet

- Bon sang la marche , celle qui grince ! Faut que je m'en souvienne ....

Finalement aucun mouvement dans l'auberge ; Jeahne finit de descendre , enfile ses chausses et sort dans la cour où Manu est là , le sourire aux lèvres.

-Et bien Manu, toi qui étais si épuisé hier soir, tu es bien matinal ?

manu95 a écrit:: Jeahne rejoin manu dans la cour. Lui prenant la main et la regardant dans les yeux, le sourire au coin, il répond :

Les étoiles étaient si belles,et ne pouvait profiter d'un tel spectacle sans toi. Chaque étoile à sa place dans le ciel, l'une d'elle a la sienne dans mon coeur.

Manu marque un petit silence et reprend

Voudrais tu partager ce moment avec moi? le soleil va se lever. tu connais sans aucun doute un joli coin pour le regarder?

jeahne a écrit:: Jeahne regarde alors les grands yeux de Manu et lui réponds :

-moi je les vois là, les étoiles , ça me suffit , pas besoin d 'aller ailleurs..........

Puis Jeahne baisse les yeux , marque un temps et reprends:

-et le lever du soleil il est là ...

et elle prends la main de Manu qui tenait la sienne et la pose sur son coeur à elle .

Tu veux vraiment le chercher ailleurs ?

manu95 a écrit:: manu reste sans voie, la main sur le coeur de celle pour qui le sien à choisis de battre.

Si le soleil est si radieux et lumineux, alors je reste près de sa chaleur.

Manu affiche un sourire timide.

Puis il dépose un doux baiser sur les lèvres de Jeahne.

jeahne a écrit:: Le coeur de Jeahne se mit à battre la chamade quand Manu l'embrassa .

Elle répondis à son baiser avec beaucoup de tendresse

Et pendant un instant , elle oublia tout ce qui était autour d'elle .

Il n'y avait plus que Manu là , à côté d'elle , si gentil, si doux , si .......

trop peut être .

Jeahne détacha ses lèvres de celles de Manu et le regarda à son tour avec un sourire :

- Manu, je ..... je suis si bien là avec toi que ......ça me fais un peu peur....parle moi de toi , je te connais si peu .

manu95 a écrit:: Les rayons matinal du soleil éclairaient maintenant le visage de jeahne. un tendre baisé à animer pendant un précieux instant le coeur de manu, lorsqu'il s'arrèta. Face à l'inquiètude de Jeahne, Manu répond par un sourire.

Je comprend ce que tu ressens. et que tu est peur. tout a été très vite. Avec le temps on aprendra à se connaître pour sur, mais si tu veux déjà en savoir plus, je peux déjà te répondre. dit moi ce que tu veux savoir, car parler de moi, c'est assez vaste.

Et puis connaissant mon amis guido il a du te parler un peu de moi

Manu souris à nouveau.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

jeahne a écrit:: Jeahne regarde Manu face à elle et prends un air réfléchis et concentré :

- Voyons voyons ......qui est Manu ? qu'est ce qu'il aime ? qu'est ce qu'il n'aime pas ?a t il aimé ? pourquoi est il templier ? pourquoi Jeahne ?

Entendant alors japper Prune , la petite chienne d'Aylay , Jeahne sourit et continue :

-Viens allons marcher dans les rues de Lausanne , l'auberge va se réveiller , il va y avoir du remue -ménage .

le-petit-pigeon-voyageur a écrit:: De bon matin, un petit pigeon-voyageur survolla les rues de Lausanne et alla jeter un petit parchemin à l'auberge des quatres

aylay a écrit:: ma matinée avait été plus que débordée.

malice et hern durent s'occuper seuls de la taverne,auberge..

j'arrivais de soigner mes cochons, ils étaient presque tous bon à tuer , les jours à venir allaient être fort chargés en travail.

heureusement je savais pouvoir trouver de bons ouvriers pour me seconder.

sur le bord de la fenêtre , à coté de la porte d'entrée de la taverne, je vis un joli petit pigeon,

je me saisis du message et l'ouvrant à la hâte

je vis qu'il s'agissait d'un mot de guido

ouf... il est arrivé sans encombre ,je suis bien contente

je vais aller lui repondre ,

je sens à ses mots qu'il a le moral et j'en suis heureuse .

je vais le dire à malice et hern d'abord

et toute guillerette j'entrais en poussant la porte avec le pied d'un coup dans la taverne.

les bras chargés de charcuterie et le mot de guido coincé sou s mon menton

jeahne a écrit:: Manu et Jeahne entrèrent dans l'auberge qui semblait vide . Sans doute les tenanciers étaient ils tous occupés au concours de tir à l'arc qui prenait fin aujourd'hui.

Jeahne passa directement derrière le comptoir pour attrapper une cruche remplie de vin ainsi qu'un panier de charcuterie qui étaient posés là .Puis elle déposa le tout sur la table et s'installa face à Manu qui attaqua derechef les victuailles d'un appétit féroce . Jeahne le regardait faire en souriant , tout en remplissant copieusement leurs chopes .

manu95 a écrit:: Manu deguste chacun des met présenté sur la table. Lorque les chopes furent remplies, Manu cogne sa choppe sur celle de Jeahne, osant lacher ces quelques paroles :

Santé, à avenir et notre amour naissant.

Manu et Jeahne boivent ensuite le breuvage à grande gorgées.

jeahne a écrit:: Jeahne ne dit rien et continue de regarder Manu , détailler son visage , ses mains sans doute puissantes puisqu'il est forgeron, sa bouche quand il mange et quand il sourit , ses yeux à la fois tendres et timides .

Elle finit sa chope tranquillement pensant aux mots qu'il vient de pronon cer et qui la laisse songeuse ....l'avenir ...son avenir , serait ce ici à Lausanne qu'il se jouera ? avec Manu ....

Ne réfléchis pas trop ma fille se dit elle , laisse faire le temps à sa guise

manu95 a écrit:: Manu se noye dans les yeux de Jeahne. leur deux regard se croisent, mais La belle ne dit mot. A quoi pouvait elle bien penser? manu l'avait'il mise mal à l'aise?

Tu m'a l'air bien rèveuse jeahne.

manu suivis sa question d'un petit sourire.

aylay a écrit:: je revenais du stand de tir,plus que deux heures et le tournoi serait fini.

a peine entrée dans la taverne, je vis manu et jeahne,assis se regardant le blanc de l'oeil..

hehe les amoureux, comment allez vous?

he bienmanu je vois que tu as du mal à retourner à langre..

n'as tu donc pas envie de démenager à lausanne?

il y a matière à réfléxion non?!!

et je partis d'un petite rire cristallin..

faite comme si je n' étais pas là je vais faire un brin de ménage ,il y a eu du laisser aller ces derniers temps

malice va se faire tirer les cheveux ..

cette pensée m'amusa ,avec sa tignasse flamboyante ,il y avait de quoi faire..

elle allait bien trouver une excuse..

et ou donc était hern..

je jetais un oeil dans la cave, ,personne, peut etre au bucher, oui surement..

prune qui s'était couchée aux pieds de manu et jeahne en attendant mon retour, se leva d'un bond,et la queue frétillante vient me sauter dessus..

bonjour ma toute belle.. que tu es mignonne, je t'ai négligée ces jours ci...

viens j'ai quelque chose de bon pour toi..

je l'entrainais vers sa gamelle ou je déposais quelques morceaux de porc, que j'avais récupére de l'abattage de mes cochons..

a ce propos j'avais quelques carcasses pour hern, il me fallait penser à le lui dire..

prune affamée se jeta sur la viande.

. je la regardais faire en commencant à faire un peu la poussière sur les tables de la taverne.

manu95 a écrit:: aylay rentre au chalet, interronpant le jeu de regard des deux occupant. Manu tourne la tête et écoute Aylay.

Oui difficile de revenir à Langres, en effet. parfois le coeur emporte la raison. je sais que je devrait y être repartis depuis un bon moment surtout avec la situation que la ville connais, mais mes sentiments me détournent vers une personne qui compte beaucoup pour mon coeur.

Manu s'arrète un instant regardant passionnément Jeahne.

Mais Il me faudra repartir.

Soupire

Quand à vivre à lausanne, j'y ai pensé , mais langres est ma famille. je n'ai jamais été aussi bien que la bas. je pense que tu le sait Aylay. Lausanne est une belle ville, mais je ne sait pas si je m'y sentirait bien. Langres et ses habitants me manquerait trop.

Manu pousse un nouveau soupir, il se sentait morceler entre son nouvel amour et son attachement à sa ville. C'était la une problèmatique assez dure.

jeahne a écrit:: -je rêve , c'est cela même Manu répondit Jeahne et devant l'air interrogateur voire inquiet de Manu qui tentait de le camoufler derrière un de ses petits sourire intimidé , Jeahne se dressa par dessus la table qui les séparait pour l'embrasser.C'est alors qu'Aylay pénétra dans l'auberge en riant et les apostrophant .Jeahne se rassit bien vite et pris un "air-de-rien " qui lui allait fort bien .

Aylay se mit à faire le ménage dans l'auberge avec une vigueur qui laissa Jeahne pantoise .

-Et bien Aylay , quelle énergie , viens t'assoir un peu avec nous , tu ne veux pas profiter de notre repas , au fait ....on s'est servi tout seul dit Jeahne d'un air gêné, tu mettras tout ça sur mon compte n'est ce pas ? sans faute . Haaa autre chose , j'ai rencontré récemment un nouveau vagabond à la mairie et je lui ai donné le nom de l'auberge, peut être viendra t il y prendre une chambre .

Anonymous a écrit:: Silenoz revenait du concours à l'arc où il avait admirer son magnifique score...

Voulant fêter çà, il se drigea vers une taverne, après avoir traversé le marché où les gens se disputaient pour savoir quelle était la couleur du crotin

Il entra dans l'auberge du chalet des quatre et s'arrêta sur le suil...

Damoiselles et damoiseaux, Tournée générale !

jeahne a écrit:: -Silenoz ....bonsoir ...et bravo pour votre prestation , remarquable

Puis se tournant vers Manu avec un petit air moqueur :

-quand tu sera parti , je demanderai peut être à Silenoz quelques leçons de tir , pas aussi rapprochées qu'avec toi mais il faut vraiment que j'atteigne les 4500 points .

Jeahne se lève , fait le tour de la table et vient s'assoir à côté de Manu.

-venez Silenoz, venez trinquer avec nous et Jeahne lui montre la place qu'elle vient de libérer

Aylay, je suis certaine que tu saura nous trouver une bonne bouteille pour fêter ce concour, celle que nous avons entamé avec Manu touche à sa fin .

Puis Jeahne se laisse aller tout contre Manu. Prune qui venait de finir sa gamelle revient tourner autour de la table, reniflant probablement les restes de charcutaille qui y trainaient encore .

manu95 a écrit:: Manu serre Jeahne contre lui, tout en lui prenant la main. Il ête content de partager ce repas avec Aylay. elle reste son amie, meme si elle ne vie plus à Langres. silenoz semble aussi êtres un sympathique compagnons de repas.

aylay a écrit:: je briquais les meubles et le comptoir lorsque messire silenoz fit son entrée dans la taverne eti venait fêter avec nous la fin du tournoi

je l'accueillis avec un grand sourire

tu as raison jeahne, au diable ,le ménage, je file chercher une bonne bouteille.. je m'aperçus que je l'avais tutoyé

est ce que cela te dérange jeahne? que je te tutoie?bien sur il te faudra en faire de même

installez vous messire silenoz en attendant

je m'éclipsais un instant ,lorsque je remontais de la cave à toutes jambes

messire silenov était installé avec jeahne et manu et en grande conversation.

on va arroser la fin du tournoi

cela fera peut être arriver malice et hern ,

mais ou sont ils donc passé?

manu je sais bien qu'il va te falloir bientôt rentrer à langres

aussi profites du temps qu'il te reste à passer prés de jahne,

je leur fis un sourire complice ..les amoureux m'avaient toujours émus

et puis me tournant vers messire silenoz

alors ce tournoi vous a plu?

vous vous êtes bien débrouillé je trouve.

il va vous falloir revenir quelques temps vous avez un repas offert une pièce de viande aussi ainsi que quelques tournées gratuites .

hern est un spécialiste de la côte de boeuf.

nous aurons ainsi le plaisir de vous voir..

je le regardais à la dérobée..cet homme avait bien vécu , son visage 'était remarquable, un peu marqué ici ou la mais fort intéressant

je ne pus m'empêcher d'ébauche run sourire ravie..

allez il est l'heure de trinquer

et aprés avoir servi tout le monde, je levais mon verre ..

santé , amours, amitié

.

