Les Royaumes Renaissants *** Lausanne ***
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 Le salon des arts , au 12 juillet 2007

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jeahne
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MessageSujet: Le salon des arts , au 12 juillet 2007   Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Icon_minitimeMer 1 Aoû - 20:03

Sauvegarde du 01/08/2007 19:01:21
Lien original : http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=214401
Nombre de messages sauvegardés : 28
Nombre de messages dans le topic au total : 28

guidonius a écrit:
Guidonius n'avait pas eu le temps de beaucoup écrire depuis leur départ de Langres. Celà commencait à lui manquer un peu. Il entra dans le salon des arts et posa le poème qui venait de lui valoir la troisième place au concours de Champagne. Le salon était encore bien vide, mais il espérait que d'autres comme lui, y poseraient leurs poèmes, leurs musiques ou leurs peintures.
Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Saint_12
Annabelle01 a écrit:
Merveilleuse idee, je suis contente..bravo Laughing
Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Clochebouton01mo5
Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres avait rapidement eu vent d'un lieu de poète. Souriant il avait souvenir de son livre de mémoire avec ses poèsie, certain les disent noir, d'autre doux et profond. Il allait voir cela.
Il était déjà rassurer de ne pas être seul dans la poèsie.

Citation :
Lame ensanglantée
Ce matin en ouvrant les yeux,
Sur ce monde immonde nous n’étions plus que deux,
Je me suis mis sur mes deux jambes, voila j’étais levé...
Approchant du carreau, je vis mon reflet...
Mon reflet transpercé par la pluie tombante,
J’avais passé la nuit dans une maison plaisante,
Les fantômes de mes guerriers à mes cotés...
Alors que tous dormaient...
La moitié avait succombé de leur nuit...
Voila le prix de la lame ensanglantée,
Elle sert son maître mais en échange demande des vies,
Et la elle en a trop demandé...
Depuis vingt année elle m’a servi,
Pendant tout ce temps j’ai sévi,
Cherchant toujours et encore a en finir,
Mais à tout cela je ne faisais que mettre fin à des avenirs.

Commençant comme espion,
Servant et protégeant une nation,
Qui m’a rejeté pour service rendu,
Me laissant à la rue...
Mais ma lame ne put les protéger d’avantage,
Et là où mon bouclier se levait pour protection,
Maintenant ma lame fendait leur monde, voila le début des pillages.
Vivez, heureux ou malheureux, mais faites toujours attention.
Car la fin n’est pas arrivée,
Et mon épée, ma vie, je la brandis,
Avec autant de rage que d’énergie,
Pour tous vous faire succomber...
Maintenant mes hommes se sont éveillés...
Et la bataille finie dans la soirée,
Va bientôt recommencer.
Tous sont en train de s’équiper...
Alors que pour certaines...
Les femmes des condamnés,
Sont en train de pleurer,
Leurs pauvres maris, ayant quittés mon domaine...
L’ombre de la liberté et de la paix,
Se gagne par des jours entiers de combat,
Gagner par la force de nos volontés,
C’est la vie qui a force de loi...
Enfourchant nos chevaux,
Nous sommes en notre nom nos héros
Ainsi va la vie pour les porteurs des lames ensanglantées...
En cela nous nous sommes engagés !
La vie du groupe n’est pas que vœux honteux...
C’est ainsi que nous vivons libres comme l’air,
En portant le nom de Panthèreux,
Bienvenue dans La Panthère Des Enfers !

