Les Royaumes Renaissants *** Lausanne *** La ville de Lausanne et ses habitants |
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| Le salon des arts , au 12 juillet 2007 | |
| | Auteur | Message |
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jeahne Admin
Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007
| Sujet: Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Mer 1 Aoû - 20:03 | |
| Sauvegarde du 01/08/2007 19:01:21 Lien original : http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=214401 Nombre de messages sauvegardés : 28 Nombre de messages dans le topic au total : 28 - guidonius a écrit:
- Guidonius n'avait pas eu le temps de beaucoup écrire depuis leur départ de Langres. Celà commencait à lui manquer un peu. Il entra dans le salon des arts et posa le poème qui venait de lui valoir la troisième place au concours de Champagne. Le salon était encore bien vide, mais il espérait que d'autres comme lui, y poseraient leurs poèmes, leurs musiques ou leurs peintures.
- Annabelle01 a écrit:
- Merveilleuse idee, je suis contente..bravo
- Chef.des.ombres a écrit:
- Chef des ombres avait rapidement eu vent d'un lieu de poète. Souriant il avait souvenir de son livre de mémoire avec ses poèsie, certain les disent noir, d'autre doux et profond. Il allait voir cela.
Il était déjà rassurer de ne pas être seul dans la poèsie. - Citation :
- Lame ensanglantée
Ce matin en ouvrant les yeux, Sur ce monde immonde nous n’étions plus que deux, Je me suis mis sur mes deux jambes, voila j’étais levé... Approchant du carreau, je vis mon reflet... Mon reflet transpercé par la pluie tombante, J’avais passé la nuit dans une maison plaisante, Les fantômes de mes guerriers à mes cotés... Alors que tous dormaient... La moitié avait succombé de leur nuit... Voila le prix de la lame ensanglantée, Elle sert son maître mais en échange demande des vies, Et la elle en a trop demandé... Depuis vingt année elle m’a servi, Pendant tout ce temps j’ai sévi, Cherchant toujours et encore a en finir, Mais à tout cela je ne faisais que mettre fin à des avenirs.
Commençant comme espion, Servant et protégeant une nation, Qui m’a rejeté pour service rendu, Me laissant à la rue... Mais ma lame ne put les protéger d’avantage, Et là où mon bouclier se levait pour protection, Maintenant ma lame fendait leur monde, voila le début des pillages. Vivez, heureux ou malheureux, mais faites toujours attention. Car la fin n’est pas arrivée, Et mon épée, ma vie, je la brandis, Avec autant de rage que d’énergie, Pour tous vous faire succomber... Maintenant mes hommes se sont éveillés... Et la bataille finie dans la soirée, Va bientôt recommencer. Tous sont en train de s’équiper... Alors que pour certaines... Les femmes des condamnés, Sont en train de pleurer, Leurs pauvres maris, ayant quittés mon domaine... L’ombre de la liberté et de la paix, Se gagne par des jours entiers de combat, Gagner par la force de nos volontés, C’est la vie qui a force de loi... Enfourchant nos chevaux, Nous sommes en notre nom nos héros Ainsi va la vie pour les porteurs des lames ensanglantées... En cela nous nous sommes engagés ! La vie du groupe n’est pas que vœux honteux... C’est ainsi que nous vivons libres comme l’air, En portant le nom de Panthèreux, Bienvenue dans La Panthère Des Enfers !
Par Chef Des Ombres - Anonymous a écrit:
- Enseveli sous une épaisse couche de glace
Fouetté par les vents d’une tempête hurlante Les rayons du soleil dardant moins sa surface Le laissant là dans une détresse accablante Tel le noir ou la mort sur la sinistre place Dors sur ses larmes, sa peine si grisonnante Pour la froideur qui s’apaise, s’éteint et s’endors La douceur qui, elle, surprise de par sa légèreté Tel une caresse qui le grise de son doux réconfort Un souffle qui ne cesse de tempérer, réchauffer Remplaçant la mort par la vie, sans grand effort Chatoyant de par son givre, fondant et enfiévré Tel une fleur dont ses pétales s’étirent, s’éveillent Un torrent de flamme ardent qui clame sa passion La touche de couleur qui émeut de ses merveilles Enivré de son cœur, son âme, la perte de la raison Avec ce sourire qui enjolive un visage, vermeille S’empourprant sur la beauté de ses courtes saisons Les beaux jours ensoleillés qui s’effritent avec lenteur Chatoyant de ses tons chaud qui se fanent rapidement Versant ses larmes froides et grises sans aucune pudeur Tel une main qui accueil la mélancolie tout doucement Avec tristesse, sombre certitude de sa cruelle rancœur S’endormant tel un songe qui s’oublie gracieusement
Vryn - hern a écrit:
- Son ami guido l'avait précédé , mais qu'a cela ne tienne il ne serait pas en reste.