Anonymous a écrit:: L'acceuil de la taverne était des plus chaleureux. Assit à la table en compagnie des tourteraux qui roucoulaient, Silenoz ne pu s'empêcher de sourire, l'air un peu gêné...

Puis dame Aylay fit son apparition une bouteille à la main...

Ce tournoi ? C'est mon premier. Faut bien commencer un jour. Et j'ai eu de la chance...

Le borgne avait du mal à soutenir le regard et le sourrire d'Aylay. Il avait beau être un briscar qui en avait vu des vertes et des pas mures, il était toujours un peut réservé face à une dame...

De la viande, un repas, à boire... vous me gâter. Que demander de plus ?

Silenoz leva son verre pour trinquer, il regarda le jeune couple...

A vos amours, qu'ils durent toujours...

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jeahne a écrit:: -Allez , Silenoz , détendez vous ..dit Jeahne en lui servant une chope bien remplie du vin que venait d 'apporter Aylay.

Prenant le verre et le lui tendant avec un sourire , Jeahne le regarde et lui dis :

-mais par pitié, ne prononcez pas ce genre de mots Messire , toujours , jamais , ....ils ont un gout amer de déception, de tristesse, d'absolu et de définitif qui me terrorise plus que la Faucheuse .......surtout pour ce qui concerne les choses de l'Amour ....Sachons simplement profiter de l'instant qui vient et ce sera tout simplement.........une très bonne journée . Dieu seul sait ce que nous réservent les lendemains .

Aylay s'était installée avec eux et leva son verre .

Bien sur que nous pouvons nous tutoyer Aylay ...d'ailleurs je crois que je ne t'es même pas demandé la permission avant de le faire dit Jeahne un peu confuse.

aylay a écrit:: je regardais jahne, ses paroles avaient le gout un peu amer d'une personne ayant déja vécue quelques tourments. amoureux.

je ne dis rien et me tournant vers silenoz.

vous qui semblez avoir pas mal baroudé, la vie a lausanne ne vous semble t'elle pas trop calme?

et puis soudain je me souviens que j'avais quelque chose à demander a jahne

jahne es tu toujours d'accord pour être ma marraine?

je serais heureuse de cela et je souhaiterai faire mon baptême la fin de semaine prochaine si le père scarpia est libre..

manu seras tu encore la?

si oui cela me ferait plaisir que tu y assistes

et vous aussi silenoz si vous le voulez, nous ferons la fête ensuite

ets ce que cela vous tente ?

je le regardais avec mon plus beau sourire , une pointe de malice dans l'oeil..

et je posais un instant ma main sur son bras.

jeahne a écrit:: Un grand sourire illumina le visage de Jeahne quand Aylay évoqua son baptême :

Ho oui Aylay, ben sur que je suis toujours d'accord , ça me fera plaisir , ...très plaisir et puis j'espère qu'on pourra se faire une belle fête après pour couronner le tout . je t'aiderai si tu as besoin , tu sais que tu peux compter sur moi ....

Jeahne commençait à trépigner sur le banc :

Heeeeu , tu veux qu'on fasse une liste d'invités ? tu veux que j'aille chercher des fleurs ? ....faudrait prévoir du vin aussi ...mais ça Hern devrait s'en charger ...heeeeuuuuu, faudrait aussi te trouver une belle tenue , et puis prévenir tout Lausanne ......et on pourrait aussi mettre une annonce à la Mairie , tu veux inviter qui ? tu veux que je fasse des course ? faudra ranger l'auberge aussi ....pas de souci je ferai le ménage ......Tu as prévenu Scarpia ? tu veux que j'y aille ? hola , faudra que je lise à l'église ? tu crois ?

Soudain Jeahne s'arréta net dans son élan, perdit son sourire ravi et se tourna vers Manu qui ne disait rien :

Manu ? tu sera là ?

hern a écrit:: Hern revenait de la corvée de bois du matin, depuis le départ de Guido il le faisait désormais chaque matin.

Un peu en sueur malgré la fraîcheur du matin . Le printemps avait fait une brève apparition avant de disparaître à nouveau.

Quelques allez et retour plus tard une belle pile de bois s'élevait a coté de la cheminée.

Voilà de quoi tenir pour la journée se dit il.

Jeahne était en train de parler avec Aylay ,Manu et Silenoz , le sujet tournait autour du baptême de son amie.

Très enthousiaste Jeahne se proposait de s'occuper de beaucoup de choses , Aylay l'écoutait souriant de son allant.

J'ai crut entendre parler de vin , laissez moi cette partie de la tache, j'ai fait rentrer très recemment quelques bordeaux comme je t'en avais parlé Aylay, j'en ai goutté un ils sont divins, de la force de la durée en bouche, un arrière goût de fruit rouge , rien que d'en parlez cela me donne envie.

Au diable l'avarice allez je vais vous en quérir une bouteille de ce pas vous me direz des nouvelles de Léoville la case un saint julien de toute beauté 1440.

manu95 a écrit:

aylay et hern étaient revenu à leur tabke afin de discuter. Manu écoute la conversation quand discrètement un volatile de présente à ses pied. un jeune pigeons encore inexpérimenté et fatiguer d'un long voyage aporte au maire de Langres un message. Manu déplis le papier et lis

Citation :: Monsieur le maire

Désolé de vous déranger pendant votre séjour mais nous devons vous avertir de la condamnation du sir yonan par le tribunal de Champagne. vous savez bien ce que cela veux dire et comptos donc sur votre aide. Nous vous demandons de rentrer à langres au plus vite avant qu'il ne soy trop tard.

Aucune signature ne figure sur ce message mais Manu y reconnais l'écriture d'un de ses garde. A sa lecture il fronce les sourcil et lève les yeux vers Jeahne. le moment de la séparation tant redouté vien d'arrivé. arrivé.

Manu regarde tristement jeahne et lui annonce la mauvaise nouvelle.

Ma jeahne, mes amis, j'ai l'impression que mon séjour va devoir s'arrèter ici. Le brigand qui était en jugement à été lourdement condanmer. langres risque de grosses représailles. Il me faut hélas repartir afin d'aider la ville. Peste soient ces maudis voleurs.

Manu Pris les mains de Jeahne et la regarde tristement

[HRP : bon je sait que ce Rp est décaler car depuis belle lurette que la condamnation à eu lieu à Langres, mais bon faut compter la durée du voyage du pigeon et aussi le fait que RP parlant j'ai passer un jour à Lausanne à la basee Wink

. ]

jeahne a écrit:: Jeahne attendait la réponse de Manu avec anxiété quand soudain un pigeon vint déposer un message à l'intention de Manu.

Jeahne vit le visage de Manu se crisper à la lecture du message qu'apportait l'oiseau. Jeahne se douta que le moment était venu de la séparation. Quand Manu prit les mains de Jeahne avec son regard si triste , elle se dit qu'elle avait vraiment eu beau jeu de se croire suffisament forte pour le voir repartir sans trop de peine .

-Viens , sortons lui dit elle en esquissant un genre de sourire puis se penchant à son oreille elle lui murmure

-à l'abri des regards , viens , retournons dans la cour de l'auberge , nous y serons plus tranquilles pour ces adieux qui ne seront qu'un aurevoir .

Jeahne se lève alors et gardant les mains de Manu dans les siennes l'entraine là où quelques instants plus tôt il l'avait embrassé pour la première fois , timidement et tendrement.

hern a écrit:: L'arrivée du pigeon et la mine de Manu était éloquente le retour sur Langres était imminent.

Lui et jeahne semblait avoir besoin d'intimité pour se faire leurs au revoir, aussi ,serra t'il chaleureusement la main de son ami.

Bon retour Manu, salut nos amis de ma part , de gros bisous aux filles et une solide poignée de main aux garçons.

J'espère te revoir bientôt parmi nous.

manu95 a écrit:: Manu serre la main de hern et donne une bise à Aylay avant d'être entraîné dans la cour pour un au revoir par Jeahne. Une fois dehord, manu ne parvien pas à cacher sa grande tristesse.

Ne trouvant aucun mot à dire, il embrasse sa dulcinée un bon moment. Puis il s'arrète soudainement, et prend les deux main de Jeahne les portes à son coeur et lui demande :

Vien, vien avec moi! N'aimerai tu pas vivre à Langres avec moi? Tu y serai la bienvenue tu sais?

Manu ravale sa salive et regarde Jeahne avec l'anxiété de sa réponce.

Anonymous a écrit:

Un pigeon arriva au chalet ...

Citation :: Lettre de Tristan :

Merci Aylay de ton attention et de ta sympathie,

j'ai bien reçu ta lettre et Lilas et Moi sommes trés heureux!

En espérant que tout va pour le mieu à Lausanne

Amitiés,

Tristan

jeahne a écrit:: Jeahne regarde Manu bien droit dans ses beaux yeux tendres , serrant à son tour ses mains devenues si froides soudain .

Manu , n'est ce pas un peu trop tôt ? Un peu trop vite ? Tu me demande de quitter l'endroit où je viens juste de poser mon baluchon pour respirer enfin , j'ai besoin de retrouver le calme et un certain équilibre avant faire le choix que tu me demandes . Et puis j'ai encore un mandat pour la mairie d'ailleurs ,c'est un détail dans une vie certes , mais je ne peux pas partir comme ça.

Je viendrai bientôt c'est certain, très vite même je te le promets .J'ai envie de te voir chez toi, dnas ta ville , ta maison , ta forge , rencontrer tes amis , je viendrai

Jeahne se tait un instant , son coeur bat vite ,ses yeux se voilent, elle aurait envie de partir avec Manu mais la raison la retient , il lui faut du temps encore .Ses mains quittent celles de Manu et se posent sur sa nuque en une tendre caresse, puis se dressant elle lui murmure à l'oreille doucement :

tu va tellement me manquer que je serai obligée de venir bientôt .

Puis ses lèvres se posent à nouveau sur celles de Manu qui ne dit rien, les yeux perdus dans ceux de Jeahne.

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manu95 a écrit:: Manu ecoute attentivement la réponce de Jeahne. Il avait une petite déception dans son visage ,amsi au fond, il s'y attendait, et jeahne n'a pas tord.

Tu as raison, je t'en demande beaucoup. Il faut laisser le temps au temps. Je serais pacient, ne te souci point la dessu.

Manu goute alors à nouveau aux douces lèvres de Jeahne. Il était rassurer de savoir qu'elle viendrai un jour découvir à son tour le monde de Manu, sa ville, ses amis, sa vie.

Puis il s'aproche de l'oreille de Jeahne et lui souffle ces quelques mots :

Toi aussi tu va terriblement me manquer.

jeahne a écrit:: Jeahne passa une main sur la joue de Manu en essayant de sourire , un peu forcé le sourire .

- je préfère y aller Manu, te voir partir sera pour moi , plus difficile que si c'est moi qui m'en vais.

au revoir Manu, à très vite

Jeahne enlace Manu , l'embrasse avec passion et très vite tourne les talons puis se dirige vers la rue qui borde l'auberge .

Puis elle marche tout droit en serrant les mains au fond de ses poches sans se retourner .

aurevoir Manu, ...aurevoir ...je ...je t'aime ? tu crois que c'est ça ?

Jeahne perdue dans ses pensées file en direction de la mairie .

manu95 a écrit:: Au revoir ma douce Jeahne. Prend soin de toi.

après un dernier baisé, Jeahne se retourne et marche das la rue. manu la suis du regard, les yeux humide avant de la voir disparaître dans un coin de rue.

Manu prend alors le chemin du retour, laissant derière lui jeahne et marchant en direction de ses responsabilitée, Langres.

aylay a écrit:: tout s'était précipité très vite en cette belle fin d'apres midi.

manu rappellait par ses devoirs de maire avait du quitter lausanne au plu s vite,

et jeahne peinée s'en était allée dans les rues de la ville..

sinoz lui était reparti vers ses affaires.

je m'étais absentée un moment pour voir le père scarpia et lorsque je revins hern rangeait la taverne,..

sur la table la bonne bouteille de st julien tronait encore débouchée mais pas entamée.

après l'avoir aidé un moment, un peu lasse, je m"assis et me mis à caresser prune, qui venait de se coller contre mes jambes...

hern assied toi

buvons un coup , nous finirons plus tard...

le père scarpia ne peut pas me baptiser la fin de semaine prochaine il part en retraite quelques jours je pense..

décidement , je n'y arriverai jamais..

je souris a mon ami l'air un peu désabusée

à la tienne à la notre à malice , et au baptême s'il veut bien se faire un jour...

ton vin est excellent , je me mis à le siroter lentement ,laissant les saveurs se développer dans ma bouche..

j'ai entendu dire sur le chemin du retour que nous étions en tête pour le concours de peche..mais de peu devant grandson..

esperons que nous maintiendrons notre avance.

tu as vu tristan a répondu ils se sont fiancés lila et lui il y a deux jours.

j'avais envoyé un petit pigeon..

je suis contente pour eux .

hern a écrit:: Tu a raison prenons un peu de repos et faisons un sort à cette bouteille, ce n'est pas parce-que tout le monde s'est sauvé qu'on va la mettre au caniveau non plus.