Par Chef Des Ombres
Anonymous a écrit:
Enseveli sous une épaisse couche de glace
Fouetté par les vents d’une tempête hurlante
Les rayons du soleil dardant moins sa surface
Le laissant là dans une détresse accablante
Tel le noir ou la mort sur la sinistre place
Dors sur ses larmes, sa peine si grisonnante
Pour la froideur qui s’apaise, s’éteint et s’endors
La douceur qui, elle, surprise de par sa légèreté
Tel une caresse qui le grise de son doux réconfort
Un souffle qui ne cesse de tempérer, réchauffer
Remplaçant la mort par la vie, sans grand effort
Chatoyant de par son givre, fondant et enfiévré
Tel une fleur dont ses pétales s’étirent, s’éveillent
Un torrent de flamme ardent qui clame sa passion
La touche de couleur qui émeut de ses merveilles
Enivré de son cœur, son âme, la perte de la raison
Avec ce sourire qui enjolive un visage, vermeille
S’empourprant sur la beauté de ses courtes saisons
Les beaux jours ensoleillés qui s’effritent avec lenteur
Chatoyant de ses tons chaud qui se fanent rapidement
Versant ses larmes froides et grises sans aucune pudeur
Tel une main qui accueil la mélancolie tout doucement
Avec tristesse, sombre certitude de sa cruelle rancœur
S’endormant tel un songe qui s’oublie gracieusement

Vryn
hern a écrit:
Son ami guido l'avait précédé , mais qu'a cela ne tienne il ne serait pas en reste.
Puisque la st valentin avait débuté ce lieux il continuerait dans la même veine.
En ce jour merveilleux
Fêtes des amoureux
Je ne peux faire l’impasse
Ne point lui rendre grâce
A elle qui sans vouloir
D’un geste d’un regard
A bouleverser mon cœur
L’inondant de bonheur
D’une caresse de la main
D’un doux baiser mutin
Elle sait en un instant
Enivrer son amant
Si gracieuse et féline
Si douce et si câline
Elle m’offre tour a tour
Milles facettes de l’amour
Elle est mon beau soleil
Tout en elle m’émerveille
Et je crie donc aux cieux
Que je suis amoureux
Amoureux d’une femme
La princesse de mon âme
Malice a qui chaque jour
Je veux dire mon amour.
Je t’aime


Dernière édition par le Mer 1 Aoû - 20:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le salon des arts , au 12 juillet 2007   Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Icon_minitimeMer 1 Aoû - 20:04

Web-Cart a écrit:
Mon Amour
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés,
Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré.
Un vent d'amour m'a fait perdre la tête
Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête.
Notre amour grandit de jour en jour
Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.
Tout deviens beau et merveilleux
Quand je vais me noyer au large de tes yeux.
Des sentiments encore ignorés se sont crées
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Dans tes bras je pars m'envoler
Dans un monde doux et sucré.
La flamme de mes yeux s'est allumée
Le soir ou nos lèvres se sont touchées.
Aujourd'hui le destin nous appartient
A nous seul de savoir prendre le même chemin.
Mon amour pour toi est le plus grand
Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.
Je t'aime.

Déplacé dans le tropic salon des arts.
*~trouble_fêtes~*
aylay a écrit:
je ne voulais pas être en reste et profitant du lieux
pourquoi pas !!
ma déclaration...
a toi qui joue merveilleusement du piano
sur les touches de mon coeur
faisant vibrer toutes les notes
en une indiscible harmonie
pour un subtil crescendo
qui se termine sur un air de bango..

hihi je vous ai bien eu
ce n'est pas mon poême

et plus sérieusement si possible ^^
Citation :
Un jour tu es arrivé,
Ce n’était pas la meilleure journée
Pourtant nous nous sommes croisés,
Et nos deux solitudes apaisées.
Farceur, élégant, poète et virevoltant
, sensible jusqu’au bout des dents
J’ai appris peu à peu à t’apprécier
Toi que je pensais ne jamais aimer
Ton sourire désarmant, tes inquiétudes farfelues
Tout cela pour te dire que tu m’as plu.
Et tes lèvres de douceur, tes mains aux longs doigts fins
M’ont ouvert les yeux sur toi ce matin
Ont éloigné tout mon passé
Jusqu’ a ne plus vouloir te quitter.
J’espère qu‘a présent tu auras compris
A quel point tu fais parti de ma vie.
Guido troubadour et musicien.
Je veux te prendre par la main
, faire avec toi un bout de chemin
Et te dire du bout des lèvres,
Que je voudrais que tu sois mien
Je ne te dirais pas toujours,
Simplement te parler d’amour
Et là coeur contre coeur
Écoutons notre bonheur
Guido tu es un sacré numéro,
Mais il n’en existe pas de plus beau
Qui me fait me sentir vivante
Et vibrante et chatoyante,
Je t’aime à ta démesure
Et sans aucune peur de rupture
Car tu m’as ensorcelé
Au grés de tes poèmes enlevés
Je t’aime tout de go
Et je n’ajouterais pas d’autres mots.