Puisque la st valentin avait débuté ce lieux il continuerait dans la même veine. En ce jour merveilleux Fêtes des amoureux Je ne peux faire l’impasse Ne point lui rendre grâce A elle qui sans vouloir D’un geste d’un regard A bouleverser mon cœur L’inondant de bonheur D’une caresse de la main D’un doux baiser mutin Elle sait en un instant Enivrer son amant Si gracieuse et féline Si douce et si câline Elle m’offre tour a tour Milles facettes de l’amour Elle est mon beau soleil Tout en elle m’émerveille Et je crie donc aux cieux Que je suis amoureux Amoureux d’une femme La princesse de mon âme Malice a qui chaque jour Je veux dire mon amour. Je t’aime
Dernière édition par le Mer 1 Aoû - 20:06, édité 1 fois | |
| | | jeahne Admin
Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007
| Sujet: Re: Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Mer 1 Aoû - 20:04 | |
| - Web-Cart a écrit:
- Mon Amour
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés, Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour. Tout deviens beau et merveilleux Quand je vais me noyer au large de tes yeux. Des sentiments encore ignorés se sont crées Il faut les conserver et ne jamais les briser. Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré. La flamme de mes yeux s'est allumée Le soir ou nos lèvres se sont touchées. Aujourd'hui le destin nous appartient A nous seul de savoir prendre le même chemin. Mon amour pour toi est le plus grand Je n'ai aucun doute sur mes sentiments. Je t'aime. Déplacé dans le tropic salon des arts. *~trouble_fêtes~* - aylay a écrit:
- je ne voulais pas être en reste et profitant du lieux
pourquoi pas !! ma déclaration... a toi qui joue merveilleusement du piano sur les touches de mon coeur faisant vibrer toutes les notes en une indiscible harmonie pour un subtil crescendo qui se termine sur un air de bango.. hihi je vous ai bien eu ce n'est pas mon poême et plus sérieusement si possible ^^ - Citation :
- Un jour tu es arrivé,
Ce n’était pas la meilleure journée Pourtant nous nous sommes croisés, Et nos deux solitudes apaisées. Farceur, élégant, poète et virevoltant , sensible jusqu’au bout des dents J’ai appris peu à peu à t’apprécier Toi que je pensais ne jamais aimer Ton sourire désarmant, tes inquiétudes farfelues Tout cela pour te dire que tu m’as plu. Et tes lèvres de douceur, tes mains aux longs doigts fins M’ont ouvert les yeux sur toi ce matin Ont éloigné tout mon passé Jusqu’ a ne plus vouloir te quitter. J’espère qu‘a présent tu auras compris A quel point tu fais parti de ma vie. Guido troubadour et musicien. Je veux te prendre par la main , faire avec toi un bout de chemin Et te dire du bout des lèvres, Que je voudrais que tu sois mien Je ne te dirais pas toujours, Simplement te parler d’amour Et là coeur contre coeur Écoutons notre bonheur Guido tu es un sacré numéro, Mais il n’en existe pas de plus beau Qui me fait me sentir vivante Et vibrante et chatoyante, Je t’aime à ta démesure Et sans aucune peur de rupture Car tu m’as ensorcelé Au grés de tes poèmes enlevés Je t’aime tout de go Et je n’ajouterais pas d’autres mots. , - Malice Vorkosigan a écrit:
- Cachée dans un coin, Malice écoutait les poètes. Elle souriait de voir que , que l'on soit troubadour ou brigand, frêle donzelle, farouche amazone ou homme solide, l'amour vous menait toujours de jolis mots aux lèvres.