Faisant tourner le vin dans le verre pour en admirer la robe, il plonge ensuite son nez pour en sentir les arômes.

Rien qu'a le sentir et le regarder il est déjà prometteur.

Allez santé ma belle , à nous, à mon ange .

Tristan s'est fiancé je n'étais pas au courant , bonne nouvelle ,je lui enverrais également un pigeon alors.

Regardant par la fenêtre.

Je crois que cette fois le printemps est là et bien là , nous allons enfin pouvoir profiter un peu de ces magnifiques paysages qui nous entourent.

Crois tu que tu finira par être baptisée toi, moi à ta place je laisserais tomber à chaque fois il se produit quelque chose.

On vit fort bien sans regarde.

Ecarte les bras en éclatant de rire.

Allez santé

Trinque en riant avec son amie.

Anonymous a écrit:: Silenoz qui avait du se retirer pour des affaires urgentes, revint en taverne l'air morose. Il s'assit à une tablée et commanda à boire. Son regard se perdait sur les marques laissez par les nombreuses chopes servit recemment...

Malice V. a écrit:: Malice vint dans la salle et vit ce client esseulé. Elle s'approcha de lui, avenante, et lui demanda ce qu'il désirait boire, tout en passant un coup de chiffonnette sur la table.( )

Un petit remontant, messire? Vous voilà bien morose accoudé dans votre coin! C'est le printemps qui se fait désirer, qui vous rend si chagrin? Ou des affaires professionnelles? En tout cas, si c'est le coeur, restez ici, au Chalet, nous saurons vous faire oublier la tristesse. Aylay arrivera bientot, et n'a pas sa pareille pour remonter le moral! Alors dites moi... une bière? Un bon verre de vin, pour une solide trempée? Ou quelque chose de plus doux?

Elle attendit sa réponse, tout en se disant que l'amertume de la bière chasserait celle de son coeur, mais que quelque chose plus doux lui re-sucrerait l'âme...

(En tout cas, pour avoir insinué que mes tables sont sales, vous me devez un godet, messire!!)

jeahne a écrit:: Jeahne avait longtemps tourné dans les rues de Lausanne après le départ de Manu, elle avait bien rencontré quelques passants et autres voyageurs mais la ville était quand même bien calme .

Finalement au bout de longues heures d'errance , elle revint à l'auberge .

Elle monta directement dans sa chambre pour se reposer et essayer de dormir un peu , la journée ayant été éprouvante .

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hern a écrit:: Comme chaque matin il revenait de la corvée de bois les bras chargés de bûches, parlant à lui même.

Bon ce serait bien que les beaux jours arrivent ,j'ai l'impression d'avoir raser toutes les forets environnantes à force de couper des bûches.

Un client matinal l'air morose était en train de se faire servir par Malice , rayonnante comme à son habitude.

Jeahne qui l'avait à peine précédé dans l'auberge montait vers sa chambre la mine tristounette.

Se débarrassant de son fardeau , il jette quelques bûches dans le feu afin de réchauffer l'ambiance un peu fraîche.

Bon voilà pour la corvée du matin , permettez l'ami que je vienne me rafraîchir à vos cotés, vous m'avez l'air bien sombre par une si belle matinée , quelques ennuis?

aylay a écrit:: j'entrais en coup de vent dans la taverne, prune sur mes talons..

hern comme à son habitude était à préparer une flambée,malice discutait avec

messire silenoz..

un sourire égaya mes traits..

bonjour tout le monde,

fais un peu frisquet on dirait..

et bien malice tu m'as l'air bien active ce matin[/b]..taquinais je mon amie matinale

je m'approchais de la table out était assis messire silenoz..

sa mine un peu fermée ne laissait présager rien de bon, malice tentait semble t'il de le dérider..

je suis ravie de vous voir messire

je mettais assise en face de lui..

vous savez que nous vous devons toujours un repas..

mais dites nous

pourquoi cette mine patibulaire,?

je tentais desesperement de capter l'attention de messire silnoz et de lui faire lever la tête..

j'avais envie de revoir son visage buriné

Anonymous a écrit:: Le borgne leva la tête le regard vide et regarda Malice...

Du vin ? vous n'avez rien de plus fort ?

Merci pour le repas dame Aylay mais je n'ai plus très faim depuis quelques temps...

Les temps sont dûr en Helvetie. Et on ne peut malheureusement rien y faire...

jeahne a écrit:: [quelques jours plus tard]

Jeahne était restée longtemps dans sa chambre a tourner , virer , écrire aussi un peu . Il lui fallait prendre une décision , partir oui mais quand ?

vite ? attendre ? les contraintes liées à son poste à la maire seraient vite réglées mais le voyage était long et difficile elle le savait . Il lui fallait le préparer .

Un beau matin , Jeahne s'y attela et commença à préparer ses affaires. Le temps avait assez duré , il lui manquait trop et elle voulait voir Guidonius . Lausanne rentrait dans une période difficile et les bagarres , parlotes et autres embrouilles allaient ressurgir .

Jeahne passa plusieurs fois à la mairie durant ces quelques jours pour régler ses affaires et rendre son mandat .

Un soir elle descendit boire une chope dans la salle commune . Silenoz et Aylay, Malice et Hern étaient là.

Bonsoir tout le monde dit elle en souriant

humm un bon feu sympathique ,bonne idée .

Aylay, as tu une bonne bière bien mousseuse à m'offrir ?

jeahne a écrit:: Aylay amena une bière à Jeahne qui resta un moment sans rien dire . Puis finalement au bout de plusieurs minutes elle annonça :

mes amis , je vais quitter Lausanne . Je pars dès aujourdhui. C'est mond ernier evrre avec vous . Je pense revenir mais quand , je ne sais pas encore , le destin me le dira sans doute .

Je vous salue tous et vous remercie de votre accueil .

Elle attend un instant et reprends avec le sourire :

Vous savez où je vais , alors je transmettrai votre amitié sincère à tous ceux qui sont là bas

Puis Jeahne se leva , alla au comproir régler sa note pour le temps qu'elle avait passé dans l'auberge .

Ensuite elle monta à sa chambre , pris son sac qui était prêt depuis quelques jours déjà . Elle avait eu le temps d'acheter une épée qu'elle s'attacha en bandoulière à l'épaule , la garde dépassant au dessus son épaule gauche . Puis elle descendit de nouveau , souriant au passage de la marche grinçante , et se dirigea vers les écuries .

Là elle retrouva Caboche qu'elle harnacha en vitesse . Miantenant qu'elle avait décidé de partir le temps lui pressait .Elle fixa son sac sur la selle , et une outre remplie d'eau . Elle sauta sur sa monture et au grand galop , sortit dans les rues de Lausanne pour disparaitre aux portes de la ville .

hern a écrit:: Hern arriva au moment ou Jeahne annonçait son désir de partir.

Je vous comprend Jeahne votre coeur est là-bas ,il est difficile de vivre loin de la personne que l'on aime.

Faites bonne route prenez soin de vous , ne nous oubliez pas trop vite et si un jour l'envie vous prend de revenir nous voir n'hésitez pas il y aura toujours une chambre pour vous.

Il l'accompagna jusqu'à son cheval , une fois installé sur sa selle ,il déposa un baiser sur sa main.

A bientôt nous l'espérons.

Il la regarda partir un moment jusqu'à ce qu'elle tourne le coin de la rue, puis rentra dans l'auberge ,pour s'atteler à quelques taches.

ayorjo a écrit:: Ayorjo s'ennuyait, il était parti à la pêche et n'avait pris qu'un poisson, mais surement parcequ'il avait préféré rêvasser sur sa barque plutôt que de surveiller sa ligne!

De retour du lac, il alla flâner dans les rues du village, Lausanne était bien calme aujourd'hui, tous devaient être en train d'effectuer leurs tâches quotidiennes, dans leurs champs ou leurs échoppes, seuls quelques enfants couraient et jouaient dans les ruelles...

Au hasard de ses pas, Ayorjo se retrouva devant le chalet des quatre, il se dit alors que peut être y avait-il de la compagnie à l'interieur.

Il entra, et vit tout d'abord Hern, qui venait de souhaiter bonne route à jeahne, eh oui, encore un départ, ce qui n'est jamais très joyeux...

Ayorjo s'attabla alors, et salua Hern d'un geste de la main...

Bonjour l'ami, je passais par là et je me suis dis qu'un petit verre ne me ferait pas de mal, et surtout un petit peu de compagnie ne sera pas de refu, vu le calme qui regne en ce moment dans notre village!

aylay a écrit:: j'entrais au moment ou ayorjo venait s'attabler avec hern..

bonjour ayorjo,ravie de vous voir .c'est vrai que c'est le calme plat..

c'ets vrai aussi qu'il y a eu pas mal de départs ces temps ci..

ayorjo

vous restez diner..

j'ai prévu un porcelet en broche pour ce soir avec quelques petits légumes, tout frais mijautés ..

hern mon ami

tu t'occupera du vin...

peut etre quelques voyageurs viendront ils à passer..

j'en ai fait un peu plus au cas ou!!

je regardais ayorjo, cet homme m'intriguait , si secret , pas trop bavard, mais souvent present en taverne..

vous savez quoi?

que diriez vous d'une partie de péche sur le lac..?

nous aurions le temps de bavarder un peu au fil l'eau

hern,si tu veux venir c'est aussi volontiers et je leur fis un grand sourire.

hern a écrit:: Du porcelet dis tu , qu'est ce que je pourrais bien vous faire déguster avec celà, un rouge pas trop corsé pour ne pas couvrir le goût plutôt délicat du porcelet.

Tient j'ai une idée sympathique un bouzy rouge connaissez vous celà, c'est un vin rouge champenois, il n'en existe guère et celui ci à la particularité d'être légèrement pétillant.

Allez je vais vous cherchez celà de ce pas.

Pour la partie de pêche aylay ,j'en revient là , mais vas y avec Aroyo, je surveille le cochon si tu veut .

ayorjo a écrit:: Ayorjo avait accepté l'invitation et avait apprécié ce diner en compagnie de ses compagnons. Le repas était divin et le vin un nectar délicieux.

Pendant le repas, Ayorjo senti sur lui des regards pleins de questions, sentant bien qu'il intriguait ses hôtes, notemment Aylay. Le mystere faisant partie du "personnage" d'Ayorjo, celà le fit sourir interieurement, il dévoilera bien assez tôt sa personnalité, car il sentait bien qu'on pouvait faire confiance à ces gens là, ils seront sans doute aussi déçus de ne rien découvrir en particulier!

Aylay, Hern, merci beacoup pour ce repas, j'espere que d'autres nous rejoindront pour continuer ce banquet!

Et Aylay, ce sera un grand plaisir qu'une partie de pêche avec vous, mais je vous proposerais plutôt celà demain, car le vin servi par Hern, bien que se buvant comme de l'eau, risque de rendre une balade en barque plutôt dangeureuse, ne risquons pas de noyade!

Ayorjo ria de bon coeur en levant son verre et proposa de trinquer...

Malice V. a écrit:: Malice arrima sa barque au ponton, ramassa au fond ses effets, son seau, sa canne et son épuisette. Elle n'avait plus d'appats, et elle en rinça la boite dans l'eau. Elle jeta un oeil vers la ville déjà assombrie par l'heure tardive. Il lui semblait entendre d'ici les questionnements de Hern, qui s'inquiétait d'elle si aisément. Mais quoi, elle avait trainé, et à vrai dire, avait piqué un petit roupillon au creux de sa barque ondulante, après s'être sifflé la bouteille que Hern avait mis pour elle dans le panier de pique nique. L'air était plus frais, et il lui tardait de retrouver la chaleur de son auberge adorée. Et se réfugier dans des bras protecteurs.

Elle courut le long des rues , tout son barda ballotant contre ses jambes, et son poisson brinqueballé au fond de la petite nasse en osier dans lequel il avait perdu la vie.