,
Malice Vorkosigan a écrit:
Cachée dans un coin, Malice écoutait les poètes. Elle souriait de voir que , que l'on soit troubadour ou brigand, frêle donzelle, farouche amazone ou homme solide, l'amour vous menait toujours de jolis mots aux lèvres.

Hern déclamait son poème, elle en avait été la première auditrice. Emue comme la première fois, elle l'écouta religieusement. Elle appuya la tête contre le mur, attendrie qu'il vienne ici faire revivre ses mots d'amour pour elle.
Quand il eut fini, il se dirigea vers la sortie, et elle l'y retrouva. Sans plus rien dire, les mots du poème flottant encore autour d'eux, elle se glissa sous son bras, enserrant sa taille, et ils sortirent ensemble de la salle, pour aller à la découverte de la ville.
Anonymous a écrit:
Dès ce si doux matin à mon réveil
Lorsque je posai les yeux sur ses merveilles
Des montagnes aux neiges éternelles
S'étendaient sous ce soleil vermeille
Et de mon âme ou de mon coeur
Je m'en suis follement éprise
Là où ce vent frais sans pudeur
Se lève, souffle et me grise
De ses beautés qui m'éblouies
Je laisserai mon âme de nuit
Contempler ses jeux de la vie
Aux contours de mes viles envies
À ses pieds une étendue cristalline
Miroitante de milles rêves et illusions
De certains souvenirs qui me chagrinent
De certains désirs ou encore de passions
En ses terres majestueuses et belles
Mon corps finira par s'y enraciner
De ses longues racines rebelles
De toute ma vie j'y serai emmêlée
DarkAngel9 a écrit:
A Web...
C'est un soir en taverne que je t'ai rencontré,
Mais aucune étincelle ne m'a fait chavirer.
Ton amour pour moi grandit de jour en jour,
Mon coeur, lui, cherche toujours l'amour.
A force d'insister et de perserver,
J'avais fini par accepter d'etre à tes cotés.
Hélas, entre nous il y avait trop de silences,
De tabous, d'instants remplis d'absences.
C'était trop flou toutes ces transparences,
Entre nous, il y avait ce vide immense !
Je suis donc partie loin de ton coeur,
Car je n'y voyais pas vraiment le bonheur.
Aujourd'hui c'est seule que je pars sur les chemins,
Toi, tu fais partie de mon passé,
Le futur entre mes mains laisse moi choisir mon destin,
Laisse moi libre de m'envoler.
L'amour a besoin d'être réciproque...
Nous deux... on ne vivait pas à la meme époque...
Chef.des.ombres a écrit:
Citation :
Méditation dans les songes !
C’est dans le coeur des montages,
Que je me suis transporté,
C’est au coeur de ces montagnes,
Que je me force à méditer,
Vent du monde et vent des cieux,
Vien à moi caresser mes yeux clos,
Doux moments de ce monde merveilleux,
Vien à moi glisser sur mon dos,
Dans la danse des chants d’oiseaux,
Je murmure mes secrets aux clapotis de l’eau,
Sous le parfum des fleurs du matin
Je me souviens de ton corps sous mes mains,
En voulant oublier,
Je me suis souvenu,
De certains moments perdus,
De certaines nuits ou mon corps t’appartenait !
Je sens encore tes caresses,
Mes mains glissant sur tes hanches, jusqu’à tes fesses,
Les douces morsures de complicité,
Et ton doux regard qui m’est destinée,
Ô bel amour de ma vie,
Tu sais chaque jour me faire sourire,
Tu sais à jamais graver nos moments de plaisir,
Tu es la femme de ma vie, je t’aime ma mie !
Web-Cart a écrit:
A Dark
Mon coeur déchiré
Nul part où allez
Il n'y a plus de lendemain
Sur cette terre de chagrin
Mes yeux inondés
Ma peau mutilée
Porte les marques de mon existence
Dans cette vie de démence
Dans un ultime hurlement
Quel triste châtiment
Mon âme s'est suicidée
En t'aimant je l'avais condamnée
Comment je vais vivre maintenant
Avec les ténèbres en dedans
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jeahne
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MessageSujet: Re: Le salon des arts , au 12 juillet 2007   Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Icon_minitimeMer 1 Aoû - 20:05