Hern déclamait son poème, elle en avait été la première auditrice. Emue comme la première fois, elle l'écouta religieusement. Elle appuya la tête contre le mur, attendrie qu'il vienne ici faire revivre ses mots d'amour pour elle. Quand il eut fini, il se dirigea vers la sortie, et elle l'y retrouva. Sans plus rien dire, les mots du poème flottant encore autour d'eux, elle se glissa sous son bras, enserrant sa taille, et ils sortirent ensemble de la salle, pour aller à la découverte de la ville. - Anonymous a écrit:
- Dès ce si doux matin à mon réveil
Lorsque je posai les yeux sur ses merveilles Des montagnes aux neiges éternelles S'étendaient sous ce soleil vermeille Et de mon âme ou de mon coeur Je m'en suis follement éprise Là où ce vent frais sans pudeur Se lève, souffle et me grise De ses beautés qui m'éblouies Je laisserai mon âme de nuit Contempler ses jeux de la vie Aux contours de mes viles envies À ses pieds une étendue cristalline Miroitante de milles rêves et illusions De certains souvenirs qui me chagrinent De certains désirs ou encore de passions En ses terres majestueuses et belles Mon corps finira par s'y enraciner De ses longues racines rebelles De toute ma vie j'y serai emmêlée - DarkAngel9 a écrit:
- A Web...
C'est un soir en taverne que je t'ai rencontré, Mais aucune étincelle ne m'a fait chavirer. Ton amour pour moi grandit de jour en jour, Mon coeur, lui, cherche toujours l'amour. A force d'insister et de perserver, J'avais fini par accepter d'etre à tes cotés. Hélas, entre nous il y avait trop de silences, De tabous, d'instants remplis d'absences. C'était trop flou toutes ces transparences, Entre nous, il y avait ce vide immense ! Je suis donc partie loin de ton coeur, Car je n'y voyais pas vraiment le bonheur. Aujourd'hui c'est seule que je pars sur les chemins, Toi, tu fais partie de mon passé, Le futur entre mes mains laisse moi choisir mon destin, Laisse moi libre de m'envoler. L'amour a besoin d'être réciproque... Nous deux... on ne vivait pas à la meme époque...
- Chef.des.ombres a écrit:
-
- Citation :
- Méditation dans les songes !
C’est dans le coeur des montages, Que je me suis transporté, C’est au coeur de ces montagnes, Que je me force à méditer, Vent du monde et vent des cieux, Vien à moi caresser mes yeux clos, Doux moments de ce monde merveilleux, Vien à moi glisser sur mon dos, Dans la danse des chants d’oiseaux, Je murmure mes secrets aux clapotis de l’eau, Sous le parfum des fleurs du matin Je me souviens de ton corps sous mes mains, En voulant oublier, Je me suis souvenu, De certains moments perdus, De certaines nuits ou mon corps t’appartenait ! Je sens encore tes caresses, Mes mains glissant sur tes hanches, jusqu’à tes fesses, Les douces morsures de complicité, Et ton doux regard qui m’est destinée, Ô bel amour de ma vie, Tu sais chaque jour me faire sourire, Tu sais à jamais graver nos moments de plaisir, Tu es la femme de ma vie, je t’aime ma mie ! - Web-Cart a écrit:
- A Dark
Mon coeur déchiré Nul part où allez Il n'y a plus de lendemain Sur cette terre de chagrin Mes yeux inondés Ma peau mutilée Porte les marques de mon existence Dans cette vie de démence Dans un ultime hurlement Quel triste châtiment Mon âme s'est suicidée En t'aimant je l'avais condamnée Comment je vais vivre maintenant Avec les ténèbres en dedans | |
| | | jeahne Admin
Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007
| Sujet: Re: Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Mer 1 Aoû - 20:05 | |
| - hern a écrit:
- Ce poéme le premier pour son ange était un souvenir emouvant pour lui. Il le déposa ici un sourire radieux aux lévres.
La fenêtre de mon cœur était restée ouverte Et dans un battement d’aile un papillon charmant Aux couleurs mordorées aux douces lèvres expertes Est venu voleter pour mon ravissement Mes yeux suivant les courbes de son vol si gracieux Rencontrèrent les siens et le temps suspendu Pendant qu’elle venait en un geste merveilleux Poser sur mon épaule sa silhouette menue Légère comme le vent fraîche comme la rosée De quelques battements d’ailes et d’un sourire radieux Apaisant les tourments de mon âme blessée Rien que par sa présence elle sut me rendre heureux Ho charmant paillon ho délicieuse femme La douceur de tes mains, le souffle de tes baisers Ton charme et ton esprit ravivent cette flamme Rappelant a nouveaux tout le plaisir d’aimer - Chef.des.ombres a écrit:
- Petit souffle de vie perdue ...