Arrivée à l'auberge, elle rinça son matériel dans la cour, alla directement au cellier entreposer son poisson. Puis monta dans la chambre se débarbouiller, se refit une beauté toute simple: une toilette et les doigts passés dans ses cheveux en guise de peigne, une robe chaude..

Enfin, elle descendit quatre à quatre les escaliers vers la grand salle, où une délicieuse odeur lui fit presque couler la salive de la bouche!

Me voilààààà!!!

Ses amis étaient attablés, le repas commencé, les bouteilles entamées.

Elle salua Ayorjo, ebourriffa Aylay, juste pour le plaisir de la décoiffer, et alla embrasser Hern amoureusement.

Elle s'installa près de lui en riant, lui vola des lamelles de viande, du bout des doigts, dans son assiette.

C'est bon, ça? Ahh, oui, c'est très bon!!!

Puis elle but au verre de Hern, trouvant comme toujours que le vin est meilleur dans le verre de son fiancé. Elle eut un soupir d'aise, et attendant que Hern la serve, elle les regarda avec un plaisir infini.

Je vous demande de m'excuser pour mon retard. J'ai trainé sur le lac. Mais j'ai couru, hein, pour arriver ici! mais je crois que ce petit porcelet, meme froid, sera délicieux. C'est un plaisir d'arriver chez soi et de trouver une si belle tablée!

Enfin servie, elle attaqua à grandes bouchées voraces la viande dans son assiette, et leur dit, en riant.

J'ai faim, je mangerai un arbre!!

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

aylay a écrit:: alors que nous avions entamé le repas , malice vint nous rejoindre.

tu fais bien d'arriver sinon on allait tout manger..

prune folle de malice, était à ses pieds, et la regardait avec dévotion

il faut dire que les morceaux grillés de cochon attirait son odorat .

tu as bien peché malice ?

justement je proposais à ayorjo de pêcher avec lui je pense qu'on va y aller demain..

je souriais à ayorjo..

si on ne prend pas de poisson,on prendra toujours l'air,esperons simplement que le temps soit clément..

alors nous nous donnons rendez vous à l'embarcadére cela vous ira

vers 7h, il vaut mieux y aller tôt afin d'avoir une bonne place...

hern tu t'es surpassé pour le cochon..

trinquons mes amis

et avec un sourire un peu chargé d'appréhenssion

ce sera la premiere que je vais sur le lac

j'ai toujours pêché du bord jusqu'a présent..

je soulevais le verre à mon tour

hern a écrit:: Elle entre tout sourire , gaie comme un pinson, vient saluer l'assemblée et l'embrasser.

En souriant il lui rend son baiser.

Bonne pêche mon coeur?

Déjà elle picore dans son assiette quelques morceaux de porcelets, et vide la moitié de son verre.

C'est toujours meilleur quand c'est volé.

Il lui donne son assiette sur laquelle elle se jette avec appétit.

En attendant de manger un arbre commence donc par un peu de cochon de lait.

Je vais en faire réchauffer un peu c'est meilleur chaud cette bestiole.

Regarde la bouteille de bouzy qui en a pris un sérieux coup derrière les oreilles.

Je vais peut être aussi aller chercher une bouteille à la cave, enfin si ces dames m'en ont laissé quelques unes.

Sourire amusé.

La prochaine fois que vous allez picoler en douce, planquez mieux les cadavres les filles . Et si vous pouviez éviter de ne taper que dans les meilleures hein.....

Part à la cave en éclatant de rire et en murmurant

De toute façon je sais ce qu'il y a dans ma cave, elle ne pourront pas me cacher leur beuveries en cachette.

Malice V. a écrit:: Malice piqua allégrement dans l'asiette de son fiancé..

Oh, oui, Hern, ça doit etre délicieux chaud!! Meilleur qu'un arbre, c'est certain. Et la peche fut moyenne, un seul poisson... On grillera du maîs pour l'accompagner, sinon, ce sera la misère!

Quand il mentionna la cave, Malice rougit violemment..Leur forfait aurait donc été découvert? meme le pire de leur forfait, quand elles avaient rempli d'eau à moitié les bouteilles qu'elles avaient toutes goutées? Elle regarda Aylay, paniquée, rougissante, et déjà un rire nerveux lui monta à la tête, rire qu'elle tenta de cacher en toussant.

Mais elle s'étrangla, un morceau de porcelet mal arrivé au fond de sa gorge... le rire se transforma en toux, et elle devint rouge vif! Pliée en deux, elle tenta de retrouver son souffle.. sa respiration se fit sifflante, bloquée par ce qui l'étranglait. Elle regarda ses amis, appella silencieusement au secours, les yeux en larmes d'affolement. Sait on jamais comme l'air est précieux, sauf quend il vient à vous manquer?

Elle se redressa, cherchant son air, étouffant toujours, et ses mains battirent en ailes de papillon devant sa gorge obstruée.. Son souffle n'était plus qu'un râle caverneux, et une douleur terrible lui serrait la gorge... Elle eut une pensée: elle allait mourir là, privée d'air comme les poissons hors de l'eau...

hern a écrit:: Hern commençait a se diriger vers la cave quand il entend une toux désagréable.Surpris il tourne la tête, Malice rouge vif la bouche ouverte comme un poisson sortit de l'eau les yeux écarquilles, faisant de grands gestes des bras, alors qu'aucun son ne sort de ses lèvres.

Inquiet il se précipite , tapote d'abord doucement dans son dos, mais visiblement cela ne donne pas grand résultats.

Se tourne vers Aylay qui surprise hausse les épaules en signe d'impuissance.

Tend un verre d'eau ,que Malice repousse de la main, il lit dans ses yeux la crainte et la panique commence à l'étreindre.

Ne pas perdre son sang froid se dit il , le morceau est entré il doit pouvoir ressortir.

Malice fait toi vomir , c'est a seule solution.

Visiblement elle a perdu tout ses moyens ,totalement affolée par le manque d'air qui commence a se voir a son teint rouge vermillon.

Puis d'un coup lui revient à la mémoire une situation semblable ou il avait vu quelqu'un faire régurgiter le morceau d'une bien étrange manière mais fort efficace.

Passant derrière Malice il glisse ses bras sous ses aisselles ses deux mains jointes au niveau du plexus et d'un coup sec il tire vers le haut. Rien ne semble se passer ,il renouvelle l'opération en un second coup un peu plus sec.

Un énorme hoquet s'échappe de ses lèvres, elle tousse comme une perdue, crache ,éructe , mais enfin respire...........

Le morceau de porcelet fautif semble avoir finit par passé .

Elle a les yeux inondés de larmes et reprend son souffle assez difficilement, mais petit à petit sa respiration redevient normale.

Il lui tient la main ,épiant pour voir si elle respire à nouveau normalement, pousse un soupir de soulagement quand il la voit prendre enfin un verre d'eau qu'elle boit à petit gorgée.

Il lui murmure.

Comme j'ai eu peur mon coeur.

aylay a écrit:: malice nous avait fait une de ces peurs avec son morceau de viande coincé..

heureusement il y eu plus de peur que de mal et je remerciais hern d'avoir eu un réflèxe salutaire.

la soirée s'était bien terminée finalement..

hier avec ayorjo nous avions été à notre partie de pêche et la journée fut très agréable..

en nettoyant la salle ce matin,'j' eus une pensée pour ayorjo...

ami, plus ?...je ne savais trop quoi en penser.

un autre homme occupait mes pensées , mais tout était confus ,

j'avais du mal a voir clair ..

j'ouvris la porte de la taverne, esperant que le soleil printanier vienne un peu réchauffer la salle commune.

des que hern ou malice serait de retour, c'était décidé j'irai faire un tour au stand de tir histoire de me dérouiller un peu le bras..

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hern a écrit:: Descendant l'escalier les yeux encore pleins de sommeil et de leur étreinte ,il faillit renversé Aylay qui rêvassait songeuse accordée au comptoir.

Milles excuses ma belle, je ne suis pas bien réveillé ce matin. Tu a déjà ouvert, pas foule ces derniers temps, les affaires ne sont pas florissantes.

Tu a une petite mine toi dis moi?

Prenant son amie par les épaules et posant un baiser sur sa joue, il l'entraîne vers une table.

Attend moi cinq minutes je vais nous chercher un truc pour nous réveiller ,j'en ai besoin ce matin.

Quelques minutes plus tard de retour de la cuisine avec deux tasses fumantes,il vient s'asseoir en face d'elle, pousse une tasse vers elle.

Allez raconte moi , tu te sent un peu seule c'est celà, tsss tsss pas la peine de secouer la tête ainsi je commence a te connaître.

Baissant la voie pour ne pas étre entendu au cas ou un client entrerait subitement.

Et Ayorjo il a pourtant l'air de te trouver charmante non?

Bon je me mêle de ce qui ne me regarde pas j'ai l'impression je n'insiste pas. Si tu a besoin de parler tu sais que je suis là en tous cas.

Boit ta tasse j'ai mis un fond de gnôle dedans ça va nous requinquer.

Eclatant de rire il empoigne sa choppe et la heurte doucement à celle de son amie.

A la notre à l'amitié et à l'amour.

En disant cela ses yeux se portent vers l'escalier qui mène vers leur chambre ou il la laissé encore endormie.

rachoul a écrit:: elle est bien votre auberge

hern a écrit:: Une personne passe la porte celà faisait deux bons jours qu'ils n'avaient pas eut de visites.

Entrez entrez jeune damoiselle, venez donc boire un petit verre , nous vous l'offrons pour votre première visite.

rachoul a écrit:: salua tout le monde

but son verre

hern a écrit:: La taverne est bien vide ces derniers temps , juste la jeune personne qui boit son verre.

Il vient s'asseoir à la table .

Nouvelle à Lausanne mademoiselle, je ne vous ais point encore croisée en ville.

Si vous avez besoin de quelques choses n'hésitez pas surtout.

rachoul a écrit:: repondu

non jre ne suis pas nouvelle

ayorjo a écrit:: Quelle tristesse une ville si calme, l'excitation des premiers jours de la création de Lausanne était passée et seuls quelques discussions politico-économiques semblaient animer les débats de quelques villageois!

Ayorjo n'avait pas le coeur à l'ouvrage aujourd'hui, il venait de passer une annonce d'embauche pour son champ, cela lui libèrerait alors la journée pour trouver une activité plus sympathique!

*Aller pêcher? Mouais, peut-être bien... mais plus tard alors* se dit-il.

Vu l'heure, il décida de se rendre au Chalet des Quatre, peut-être y trouverait-il ses amis, ou quel qu'autre badaud de passage, en tout cas un peu de compagnie, mais quoi qu'il arrive un bon repas, accompagné d'un bon breuvage qu'Hern gardait dans sa réserve personnelle!

Cela faisait un temps qu'il n'avait vu Hern, Malice, et surtout Aylay, il était d'ailleurs un peu troublé de ce qui s'était passé quelques jours plus tôt dans la taverne, ne sachant trop comment réagir suite à ces évènements.

Dans l'auberge, il ne vit tout d'abord qu'une demoiselle, il la salua, puis alla s'assoir à une table.

*Personne d'autre, peut-être seront-ils en cuisine, ou en arrière-salle?*

Ayorjo n'était pas pressé, il s'installa confortablement, se détendit, pour finalement se perdre dans ses pensées...

Malice V. a écrit:: Malice descendit en baillant et en étirant ses bras, et entra dans la grande salle.

Ayorjo était déjà là, et elle resta interdite.

Oups!!

Elle transforma son étirement en geste destiné a remettre une épingle à cheveux en place.. Sauf qu'elle avait oublié de les attacher. Ayorjo n'était pas dupe, surement! Mais bon, au diable, il était désormais un ami, et pardonnerait surement à la tavernière un dernier moment de détente avant le travail de la journée. De surcroit, il semblait perdu dans ses pensées.

Elle alla au comptoir et servit sur un plateau pain et fromages, charcuteries et vin doux, viande froide, de la vaisselle pour deux.

Sans façons, elle s'installa à la table d'Ayorjo, le faisant sursauter...

Bonjour, Ayorjo! Ca te dit de saucissonner un peu en compagnie? Sers toi, mon ami. J'ai faim! Accompagne moi. J'espère que Hern et Aylay vont nous rejoindre.