hern a écrit:
Ce poéme le premier pour son ange était un souvenir emouvant pour lui. Il le déposa ici un sourire radieux aux lévres.
La fenêtre de mon cœur était restée ouverte
Et dans un battement d’aile un papillon charmant
Aux couleurs mordorées aux douces lèvres expertes
Est venu voleter pour mon ravissement
Mes yeux suivant les courbes de son vol si gracieux
Rencontrèrent les siens et le temps suspendu
Pendant qu’elle venait en un geste merveilleux
Poser sur mon épaule sa silhouette menue
Légère comme le vent fraîche comme la rosée
De quelques battements d’ailes et d’un sourire radieux
Apaisant les tourments de mon âme blessée
Rien que par sa présence elle sut me rendre heureux
Ho charmant paillon ho délicieuse femme
La douceur de tes mains, le souffle de tes baisers
Ton charme et ton esprit ravivent cette flamme
Rappelant a nouveaux tout le plaisir d’aimer
Chef.des.ombres a écrit:
Petit souffle de vie perdue ...
Je ne le savais pas encore,
Je ne le savais que trop peu,
Je n’en étais point sûr, tu m’en veux ?
Je n’en étais point sûr, sent tu mon corps ?
Par je ne sais quel malheur,
Par je ne sais quel tristesse,
Parce que je voulais notre bonheur ?
Parce que je ne voulais aucune faiblesse ?
Si seulement j’avais été présent,
Si seulement j’avais été là...
Es-ce que ça aurait changé,
Même un seul instant,
Ce petit souffle de vie germait,
Jusqu’au moins entendre son cœur battant,
Mais tout ça n’est pas,
Mais tout ça n’est plus,
Mais notre enfant ne viendra pas,
Mais notre enfant ne grandira plus,
Mon cœur,
Je te demande pardon,
Mon cœur,
Je te demande pardon,
A cause de moi il n’est pas là,
A cause de moi, il ne viendra pas,
Mais mon cœur, nous sommes là,
Mais mon cœur ne m’en veux pas,
Je sais que c’est dur,
Je sais cette sensation d’être en bas,
Je sais, il est grand ce mur,
Je sais qu’on y arrivera, pas à pas,
N’oublie pas je suis là, près de toi,
N’oublie pas nous somme deux,
N’oublie pas que je t’aime moi,
N’oublie pas que je suis toujours amoureux !
Mon cœur,
S’il te plais ne pleure pas,
Mon cœur,
S’il te plais répond moi !