Je ne le savais pas encore, Je ne le savais que trop peu, Je n’en étais point sûr, tu m’en veux ? Je n’en étais point sûr, sent tu mon corps ? Par je ne sais quel malheur, Par je ne sais quel tristesse, Parce que je voulais notre bonheur ? Parce que je ne voulais aucune faiblesse ? Si seulement j’avais été présent, Si seulement j’avais été là... Es-ce que ça aurait changé, Même un seul instant, Ce petit souffle de vie germait, Jusqu’au moins entendre son cœur battant, Mais tout ça n’est pas, Mais tout ça n’est plus, Mais notre enfant ne viendra pas, Mais notre enfant ne grandira plus, Mon cœur, Je te demande pardon, Mon cœur, Je te demande pardon, A cause de moi il n’est pas là, A cause de moi, il ne viendra pas, Mais mon cœur, nous sommes là, Mais mon cœur ne m’en veux pas, Je sais que c’est dur, Je sais cette sensation d’être en bas, Je sais, il est grand ce mur, Je sais qu’on y arrivera, pas à pas, N’oublie pas je suis là, près de toi, N’oublie pas nous somme deux, N’oublie pas que je t’aime moi, N’oublie pas que je suis toujours amoureux ! Mon cœur, S’il te plais ne pleure pas, Mon cœur, S’il te plais répond moi ! **** "Je t'aime mon amour, et sa malgré tout ! Je t'aime pour la patience que tu as eu avec moi, je t'aime car tu as toujours était là ! Je t'aime car tu es tot pour moi ! Je t'aime car on a notre famille avec nous ! Je t'aime envers et contre tout ! Alors s'il te plait répond moi !" - jeahne a écrit:
- En sortant de l'église , Jeahne déambula dans les rues de Vannes de longues heures . Elle tomba soudain en arrêt devant une enseigne qui lui fit chaud au coeur. Elle entra dans le Salon des Arts et lut longuement tous les magnifiques poêmes et autres écrits , déposés ça et là.
Sachant qu'elle devait partir , elle se dit que laisser une petite trace de son passage serait sympathique . Elle s'installa dans un petit coin , sortit de son sac quelques feuilles de vélin délicatement roulées , prit une plume et un petit flacon d'encre qu'elle avait toujours sur elle et se mit à écrire . Au bout de quelques instants , elle déposa à son tour la feuille qui s'était noircie rapidement sous l'effet magique de l'inspiration. Puis , Jeahne rangea son matériel d'écriture et s'en fut de nouveau dns les rues de Lausanne . - Citation :
- Un beau matin après une nuit sombre
un beau matin dans la pénombre tu viendra la chercher pour partir un beau matin tu l'emportera pour aller vers l'avenir un beau matin elle t'attendra les bras ouverts et le coeur avide pour elle seule tu viendra remplir ce monde si vide un beau matin tous les deux on partira sur les chemins peut etre alors qu'on sera heureux si Dieu le veut , peut etre enfin - Anonymous a écrit:
- Le jour se levait sur Lausanne et le Léman. Sur une hauteur qui dominait la ville et le lac, un homme était assit face à un chevalet qui supportait une toile encore blanche. Un fusain dans une main, il attendait tranquillement que la lumière du soleil d'hiver illumine la cité. Silenoz se grattait la barbe en réfléchissant par quelle partie de sa toile il devrait commencer...
Après quelques minutes de réflexion, il commença ces esquisses. Concentré sur son travail, il ne remarqua pas que ces deux corbeaux, Hugin et Munin, se fussent posés sur ses épaules. Les deux volatiles scrutaient les mouvements rapides et délicats de l'artiste. Les lignes et courbes principales de l'oeuvre enfin terminées. Il prépara les couleurs et nuances de ses peintures et les appliqua sur le croquis de Lausanne... Malgré son oeil borgne, il réussissait à capter les tons exacts de la ville qui lui faisait face. Après un long moment passé à contempler la peinture et poffiner les derniers détails. Il attrapa une corne qui était attachée à sa tunique. L'objet qui servait de récipient, contenait de l'hydromel. Il en bu quelques gorgées en admirant le paysage environnant, pendant que les peintures séchaient...