Elle disposa les assiettes et les verres, posa le plateau en bout de table, et découpa de larges tranchées dans le pain. Elle posa devant lui la terrine de lièvre, et les viandes..attaqua vigoureusement la charcuterie!

le-petit-pigeon-voyageur a écrit:: Le petit pigeon voyageur, très fatigué par son long voyage, se posa sur le bord de la fenetre de l'auberge et déposa le parchemin qu'il avait dans le bec. Il avait enfin accompli sa mission. Il prit un peu de repos et repartit vers l'auberge de son maitre, un long vol l'attendait encore, et son maitre passait son temps à envoyer des messages un peu partout.

ayorjo a écrit:: Ayorjo vit Malice descendre les quelques marches et arriver dans la salle commune, il était amusé de la voir pas très réveillée essayant de faire bonne figure quand elle se rendit compte qu'il était présent!

Bien sur il fit mine de ne rien remarquer...

quand elle vint à la table, apportant ces nombreux mets appetissants, il fut heureux de pouvoir partager ce repas avec elle, ne manquaient plus que Hern et Aylay, mais voyant Malice attaquer les plats, il se servit alors lui aussi.

Que de victuailles, servi comme un roi, j'en suis honoré! Eh bien, bon appétit alors!

Ayorjo attaqua la terrine copieusement, pris un morceau de pain et engloutit sa tartine en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire!

C'est succulent, Malice, merci pour ce repas, nous ferons les comptes plus tard!

Ayorjo aperçut alors un pigeon apportant un message, celui-ci, transmettant l'espérait-il de joyeuses nouvelle à son amie...

aylay a écrit:: je déboulais en trompe du dehors , prune dans mes jambes, manquant d e me faire tomber...

nous avions fait la course elle et moi et bien sûr ,elle s'était empressée de me mordiller les mollets..

éssoufflée , le sourire aux lèvres, quelle ne fut pas ma surprise de voir ayorjo attablait avec malice devant un plateau de victuailles pantagruesque .

malice avait la bouche pleine et semblait très affamée

dis moi la belle , hern t'a vraiment mise sur les genoux on dirait ..

et j'éclatais de rire en venant m'asseoir à leur cotés ..

je me tournais ensuite vers ayorjo qui , me regardait en souriant..

hum ayorjo , vous aussi l'air de lausanne semble vous creuser .

comment allez vous depuis l'autre jour en taverne ?, et ma main vint se poser discrétement sur celle d' ayorjo ..

je le regardais l'oeil pétillant et sourit en le voyant rougir légérement...

quelque chose vous aurait troublé ?

puis j'aperçus sur la table un parchemin

je m'en saisis et le lis rapidement

ah des nouvelles de guido et de jeahne , je suis bien contente que tout

le monde aille bien

guido semble être redevenu lui même tant mieux

hern a écrit:: La sempiternelle corvée de bois était finie, les beaux jours arrivant ils allaient en avoir bien moins besoin.

Les bras chargés de bûches il entre en sifflotant dans l'auberge.

Et bien on s'empiffre sans moi à ce que je vois.

Il se débarrasse de son fardeau et en se secouant les mains et les vêtements s'approche de la table.

Se penchant derrière Malice il dépose un long baiser dans son cou encore tout chaud de la nuit, les bras autour de sa taille fine.

Bien dormi mon ange? Je n'ai pas eut le courage de te réveiller ce matin, tu dormais comme un loir.

Fait moi donc une petite place que je goutte un peu à tout celà.

Picorant dans l'assiette de Malice , il se sert un verre un verre de vin blanc.

Remarquant la main de son amie posée sur celle d'Ayorjo il sourit discrètement.

Alors les amis biens dormis? Quand repartez vous tous les deux pécher que l'on se fasse un bon brochet au grill?

Tes appâts sont ils toujours prêt Aylay, toujours aussi efficaces?

ayorjo a écrit:: Ayorjo avait passé la soirée à boire et discutailler, mais le temps avait passé à toute vitesse et l'heure était déjà bien avancée.

Il n'avait pas très envie de rentrer chez lui ce soir, et ayant décidé de partir à la pêche le lendemain matin, il aurait tout le temps de chercher son attirail chez lui dans la matinée. Il décida donc de prendre une chambre et de passer la nuitée au Chalet.

Il se décida encore pour une petite chopine, bien que déjà bien imbibé, peu importe, ce soir il avait choisi de boire plutôt que de conduire sa charrette! Et sa mule au moins ne finira pas dans le fossé!

Aylay lui avait proposé plus tôt une des chambres disponibles, ne sachant laquelle choisir, il lui proposa de suivre aveuglément ses conseils, il était certain qu'elle lui choisirait une chambre des plus confortable!

Bière à la main, il profita encore de cet instant de détente, il se sentait bien dans cette auberge, et se réjouissait déjà en pensant au lit douillet qui l'attendait à l'étage...

aylay a écrit:: vous avez tout à fait raison ayorjo il se fait tard autant que vous passiez

la nuit ici

non hern on y retournera ensemble un autre jour mais plus tard.

quand à mes appats je les laisse au frais

et je me mis à rire doucement.

ayorjo lorsque vous aurez décidé de vous coucher , je vous montrerai votre chambre, la chambre anémone,qui donne sur le lac..

vous verrez demain matin , la vue est splendide ...

par contre ayorjo je vous propose lorsque vous serez revenu de la pêche d'aller nous entrainer au stand de tir il ne faut pas perdre la main voulez vous?.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

jeahne a écrit:

Un pigeon tournoyait dans le ciel de Lausanne , hésitant , cherchant de son oeil pourtant averti à repérer le bon site d 'atterrissage .

Il avait été surpris par les frimas persistants des cieux hélvétiques , lui qui arrivait en droite ligne et à tire d'aile des terres champenoises .

Finalement , malgré les quelques volutes de fumées qui s'échappaient de la cheminée et qui lui brouillait la vue , il repéra l'auberge , où il devait se rendre .

Plongeant son bec en direction le sol , il fit vrombir son plumage dans un piqué éblouissant pour venir se poser avec dextérité sur le rebord de la fenêtre .

Puis il attendit patiemment qu'une douce main vienne quérir avec précaution le message attaché à sa frêle patte .

Citation :: Mes amis , je crois que Guido vous a prévenu avant moi de mon arrivée à Langres . J'avoue avoir tardé à vous prévenir , légèrement emportée par la joie des retrouvailles avec ...enfin vous savez qui ...!

Mon voyage fut quelques peu mouvementé , une nuit dans les geoles franc comtoises , un procès expédié fort heureusement grâce au soutien de tous mes précieux amis ,( à ce sujet remerciez de ma part une fois de plus Elisa qui m'a apporté son soutien ).

J'ai ensuite été racketté par un malfrat bien connu par ici , il m'a volé ma grande échelle qui m'aurait été précieuse ici où les vergers pullulent et les quelques écus que j'avais en poche .

je n'ai donc rien mangé pendant mes deux derniers jours de route et suis arrivée fort affamée .

Peu importe , je suis peu attachée aux choses matérielles et fait bien peu cas de tout cela ...seul compte maintenant le plaisir d'être ici près de Manu que j'espère apprendre à connaitre bien davantage et sous des jours nouveaux ....Guido s'est empressée de me rassasier l'estomac et je ne saurai tarder à rassasier ...d'autres appétits

bon passons ....!!

Je vous embrasse tous bien affectueusement

souhaite à Aylay beaucoup d'insipration pour entretenir vaillament le théatre de kallioppé ,

salue cordialemnt Malice en la priant de bien vouloir veiller sur ma barque que j'ai laissé attachée près de l'embarcadère

et finirai par un amical et non moins affectueux tressage de moustache à Messire Hern assorti d'une bise retentissante sous les yeux noirs de Malice que je devine déjà transpercer cette missive .

Avec toute mon amitié

Jeahne

hern a écrit:: Ayorjo je suis sure qu'Aylay va vous trouver une des meilleures chambre de l'auberge .

Vous allez dormir comme un bienheureux soyez en sur.

Un bruit de plume sur le rebord d"une fenêtre resté ouverte.

Tient on dirait que voilà des nouvelles, je crois reconnaitre un des volatile d'Eleonora ,cela doit venir de Langres certainement.

Prenant l'animal sans brusquerie afin de ne pas l'effaroucher, il ôte le petit parchemin accroché à la patte.

Le déroule et en commence la lecture.

Ce sont des nouvelles de Jeahne, la voici bien arrivée à Langres, mais après maintes péripéties semble t'il, elle a été jetée en prison puis dépouillée sur la route.

Fort heureusement plus de peur que de mal ,elle est en parfaite santé nous dit elle.

Aylay elle écrit qu'il faut que tu retourne écrire des bêtises au théâtre de Kalliopé.

Elle nous embrasse tous sinon.

Aslevjal. a écrit:

Un pigeon déposa une missive devant l'auberge :

Citation :: Chere Malice,

Je vous remercie pour votre soutient dans ce moment si difficile. Hélas, je ne pense pas que vous puissiez faire grand chose pour moi. Je pars immédiatement pour Langres où je vais voir Elystra le plus tôt possible.

Ne vous inquiètez pas pour moi, je ferai appel à vous si j'en avais besoin, et je serai prêt à vous rendre la pareille lorsque vous aurez besoin de moi.

En attendant, je vous remercie, et vous dit à très bientôt,

Asle.

eleonora37 a écrit:: Nous arrivâmes tous les Spock et moi a l'auberge de nos amis.

j'ouvrit la porte et m'écria:

hého aubergiste il nous faudrais une chambre!!!!!!!

on attendais de voir la réactions de nos amis.

eleonora37 a écrit:: Nous arrivâmes tous les Spock et moi a l'auberge de nos amis.

j'ouvrit la porte et m'écria:

hého aubergiste il nous faudrais une chambre!!!!!!!

on attendais de voir la réactions de nos amis.

Malice V. a écrit:: Malice frottait le comptoir, ces satanées bouteilles laissaient toujours un rond plus sombre sur la surface satinée du bois, quand l'alcool qui coulait du goulot venait perfidement glisser le long du verre pour aller s'arrondir autour du cul du récipient, et pénétrer le bois clair. Elle aimait tout particulièrement ce comptoir dont elle ignorait de quelle essence il était fait. Elle le cirait, le lustrait avec amour tous les jours, et il prenait un aspect doré dans la blondeur duquel les chandelles trouvaient un joli reflet.

Elle sursauta quand la porte s'ouvrit avec fracas, allant frapper contre le mur. Une donzelle gueula après une chambre, Malice en lacha son chiffon!

Mais l'arrivante riait déjà, et Malice la reconnut!

Avec un cri de joie, elle contourna le comptoir, et se jeta dans les bras de la voyageuse!

Eleo!!! Ca alors, ça alors!! Alors ça alors!! Je n'en reviens pas!!!

D'un coup d'oeil par dessus l'épaule de son amie, elle vit la haute silhouette de Spock, lui adressa un sourire ravi.

Elle recula un peu des bras d'Eleonora, pour les voir tous les deux!

Alors votre voyage de noces passe par chez nous, c'est un honneur!! mais venez, entrez, entrez... posez vos bagages là!! Vous avez des chevaux? l'écurie est sur le côté du Chalet! Oh, et quelle chambre je vais vous donner.. oh la la... mais quelle surprise!

Elle repartit à son comptoir, leur donnant de multiples instructions "posez vos bagages, là, oui, là", "enlevez vos manteaux", asseyez vous là", tout en composant sur un plateau un petit frichti de bienvenue, bouteilles de vin et et cruchons d'eau, pain, fromages et fruits secs...

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

aylay a écrit:: nous n'avions pas croisé âme qui vive et bientôt dans le brouillard se dégageant du lac, je vis enfin l'auberge..

je poussais un soupir de soulagement, la petite était presque endormie sur mon épaule ,

je sentais qu'elle faisait des cauchemars car elle parlait en criant..bien que menue, je n'en pouvais plus de la soulever, j'étais en mille morceaux.

nous nous étions bien battues et vaillamment avec eve pour sauver no s vies et nos biens mais à present les stigmates se faisaient jour sur nos corps..

je me touchais la joue, je devais etre toute bleue un gros coup de poing m'avait été asséné par le colosse qui nous avait dévalisé.

heureusement poupette avait eu la bonne idée de s'éloigner.

. et j'avais eu du mal a la récupérer , le brigant s'étant déja enfui depuis longtemps.

apres avoir aidé eve à descendre de sur poupette, et la tenant par l a taille.pour l'aider à marcher,nous nous approchâmes de l'auberge.

je ne pris pas la peine de rentrer la jument dans l'écurie, malice ou hern ou n'importe qui s'en occuperait.

d'un violent coup de pied, je fis ouvrir la porte .

celle ci claqua en se rabattant sur son dormant..

nous entrames , épuisées , toutes les trois, en quasi haillons, je crus reconnaitre éleonra et spock , mais je me dis que je devais délirer et je vis malice , seule bouée de sauvetage..

malice vite vite aide nous on a été attaqué sur le chemin..

prend la petite s'il te plait ,je n'en peux plus

Malice V. a écrit:: La porte s'ouvrit encore une fois en coup de vent. Malice sursauta encore, se demandant quel langrois allait franchir la porte ce coup ci! Aylay, une jeune femme et une petite fille!

Le premier sourire de Malice à la vue de son amie s'effaça très vite, comprenant qu'il y avait un grave problème.

Elle lacha son plateau qui tomba à terre dans un fracas tonitruant, et une gerbe d'eau et de vin éclaboussa ses pieds et sa jupe de ruissellements couleur sang.

Elle se précipita vers son amie, affolée! Elle attrapa la petite fille dans un bras, d'une secousse l'assura bien contre elle, et récupéra Aylay par la taille de l'autre bras. Aylay n'avait pas laché l'autre jeune femme, et c'est en se soutenant mutuellement qu'elles arrivèrent toutes les quatre jusqu'aux banquettes près de la cheminée.

Prune arriva près de sa maitresse revenue en aboyant de joie, ajoutant à la confusion. Malice la chassa sans succès, puis la chienne s'éloigna pour s'en aller dévorer le fromage qui avait roulé sous une table.

La petite fille fut mise dans les bras d'Eleonora, Aylay allongée sur une banquette avec moults gestes tendres et précautionneux, et la jeune femme installée sur l'autre banquette. D'un coffre, Malice sortit des couvertures dont elle les couvrit. Ceci fait, elle retourna s'asseoir auprès de son amie, la palpant pour mille petites vérifications.

Tu as mal, tu as quelque chose de cassé, tu veux un médecin? Que vous est il arrivé? Qui sont tes compagnes? Une mère et sa fille? Où est le père? Vous avez été violentées?

Malice posa la dernière question à voix basse, jetant un coup d'oeil en coin à Spock, qui de lui même avait entrepris le nettoyage du sol. Puis Malice alla de même vérifier l'état de la jeune femme inconnue, lui arrachant grimaces et gémissements, mais apparement rien de plus que de douloureuses contusions. Elle leva enfin la tête vers Eleo, qui tenait toujours la petite fille en lui murmurant des paroles rassurantes. Malgrè le poids sur son coeur, Malice sourit, Eleo avait vraiment la fibre maternelle!!

Et comment va la petite, Eleo? A t-elle besoin d'un médecin, selon toi?

Puis Malice poussa un long soupir angoissé...

aylay a écrit:: aussitôt que malice fut prés de nous, je me laissais aller non sans qu'elle eut prit la petite entre ses bras.

tant bien que mal nous finimes par arriver aux banquettes, ou je me laissais choir , et dorlotée par malice...

sachant florette en sécurité, je fermais un instant les yeux , eve, était couchée aussi , épuisée et meurtrie.

malice , dis je à mon amie inquiéte, en les regardant elle et éleonora avec la gamine dans les bras,

viens pres de moi que je t'explique toute l'affaire..

ensuite il faudra donner à manger ,laver et cajoler cette petite merveille,qui n'a de sévices que moral,

à voix basse , je poursuivis , pour que la petite qui venait de se réveiller n'entende pas.

on a vu ses parents égorgés sur le chemin entre ici et fribourg quand a nous nous avons été racketté ,

et nous nous sommes battues , heureusement nos vies ,le très haut soit loué , ont été épargnées.

nous avons simplement perdu nos bourses et nos marchandises.

je tentais de m' asseoir, je sentis ma tête tourner.

je crois qu'il nous faut manger un peu et boire aussi

eve vas tu bien demandais je en me tournant vers mon amie à coté.

je ferais les présentations un peu plus tard .simplement voici eve , qui a décidé pour mon bonheur de venir vivre avec moi ici à lausanne..

j'espére que ce début difficile nous donnera la force de regarder l'avenir avec une grande sérénité.

malice s'il te plait occupe toi de la petite en priorité,on peut attendre.

Eve_marie a écrit:: Ouvrant un oeil, je souri douloureusement à Malice. J'étais heureuse qu'Aylay n'ai pas été trop blessée.

Oui je vais bien mon amour, j'ai mal partout mais cela aurai pu être pire. La petite, comment va-t-elle ? Excuses moi je n'ai pas tout entendu ce que tu disais, je crois que tu te remet plus vite que moi.

Me tournant vers Malice, je lui fait un signe de tête pour la remercier d'avance de son acceuil

Je suis enchantée de te voir Malice.

Malice V. a écrit:: Malice, l'air pas maline avec sa bouche bée regardait Aylay et Eve tour à tour, assimilant la nouvelle. Le temps que cela fasse le chemin de ses oreilles à son cerveau, un large sourire naquit sur son visage, puis un rire bref: Aylay la surprendrait toujours!

Soyez la bienvenue, Eve, malgré cette première journée si néfaste! je vais vous préparer une chambre.. heu.. je vous prépare bien une chambre ou ce n'est pas la peine?

Malice se leva de la banquette, regardant Aylay pour tenter de savoir jusqu'où avait évolué leur relation, et l'air très explicite de son amie fit marmonner à Malice: Autant pour moi, pas de chambre...

Comme Eleo semblait pétrifiée, Malice alla lui retirer la petite des bras, embrassa la gosse sur la joue, lui sourit, cachant comme elle le pouvait le chagrin qu'elle ressentait à savoir ses parents morts dans de si horribles circonstances.

Plus tard, tout en baignant la petite qui ne semblait guère farouche, une fois l'estomac plein, Malice se demanda que faire de cette trouvaille. Sans doute faudrait il aller voir le père Scarpia, qu'il sache si l'enfant avait été baptisée, ainsi que les services de la maréchaussée.

Aylay et Eve avaient aussi mangé, et s'étaient retirées pour se remettre de leur voyage funeste .

Malice sècha l'enfant qui semblait s'appeler Florette, la vêtit d'une chemise qu'elle avait trouvée dans une lingère de la chambre d'enfant que les anciens propriétaires avaient laissées intacte, avec lit, jouets et vêtements. Il faudrait relaver les habits qui avaient un peu jauni, mais sinon, tout cela était d'un grand secours.

Quand ses cheveux furent secs, Malice brossa les boucles de Florette, si douces sous ses doigts. Puis elle prit l'enfant dans ses bras, et tentant de lui arracher un rire à l'aide d'une petite chatouille, sans trop de succès, évidemment, elle l'amena à son lit, installé dans la grande salle, à l'écart.

Allez au lit, ma puce! Une petite sieste, ça te fera du bien!

Elle installa Florette dans le lit, la laissant juste assise pour qu'elle s'habitue à son nouvel environnement, approcha un fauteuil du petit lit, courut chercher le linge à repriser dans sa propre chambre, revint courant toujours de peur que la môme ne se soit mise à pleurer, toute seule... Mais non, elle regardait tout autour d'elle, curieuse, les yeux se fermant doucement, sous l'effet des tensions et de la fatigue qu'elle devait ressentir. Malice ferma un peu les volets, qu'une lumière moins vive feutre les couleurs de la pièce.

Allez, chérie, tu veux bien t'allonger?

Elle installa l'enfant entre les draps de lin, s'installa elle même dans le fauteuil auprès du petit lit, prit de l'ouvrage sur ses genoux. Une chemise de Hern, avec un trou à l'encolure... Hern.. Enfouissant son visage dans la chemise, Malice se mit à pleurer doucement.

eleonora37 a écrit:: Reprenant conscience de tout ce qui ce passer, je regarda Malice, Aylay , Eve et cette petite fille.

Malice pleuré Aylay devait recuperer avec Eve .

Je vais vous servir un verre, la petite dors , vous les filles vous avez bien besoin du bonne liqueur pour vous remettre un peu de tout cela j'ai rapporter une bouteille de Chouchen alors buvons.

Je servi quatre verre et l'ai tendis au fille.

Puis dans le silence j'enfila le verre cul sec .

hern a écrit:: Hern descend de l'étage un sac sur l'épaule, une large cape posée en travers du sac.

Dans l'escalier il reconnaît plusieurs voix dont celle d'Eleonora.

Un maigre sourire éclaire son visage.

Aylay est là avec une femme qu'il n'a jamais encore croisé, mais dont son amie lui à parlé.

Avançant vers Eleonora il la prend dans ses bras pour l'embrasser affectueusement.

Bonjour petite soeur , content de te voir.

La voix et le sourire n'y sont pas .

Les quatre femmes sont en train de boire , un peu plus loin une petite forme est emmitouflée dans un linge.

Vous avez été attaquée en route Aylay, diantre, celà va bien? vous n'avez pas été blessées au moins?

Visiblement ce n'est pas le cas même si les deux femmes semblent secouées.

Il écoute les explications d'Aylay, mais de temps à autre son regard quitte la discution pour aller vers Malice, qui silencieuse se tient de l'autre coté de la table. Il a remarqué les yeux légèrement rougis .

Dieux que c'est difficile se dit il.

Ces brigands deviennent de plus en plus entreprenant je trouve, il faudrait que nous fassions quelques choses....... enfin que vous .........il interrompt sa phrase qu'il ne peut terminer .

Malice V. a écrit:: A l'écart de la pièce, près du lit de Florette, Malice leve la tête à l'entrée de Hern dans la grande salle. Il devise avec Eleonora, puis Ayay qui le met au courant des derniers rebondissements de son voyage. Malice a dit rapidement à Aylay que Hern quitte Lausanne, et la voix des deux amis est tendue.

Malice, elle, ne dit rien. Ouvrir la bouche pour parler la fait automatiquement pleurer, maintenant que le départ de Hern est confirmé. Leur séparation devrait être un bienfait, elle sera peut etre une catastrophe.

Elle baisse la tête à nouveau. Boire du regard cet homme qu'elle aime n'apporte que de la souffrance.

Elle ramène son regard sur la chemise trouée, passe le doigt dans la déchirure, l'agrandit un peu. Oups. Hern ne pourra pas l'emmener, avec ce grand trou pas réparé. Malice sait déjà qu'elle dormira avec. Si elle garde quelque chose de lui, il reviendra peut être.

Elle bat rapidement des paupières pour retenir ses larmes. Mais elles roulent, brûlantes sur ses joues empourprées.

Cachée derrière ses cheveux qui lui tombent devant la figure, Malice fait semblant de ravauder la chemise.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

hern a écrit:: Spock et Eleonora discutent de leur prochain départ pour le chemin du retour. Bientôt, pas maintenant, pas déjà. Il sait que leur départ veut dire le sien et tout son être se révolte contre celà.

Aylay finit de leur raconter son attaque, mais il a de plus en plus de mal à ce concentrer sur ses paroles, pourtant il est follement soulagé que son amie soit saine et sauve, même si elle a perdu beaucoup, ainsi que sa sa compagne, dans l'aventure.

Toute son attention est accaparée par Malice qui un peu plus loin répare une de ses chemises, sa chevelure aux couleurs d'incendie de foret cachant son doux visage. Elle lui apparaît tout d'un coup comme au premier jour, à Abas sourdis quand il admirait ses cheveux auquel le feu de cheminée donnait de doux reflets cuivrés.

Tant de chemin parcouru depuis ce jour, combien de doux bonheur, de merveilleux instants....pour arriver à aujourd'hui......

Sa main se porte à une petite sacoche accrochée à son cou, un petit peu d'elle y est enfermé, il la serre comme si elle allait disparaître.

Coure vas y ,prend la dans tes bras, dis lui que tu l'aime ,que tu ne peut pas......... sa tête va exploser sous ses pensées qui reviennent sans cesse.

Mais ils en ont longuement parlés tout à été dis, partir pour sauver leur amour, quelle amère solution, quel horrible tourment.

Une boule au fond de sa gorge qui ne veut pas passer, il doit être fort pour eux deux, mais en aura t'il la force.

Aylay qui le connaît si bien a perçu sa peine ,elle s'est tue, comprenant sans avoir à parler tout ce qui se joue .

Lentement il s'approche d'elle..........

Malice

Malice V. a écrit:: Malice...

Il est là, il est tout près, il s'est approché, et elle a eu conscience de chacun de ses pas vers elle, de chacun de ses regards. Elle reste immobile, le visage toujours baissé, enfoui derrière sa tignasse jamais bien coiffée, maintenant tronquée d'une longue mèche que Hern va emporter avec lui.