Puis Silenoz repartit en direction de Lausanne sa toile sous le bras ces corbeaux sur les épaules. En marchant à travers les rues, le borgne s'arrêta devant le Salon des Arts. Il y entra et lu quelques poèmes. Remarquant qu'il n'y avait pas de peintures exposées, il décida d'y laisser la sienne. Après avoir signé son oeuvre, il la fixa sur un mur et repartit en direction de sa demeure.... | |
| | | jeahne Admin
Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007
| Sujet: Re: Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Mer 1 Aoû - 20:08 | |
| - thalys20 a écrit:
- voici un petit texte sur l'Amour... de ma composition
c'est ma seule creation sur ce sujet !!! sourire !! il n'est pas récent ************************************************************* J'ai fait un rêve d'Homme ... qui aimerait ma liberté car lui ne l'a pas tout à fait ... qui n'exigerait rien de plus que la meilleure part de moi ... qui serait attentif sans être prégnant ... qui saurait mes faiblesses sans en faire ses armes ... qui saurait ma force sans vouloir me faire plier ... qui me protégerait sans trop me le montrer ... qui me ferait grandir en me préservant enfantine ... qui m'aimerait Femme mais pas seulement
Un homme présent... mais pas trop... juste ce qu'il faut pour que le désir ne se conjugue pas au commun Un homme absent... mais pas trop...car il saurait où commencent mes inquiétudes et le sentiment d'abandon Un homme qui me donne quelques fois du temps, mais un temps bien à moi, précieux, avec des rêves et des folies accessibles Un Homme sans cœur mais pas dénué d'Ame Un homme qui vienne a moi fou de désir Un homme qui soit là pour longtemps, mais pas tout le temps Un homme " fil rouge "... Ce "vieil" amant...Mon Pygmalion
Et que la réciproque soit Vraie... Alors Avec un peu de chance...et si naît l'alchimie des corps et des sens Si tu es ce rêve d'Homme, peut être serai-je ton rêve de Femme thalys - Elystra a écrit:
- D'amour et d'amitié
L'amitié éphémère et froide qui glace les coeur Avant qu'arrive un malheur Qui n'est pas réelle Ne sera jamais éternelle Celui qui d'un coup fait basculer le présent Sur un souffle fait tourner le vent D'un mensonge est née D'un vérité sera cachée Qui nous fait grandir Fait le plus souffrir Le levant debout Sera un peu plus que tout Celui qui veut changer l'autre ne réussira pas sa faute... Celui qui dure une éternité Qui sais réconforter et apprécier l'être aimé Que le sourire de l'autre nous fait éloigner la tristesse Loin fait ressentir la détresse A qui l'on peut tout pardonner, Sur qui l'on peut compter Que l'on oubliras jamais Ou il ne sera jamais dit "mais" Après la mort sera encore plus fort Donnant donnant ne sera point qui donneras autant Ou ne peut être compter Pour pouvoir se rapprocher Que le pardon rapproche l'âme Qui n'importeras pas qu'il parle comme un âne Pour terminer, celui de l'amour Qui pour toujours manque et fait pleurer Car l'amour débute en amitié et ne peut se terminer Que par un baiser Ou une épée.
Elystra de la Foltière - stefdebruoxella a écrit:
- Une poésie ..... quoi de plus beau quand elle parle de nous !!!
Ode à Anna .... qui en moi fait résonner le glas ! Une rencontre, la notre, S'est faite un vingt et un ! L'amour frappa nos portes, Il ouvrait un long chemin ! Ce petit matin du 21 septembre, Liait nos vies, nos destinées ! Je t'accueillis dans mon antre, Tu devins ma bien aimée ! Dans tes yeux d'émeraude, Chaque jour je me noie ! Tu es ma belle esquimaude, Ma fiancée venue du froid ! Dans notre règne animal, Tu représentes la colombe ! Pour toi je me veux magistral, Il faut que tu me domptes ! Au fond de mes yeux azur, Jour après jour tu flamboies ! Nous aimons nos folies sans armure, Pour clore chacun de nos ébats ! Annabelle, je te dédie cette ode, De mes yeux, je veux te voir vivre ! Pour toi j'aurai même de la méthode, J'aime quand mon coeur ... tu chavires !
Merci Guido de m'avoir guidé jusqu'ici .......... - jeahne a écrit:
- Jeahne se dit que ce n'était pas parce que Guido était parti qu'il fallait laisser tomber le salon des Arts .
En fouillant dans ses poches , dans son sac , Jeahne sortit une vieille feuille de son carnet , toute recroquevillée , plissée et jaunie qu'elle avait oublié...là... Comme l'inspiration n'était pas de mise en ce jour, elle laissa donc cette feuille au salon . - Citation :
- Amère certitude d'une fin si proche
douce amertume d'un passé si présent qui sans relâche toujours mon âme écorche ô lueurs obscures d'un futur si lointain Emmitouflées dans de noirs sentiments m'envahissant avec si peu de soin mon coeur brulé chaque fois en chavire mes pauvres yeux à nouveaux en pleurant perdent leur vibrants éclats de rire j'arriverai à t'oublier si ma raison se fâche j'espère vite oublier ces ultimes moments Je t'oublierai , oui , si mon coeur enfin se lâche - hern a écrit:
- Se dit que jeahne a raison, la poesie doit perdurer.
Qu’il est doux d’être aimé Par une femme merveilleuse Qu’il est doux de l’aimer Vouloir la rendre heureuse Donner a chaque instant La quintessence de soi Pour que tous nos moments Soit fait d’amour de joie Ne plus penser au moi Pour ne penser qu’au nous Ecouter cet émoi Qui rend nos plaisirs fous Deux cœurs un seul amour Deux corps un seul désir Je le veux pour toujours Malice t’entendre rire Voir dans tes grands yeux clairs S’illuminer sans fin La plus douce des lumières Ton amour et le mien - hern a écrit:
- Pour que vive la poésie
Joli papillon aux couleurs de l’amour En venant te poser au creux de mon épaule Tu as conquis mon cœur A jamais pour toujours Il n’appartient qu’à toi Me murmurant tout bas Emmène moi voler toujours entre ses bras - La Bertille a écrit:
- Ah, c'est qu'c'est ben beau, les poèmes d'amour.. J'revions qu'on m'écriv' un beau..
Bertille badait les jolis mots déposés là, et enviait les jeunes bergères à qui ils étaient adresses. Elle soupira au vent: Ah,l'amour de mon coeur, j'pouvions ben dir' qu'c'est toué, J'reverions d'une balade, on irait aux bolets Au détour d'un fourré, j'irions s'couer la frisée Et au r'tour fou d'amour, tu te jett'rais sur moué! Elle repartit, trainant des sabots, sachant que plus jamais on ne lui écrirait un poème à sa gloire! - Malice V. a écrit:
- Malice n'était pas venue là depuis bien longtemps, où résonnaient encore des mots à elle adressés. Des mots d'un autre temps, temps heureux...Mais la vie va et vient, bouscule les projets, tourbillonne autour des amours, bouscule les certitudes.. Ce soir, tard, elle avait envie de venir mettre quelques lignes.
Heureuse au bord du lac, je regardais au loin Et plus je regardais, plus mon coeur était lourd Lourd de regrets amers, et je me sentais moins Heureuse au bord du lac, mon coeur devenait gourd. Alors j'allais au Sud sous un masque cachée Là où était l'amour, là où j'ai cru mourir Tout au bord de l'oubli je vous ai retrouvé Et d'être aimée de vous j'ai eu fervent désir! Et puis je m'aperçus que j'avais fait souffrir Que durant mon absence, vous étiez malheureux Avais je donc le droit de vouloir revenir Au moment où enfin, vous tombiez amoureux? Mais c'est plus fort que moi, je ne peux oublier Que venir dans vos bras fut l'objet de ma quête Pourtant pour vos souffrances, il me faut expier A d'autres amours que mien vous laisser faire fête. Renoncer à vos bras me fut fort douloureux! Par deux fois vous laissais adorer une femme, Baissais les yeux pour ne pas vous voir amoureux Et tentais d'oublier le chagrin de mon âme. Vous êtes allé au Nord, sous un masque caché Là où est mon refuge, lieu de résurrection Sommes nous au bon endroit pour un nouvel essai? Sommes nous prêts pour la fin de nos tribulations? | |
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