Plus il s'est approché, plus ses larmes ont coulé, finissant par tomber en auréoles salées sur le tissu élimé de la chemise abimée. Ses épaules sont maintenant secouées des sanglots qu'elle ne peut plus réprimer. Elle lache le vieux vêtement, se cache dans ses mains, ne se retenant plus, honteuse de libérer son chagrin devant tout le monde, souhaitant ardemment disparaitre dans un gouffre qui s'ouvrirait miséricordieusement sous son fauteuil.

Elle tend une main vers Hern, garde l'autre en place pour y dissimuler son visage écarlate et ses larmes.

hern a écrit:: Ce qu'il devinait se révèle sans aucuns doutes possibles. Elle pleure son corps secoué par les sanglots.

Sa main qui se tend vers lui ,cet appel muet, ce cri du coeur que personne d'autre que lui ne peut entendre. Il à l'impression d'étouffer de manquer d'air tellement sa poitrine lui fait mal insérée dans un étau invisible qui l'oppresse, l'étau de la douleur qui en devient physique tellement elle est forte.

En deux pas il est a ses cotés ,prend la main dans la sienne, s'accroupit près d'elle,a ses genoux, mais cela lui importe tellement peu,le regard des autres à ce moment est le dernier de ses soucis, qu'ils pensent ce qu'ils veulent,la seule chose qui compte est ce qu'elle pense, rien d'autre.

Cette boule qui lui prend la gorge qui l'empêche de parler, mais quoi dire de toute façon qui n'aurait pas déjà été dis?

Le seul mot qui aurait put changer les choses, c'est elle qui le détient et elle ne le prononcera pas trop sure qu'il faille en passer par là pour faire durer leur amour.

Alors à défaut de mots il lui reste ceux que seuls les yeux peuvent dire , de son autre main il relève doucement son visage inondée de larmes, il voudrait les sécher une a une embrasser ses yeux pour ne plus qu'ils laissent couler leur peine, il se contente de plonger son regard dans le sien pour y lire comme si souvent il a fait, pour venir y puiser sa force, pour que les siens lui dise ce que sa bouche n'arrive pas à prononcer.

aylay a écrit:: afin de faire diversion et de rendre l'atmosphére plus légére s'il s e pouvait.

je fis les présentations à eve de prune..

regarde eve, je te présente prune notre bouvier bernois.. a present c'est aussi ta chienne.

malice, dis je à mon amie, qui ne quittait plus du regard hern..

je crois que prune sera une bonne occupation pour la petite...

elle adore les petits , je suis sure qu'elles vont bien s'entendre.

en attendant prune, faisait la fête a éve, lui léchant les mollets, esssayant d'attraper le bas de la robe...

tiens je crois que tu as conquis son coeur et je fixais eve intensément en lui souriant

puis la chienne comme par présentiment se precipita dans les jambes de hern, et se colla à lui cherchant a se faire caresser, elle lécha sa main qui trainait.

bon je crois que ca ne sert a rien de nous laisser aller il faut penser a l'avenir,

je m'avançais vers hern,et le pris dans mes bras.

je sais qu'on se reverra il n'y a pas de raison pour qu'il en soit autrement, je l'embrassais tres fort en souriant ..

prend soin de toi ,je sais que tu vas faire un peu de route avec eleo et spock alors cela me rassure un peu

puis plus bas je poursuivis

je prendrais soin de malice ne t'inquiéte pas et surtout donne des nouvelles les pigeons c'est fait pour cela

Malice V. a écrit:: Aylay la sauve d'une crise de larmes accrues. Avoir Hern à ses genoux, cherchant courage et amour dans ses yeux, comme si elle était l'idole, comme si elle saurait apporter la solution et les réponses à toutes leurs interrogations..c'était si douloureux!

Aylay, son amie, son appui, leur amie, leur appui, à Hern et elle..

Malice se sait en tort, mais pourtant, elle ignore comment les sauver, Hern et elle, eux qu'elle a cru soudés par un amour inaliénable.

Elle calme ses pleurs, s'apaise, entendant les mots de réconfort de Aylay pour Hern, mots que Malice prend aussi pour elle, tant elle a besoin de baume au coeur. Pourtant, elle n'ose pas dire qu'elle aussi a le coeur meurtri, car elle se sait coupable... coupable d'avoir laissé la morosité de la routine les embourber, coupable de ne pas avoir su rester égale dans ses sentiments, comme Hern a su le faire.

Elle lève la tête, regarde de ses yeux rougis le couple enlacé formé par les deux chers amis que sont Aylay et Hern, souffre de voir que la situation va aussi les forcer à ne plus se voir, eux qui se connaissent depuis bien avant l'arrivée de Malice à Langres. Elle se mord la lèvre jusqu'à en avoir si mal qu'elle se lève brusquement!

Elle va vers eux, et de la tête, se fraye un passage sous leurs bras mélés, s'insère dans leur ronde enlacée , entoure la taille de Aylay et celle de Hern de ses bras glacés, pose la tête sur l'épaule de Hern, et dans la chaleur de cette réunion faite d'amour et d'amitié, reprend confiance.

hern a écrit:: Aylay qui cherche par ses mots à apaiser sa peine comme à une autre époque il l'a fait pour elle, leur amitié solide et sincère est un réconfort, n'est ce pas lui qui dit si souvent 'l'amitié qui rend la vie plus belle et le désespoir plus loin'? Un peu, pas assez sans doute, mais un peu n'est ce déjà pas beaucoup?

Elle le serre dans ses bras l'assurant de son retour, parole incantatoire ,mais a t'il besoin d'être persuadé? Il lui murmure tout bas .

Merci, prend bien soin d'elle je te confie ce que j'ai de plus précieux.

Prune se frotte à ses mollets en poussant de petits jappements comme si elle aussi veux lui dire au revoir. S'accrochant à son bas de pantalon comme pour le retenir.

Puis elle s'approche se glisse près d'eux, son bras autour de sa taille sa tête doucement posée sur son épaule, elle est glacée , ses cheveux ruisselants sur son épaule et son torse.

Il les serrent toutes deux dans ses bras ,posant ses lèvres sur les cheveux de Malice, qu'il embrasse et embrasse encore , respirant longuement pour sentir son parfum, s'en imprégner, pour l'emporter avec lui dans la solitude qui va être la sienne.

Frottant doucement son épaule de sa main pour la réchauffer tout autant que pour sentir encore la douceur de sa peau sous ses doigts.

Ils restent ainsi un long moment tous trois enlacés, puis doucement Aylay se dégage les laissant tous les deux pour une dernière étreinte.

Il sait que le moment est venu, mais il n'arrive pas à s'arracher à ses bras ,pourtant il le doit, pour ne pas la faire souffrir inutilement.

Lentement avec autant de peine que si c'était un seul corps qui se séparait en deux ,il l'éloigne doucement de lui, la tenant tendrement par les épaules .

Il ne se tiennent plus que par le regard ,mais ce lien là sera sans doute le plus difficile à rompre.

Eve_marie a écrit:: Je me penche doucement vers Prune, lui tend la main pour qu'elle la sente, je la caresse doucement le dessous de la tête. Cette chenne est magnifique.

Je me relève et regarde Aylay, je cherche ce qu'elle a au fond de son regard mais ne trouve pas.

Je me blottie dans ses que j'aime tant.

Je vois Malice aux prises à un grand désarois, je ne sais pas trop comment l'aborder car je ne la connais pas trop et n'ai pas envie de m'imposer à elle après tout nous ne nous connaissont pas bien toutes les deux.

Je m'approche quand même et lui fait mon plus beau sourire en guise d'amitié car les mots ne viennent pas.

Je me tourne vers Hern

Au revoir Hern, prend soin de toi et donne des nouvelles on ne se connais pas trop non plus mais je sais que tu es très important pour Aylay. Bonne route.

Florette a écrit:: Florette se réveille... elle a chaud, n'a plus vraiment faim... elle veut un câlin de maman.

Mamma? Mamma? MAMMA?

Elle ne reconnait rien autour d'elle. S'asseoit dans le lit où elle a dormi, et son menton tremble, annonçant les pleurs.

Des grands sont là, elle ne les connait pas beaucoup, papa et mamma ne sont pas avec eux. Florette se rappelle maintenant que ça fait longtemps qu'elle n'a pas vu papa et mamma. Sans eux, elle est toute seule. Il faut qu'elle les retrouve!!

Elle se lève, tente d'enjamber les barreaux du lit, tombe à terre brutalement. Le choc la laisse surprise une seconde, puis elle se met à pleurer, hurlant ses appels à ceux qui ne sont pas là, et sans qui elle n'est plus qu'une orpheline...

Eve_marie a écrit:: J'entend la petite Florette pleurer. Je me précipite vers elle pour la consoller. Je la prend dans mes bras, la berce, lui dit des mots doux à l'oreille, je la rassure du mieux que je peux. Malgrès mes efforts, je ne suis pas très douée et elle a du mal à se calmer.

Je l'ammenne à la cuisine tout en lui parlant pour lui mettre un peu d'eau froide sur le front qu'elle a tout rouge de sa chutte.

Je lui parle encore et encore, je la rassure en lui disant qu'elle est à l'abrit ici, que nous somment là pour elle, qu'elle ne craint rien.

Florette voit mes traces de coups au visage , me demande ce qu'il m'est arrivé, les touche du bout de ses doigts frèles.

Ce n'est rien ma petite je suis tombée pendant le trajet qui m'a ramené à Lausanne et je me suis fait mal

J'avais tant de peine pour cette petite, que je ne puis me résoudre à lui dire la vérité sur l'attaque celà aurai entrainé trop de questions, fait remonté trop de souvenirs dans sa tête, il faudra que nous lui disions la vérité mais il est encore trop tôt.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Malice V. a écrit:: Dans ses yeux, Hern peut lire: n'oublie pas que je t'aime, ne te perd pas en route, fais attention à toi, pardonne moi, pardon, pardon, pardon...

La tension qu'elle ressent est à son comble, elle voudrait que cette scène dure toujours ou qu'elle cesse de suite. Etre face à Hern qui est sur le point de partir est la pire chose que son coeur d'amoureuse a jamais ressenti.

Elle a voulu qu'ils se quittent, et maintenant, elle est terrorisée d'etre prise à son piège. Et s'il ne revenait jamais? S'il trouvait l'amour en cours de route? Elle fouille dans les beaux yeux tristes de son amour , éperdue et affolée, se sentant comme une condamnée qu'on va faire marcher vers le billot, cherche l'assurance qu'il reviendra, qu'il a déjà décidé de revenir un jour.

Il la tient par les épaules, l'éloigne de lui doucement. Elle se laisse faire comme une poupée de son. Simplement, elle tend le bras, et sur le côté gauche du torse de Hern, elle trace un coeur du bout du doigt. Puis elle caresse sa joue, va perdre ses doigts dans sa barbe.

Il va partir, et elle, elle va mourir, elle en est sure. Comment son coeur , ce félon, pourra t-il continuer à battre, sans exploser ou cesser tout à fait de vivre?

Florette pleure, et Malice a un mouvement vers l'enfant, mais Eve se précipite pour la cajoler. Cela brise l'immobilisme dans lequel elle se sent engluée, et donne à Malice le courage de reculer d'un pas pour se dégager et laisser Hern partir.

Laisser Hern partir...

Eve_marie a écrit:: La petite dans les bras, je me rapproche de Malice. Elle a l'air désemparée, desespérée, j'aimerai l'aider, la consoller, trouver les mots pour la rassurer. Je m'approche d'elle, la sert de mon bras libre, lui dépose un bisou tendre sur ses cheveux soyeux et la regarde dans les yeux en fesant passer dans mon regard toute l'amitié que je lui porte

Courage ma douce Malice, nous somment là pour t'aider n'hésites pas à venir demander de l'aide

ayorjo a écrit:: Ayorjo était revenu de son petit voyage et ne pouvait que constater les changements survenus lors de son absence. Il avait tout d'abord aperçu Aylay, qui semblait être heureuse, et Eve-Marie, la raison de ce bonheur...il en était très heureux pour son amie, qui méritait bien cette joie plantée dans le coeur telle la flèche d'un cupidon!

Mais Ayorjo avait également appris le départ de Hern, et il venait d'assister à une bien triste scène...Malice sera triste et sans doute inconsolable, mais nul doute que ses amis et lui-même feraient tout pour être présents dans ces moments difficiles, afin de la soutenir et qu'elle puisse retrouver le sourire...

Ayorjo avait aussi appris l'attaque de Aylay et de ses compagnons de route par des brigands. Quelle plaie ces bandits qui attaquent les honnêtes gens sur les chemins de nos contrées! Ayorjo était soldat mais ne pouvait rien faire, il ne faisait qu'obéir aux ordres, si cela ne tenait qu'a lui il irait de ce pas trouver ce brigand de bas-étages et lui faire regretter son geste!

En entrant dans l'auberge, il avait également vu la petite fille qu'Aylay avait recueillie, blottie dans les bras d'Eve-Marie. Il n'avait pas beaucoup de compétences en matière d'enfants, mais il s'approcha doucement, pour ne pas effrayer d'avantage la petite qui avait l'air totalement perdue au milieu de tous ces inconnus.

Bonjour petite fille, tu dois être la petite florette, moi c'est Ayorjo.

Il posa doucement sa main sur la tête de l'enfant, esperant que ce geste soit rassurant, apaisant, car la petite semblait apeurée, elle tremblait...

Ne t'en fait pas petit ange, tu es en sécurité avec nous, nous veillerons sur toi.

Ayorjo regarda alors Aylay d'un oeil complice, puis Eve-Marie d'un oeil accueillant, et enfin à Malice lança un regard qui disait "courage".

Puis, Ayorjo se dirigea doucement vers une table à l'écart, lentement s'assit,

il avait un instant oublié qu'il était lui-même épuisé, il se sentait las, un peu de repos lui ferait le plus grand bien...

hern a écrit:: Elle dessine du bout de son doigt sur son torse un coeur.

Il ne peut détacher son regard du sien ,y retrouve tout la passion qui les a unis, les a fait s'aimer au delà du possible.

La douleur qu'il y trouve aussi lui fait mal jusqu'au plus profond de lui même.

Elle est à un pas de lui si proche et déjà si loin, il voudrait encore la serrer dans ses bras, embrasser ses yeux, ses lèvres, dessiner de son doigt la courbe de sa bouche. Tous ces petits gestes du quotidien ,qu'il a fait cent fois et qui vont tant lui manquer.

Il serre les poings, refusant l'inéluctable, mais il sait qu'il n'a pas le choix.

A l'intérieur du dessin qu'elle a fait sur sa poitrine il inscrit lui même une lettre une seule mais cette lettre veut tout dire pour lui.

M

Il ferme les yeux une seconde pour rompre le lien , pour lui dire aussi qu'il a compris. Lui murmure

Je t'aime je reviendrais.

Puis fait demi tour ,ramasse ses affaire et part, sans se retourner sinon il n'aura plus la force, il sent son regard sur son dos, une larme roule sur sa joue, il est dehors.

Le lac brille sous les dernières lueurs du jour, brouillé par les larmes qui lui inondent le visage. Il s'enfuit presque de peur de faire demi tour de courir la retrouver.

En franchissant les portes de Lausanne il sait qu'il y laisse son coeur, qu'elle le garde avec elle, laissant dans sa poitrine un trou béant et douloureux.

aylay a écrit:: tout s'enchaina tres vite, hern et malice , a se dire au revoir douloureusement , florette la petite en pleur et eve ausitôt pres d'elle, puis ayorjo qui vint nous rendre visite , et enfin dans un silence religieux le départ de hern.

je m'avancais vers malice, et la pris contre moi pour la serrer très fort, c'était elle la priorité, je savais florette entre de bonnes mains, je lançais un regard de tendresse vers eve qui parlait doucement à l'enfant..

et en même temps mon front se ridait à l'idée de hern courant sur les routes à la recherche de son amour,et de malice là avec ses questions ses doutes , ses remords surement ,ses regrets aussi..

allez mon amie , c'était nécessaire tu le sais bien

alors souris il reviendra et votre amour avec lui

viens asseyons nous avec ayorjo ,

eve , viens on va boire , cela va nous réchauffer un peu..

je fis asseoir tout le monde,ayorjo avait l'air las ,je lui souris

prune vint au pied de malice puis se releva pour venir renifler la main de florette qui se mit à sourire enfin..

regardez prune et la petite font connaissance , elles vont bien s'entendre je pense

malice a present il y a florette,elle est notre enfant à toutes les trois, je suis sure que cela va te changer les idées de l'avoir pres de nous

je regardais aussi eve, et je lus dans ses yeux une lumière que je 'n' avais pas vu jusqu'a present ,

l' instinct maternel venait de se dévoiler la en quelques secondes.

je restais suspendue a sonregard , à lafois étonnée mais aussi ravie ..

c'est normal, allons, c'est toi qui n'est pas maternelle, mais c'est bien que eve ait ce sentiment..pensais je enregardant tour a tour eve florette malice et ayorjo..

eve est si jeune , un soupir m'échappa, c'est normal elle voudra un enfant un jour...

allez n'y pense pas

je m'activais d'un coup , chassant mes pensées , et apportais sur l a table de quoi saouler toute une armée

allez mes amis nous voila bien armés pour lutter contre la morosité..

Eve_marie a écrit:: Je m'installe à la table auprès de ma chérie,prette à faire la fête!!!

Je vois une drole de lueur dans les yeux de ma belle.

Mais qu'est ce qu'il t'arrive ma belle, à quoi tu pense? Tu me fais peur tu es si préocupée, si pensive. Qu'est ce qui ne va pas ?

En attendant une réponse, je remplis les choppes pour que nous puissions nous changer les idées qui étaient bien noires en ces heures difficiles.

Allez, venez, je sais que le moment n'est pas vraiment propice à la fête mais il ne faut pas se laisser aller. Tous à table !!!!

ayorjo a écrit:: Ayorjo vit avec joie ses amis, amies fallut-il préciser, s'assoir avec lui à la tablée et Aylay avait sans doute trouver une bien agréable solution à tous ces soucis: boire et pourquoi pas manger!

Je crois qu'un peu de convivialité nous fera le plus grand bien, trinquons, buvons, oublions....

Ayorjo leva sa chope remplie d'un breuvage doré et descendit cul-sec son demi-litre salvateur, il se sentit d'un coup rafraichit et revigoré, et sa barbe encore remplie pleine de mousse, fit un grand sourire....

rahhhhh!!!voilà un excellent remontant, en tout cas sur le moment, mais je pense que vous serez d'accord avec moi Mesdames pour dire que partager une biture entre amis est un très bon remède!!!

Ayorjo sortit alors sa bourse et en sortit quelques écus...

Je serais ravi maintenant de vous offrir un bon repas, je dois avouer que je dois reprendre des forces après ma mésaventure, Aylay, Malice, vous auriez bien en réserve quelque trésor gustatif dans votre cuisine?!!!

Malice V. a écrit:: Quand Malice releve enfin la tete, elle sait que le monde a changé. Ses amis ont recommencé à s'animer, et devant elle, un grand vide: Hern n'est plus là. Elle perd l'air un instant, et se ressaisit vite! Maintenant, assumer à tout prix!

Ayorjo pose des pièces sur la table, Malice les ramasse avec un pauvre sourire, et les rend à leur propriétaire.

Point d'argent aujourd'hui, mon ami! C'est en ami que vous partagerez notre table!

En allant vers la cuisine, Malice enlace rapidement Aylay qu'elle croise, murmure un "merci" ému, puis file en cuisine préparer un autre plateau, garni de bonnes choses, copieuses et gourmandes, terrines, pâtés et salaisons, fromages et légumes, du pain frais du matin, propres à satisfaire les ventres les plus dificiles. Et surtout, surtout de bonnes bouteilles venues de la cave de Hern, dépoussièrées pour l'occasion.

Malice remonte de la cave, deux bouteille serrées contre elle, précieusement.

En l'attendant, les filles ont dressé le couvert, se sont attablées. Malice regarde tout son petit monde, sourit comme elle peut, mais sourit quand même: la présence de ces gens qu'elle aime, même les nouveaux, lui fait chaud au coeur! Elle est moins seule qu'elle ne le croyait!

Eve_marie a écrit:: Je regarde Malice, troublée de la voir dans un tel désaroi, sans ne pouvoir faire plus. Une larme coule de mon oeil malgrès moi, je l'essuye avant que Malice ne la voie. Je lui fait mon plus beau sourire, espérant la réconforter un peu.

Alors qu'est ce que tu nous remonte de beau Malice ?

aylay a écrit:: malice faisait face du mieux qu'elle pouvait

son étreinte furtive me fit comprendre combien elle avait besoin de notre présence a tous..

hern aussi me l'avait confié, il n'était pas question de la laisser tomber une seconde.

un beau déjeuné vient se presenter sur la table ayorjo malgré notre peine semble avoir une étincelle dans le regard à voir toutes ce s victuailles je lui souris.

avec eve nous nous affairions pour dresser le couvert tandis que malice remonte de la cave les deux bras chargés de bouteilles fort prometteuses..

eve semble sincèrement peinée de voir ainsi malice et mon coeur s e serre aussi..j'ai presque honte du bonheur que je vis au pres de éve.

vien t'asseoir au pres de moi malice , viens

et je commence a ouvrir les bouteilles.

je croisque nous allons leur faire unsort ..

on va fêter cette petite merveille et je montre florette qui s'amuse assise par terre avec prune , elle lui tire les poils et rit a present insouciante et gaie...

malice mon amie ,il faut que je te dise deux choses

et je lui prend les mains doucement

d'abord tu le sais tu es ma meilleure et ma seule amie d'ailleurs ...et l apresence de éve n'y change rien

ta place dans mon coeur est toujours la même

je tache de capter son regard voulant bien lui faire comprendre qu'ell e n'est pas seule ni abandonnée.

voila pour notre amitié qui t'es acquise sans restriction.et puis hern ne te laissera pas longtemps éve et ayorjo dodelinent de la tête approuvant mes paroles .

puis je me léve , et vais me placer derriere éve.

je dois vous dire aussi que florette va etre notre fille des a present

elle a besoin d'amour et nous en avons à revendre éve et moi.

florette va rester avec nous tout le temps regardez comme elle est bien et nos regards se tournèrent vers la petite .

Malice V. a écrit:: Quelques jours avaient passé, couvrant le chalet d'un voile à la texture étrange.

Pour Malice, le monde était devenu cotonneux, elle assistait en spectatrice au bourgeonnement de la vie autour d'elle. Aylay et Eve, Florette et Prune, les couples inséparables. Au milieu, Malice liée à tous et solitaire pourtant. Ayorjo était parti faire retraite quelques jours, et sa bonne humeur manquait à Malice.

Au delà de ce quotidien rassurant, le monde était devenu gris. Hors des bois blonds qui doraient la grande salle, tout était terne. Les exclamations amoureuses d'Eve à Aylay, de Aylay à Eve, les cris de Florette, ses rires, les jappements de Prune, tout parvenait à Malice comme si elle avait mis de la laine dans ses oreilles.

Aller se coucher était redoutable, aussi Malice avait emménagé ailleurs, dans une chambre non louée, impersonnelle, bien que chaleureuse dans sa décoration. Pour autant, elle dormait dans la chemise de Hern, qui avait gardé sa déchirure, la tête posée sur l'oreiller de Hern.

Aujourd'hui, derrière le comptoir, Malice surveillait Florette et Prune qui jouaient, bébé d'homme et bébé chien unies dans une parfaite entente. Qui savait si sans Prune, la petite fille se fût si facilement adaptée à sa nouvelle vie? Malice souriait sans s'en apercevoir, quand un dérapage incontrolé de la petite chienne fit éclater de rire Florette, rire de cristal, qui fit aussi rire Malice.

Rire... une nouveauté dans cette nouvelle vie!

Malice alla voir si Prune ne s'était pas fait mal en allant se cogner en dérapant contre les pierres de la cheminée, tâta la peau ferme sous le pelage fourni, mais la petite chienne n'avait pas l'air de souffrir. Elle s'étala au sol, ventre offert aux caresses, dont la tavernière la gratifia bien volontiers.

Puis elle se releva, alla prendre Florette dans ses bras, lui donna un bisous, fit des chatouilles. La gamine se tordait en glapissant de rire dans ses bras, et Malice riait encore.. Elles se calmèrent toutes les deux en buvant un verre de lait, dans une banquette devant le feu.

Petit moment de sérénité... Le lait était crèmeux, les petits biscuits savoureux. Le feu faisait craquer les buches dans l'âtre. Florette bailla un peu, et Malice s'adossa au dossier de la banquette, se calant dans les coussins moelleux..

Viens, ma puce..

La fillette ne se fit pas prier, vint se blottir. Malice serra autour d'elles comme un cocon le châle qui ne la quittait jamais, les emmitouflant d'un nuage laineux. Elle commença à raconter une histoire, où un chevalier aurait dû terrasser un dragon pour l'amour d'une princesse, mais le chevalier n'atteignit jamais le château..

Laquelle de la femme ou de la petite fille s'endormit la première....

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