****
"Je t'aime mon amour, et sa malgré tout ! Je t'aime pour la patience que tu as eu avec moi, je t'aime car tu as toujours était là ! Je t'aime car tu es tot pour moi ! Je t'aime car on a notre famille avec nous ! Je t'aime envers et contre tout ! Alors s'il te plait répond moi !"
jeahne a écrit:
En sortant de l'église , Jeahne déambula dans les rues de Vannes de longues heures . Elle tomba soudain en arrêt devant une enseigne qui lui fit chaud au coeur. Elle entra dans le Salon des Arts et lut longuement tous les magnifiques poêmes et autres écrits , déposés ça et là.
Sachant qu'elle devait partir , elle se dit que laisser une petite trace de son passage serait sympathique . Elle s'installa dans un petit coin , sortit de son sac quelques feuilles de vélin délicatement roulées , prit une plume et un petit flacon d'encre qu'elle avait toujours sur elle et se mit à écrire . Au bout de quelques instants , elle déposa à son tour la feuille qui s'était noircie rapidement sous l'effet magique de l'inspiration. Puis , Jeahne rangea son matériel d'écriture et s'en fut de nouveau dns les rues de Lausanne .

Citation :
Un beau matin après une nuit sombre
un beau matin dans la pénombre
tu viendra la chercher pour partir
un beau matin tu l'emportera
pour aller vers l'avenir
un beau matin elle t'attendra
les bras ouverts et le coeur avide
pour elle seule tu viendra
remplir ce monde si vide
un beau matin tous les deux
on partira sur les chemins
peut etre alors qu'on sera heureux
si Dieu le veut , peut etre enfin
Anonymous a écrit:
Le jour se levait sur Lausanne et le Léman. Sur une hauteur qui dominait la ville et le lac, un homme était assit face à un chevalet qui supportait une toile encore blanche. Un fusain dans une main, il attendait tranquillement que la lumière du soleil d'hiver illumine la cité. Silenoz se grattait la barbe en réfléchissant par quelle partie de sa toile il devrait commencer...
Après quelques minutes de réflexion, il commença ces esquisses. Concentré sur son travail, il ne remarqua pas que ces deux corbeaux, Hugin et Munin, se fussent posés sur ses épaules. Les deux volatiles scrutaient les mouvements rapides et délicats de l'artiste. Les lignes et courbes principales de l'oeuvre enfin terminées. Il prépara les couleurs et nuances de ses peintures et les appliqua sur le croquis de Lausanne...
Malgré son oeil borgne, il réussissait à capter les tons exacts de la ville qui lui faisait face. Après un long moment passé à contempler la peinture et poffiner les derniers détails. Il attrapa une corne qui était attachée à sa tunique. L'objet qui servait de récipient, contenait de l'hydromel. Il en bu quelques gorgées en admirant le paysage environnant, pendant que les peintures séchaient...


Puis Silenoz repartit en direction de Lausanne sa toile sous le bras ces corbeaux sur les épaules. En marchant à travers les rues, le borgne s'arrêta devant le Salon des Arts. Il y entra et lu quelques poèmes. Remarquant qu'il n'y avait pas de peintures exposées, il décida d'y laisser la sienne. Après avoir signé son oeuvre, il la fixa sur un mur et repartit en direction de sa demeure....
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jeahne
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MessageSujet: Re: Le salon des arts , au 12 juillet 2007   Le salon des arts , au 12 juillet 2007 Icon_minitimeMer 1 Aoû - 20:08

thalys20 a écrit:
voici un petit texte sur l'Amour... de ma composition
c'est ma seule creation sur ce sujet !!! sourire !!
il n'est pas récent
*************************************************************
J'ai fait un rêve d'Homme
... qui aimerait ma liberté car lui ne l'a pas tout à fait
... qui n'exigerait rien de plus que la meilleure part de moi
... qui serait attentif sans être prégnant
... qui saurait mes faiblesses sans en faire ses armes
... qui saurait ma force sans vouloir me faire plier
... qui me protégerait sans trop me le montrer
... qui me ferait grandir en me préservant enfantine
... qui m'aimerait Femme mais pas seulement

Un homme présent... mais pas trop... juste ce qu'il faut pour que le désir ne se conjugue pas au commun
Un homme absent... mais pas trop...car il saurait où commencent mes inquiétudes et le sentiment d'abandon
Un homme qui me donne quelques fois du temps, mais un temps bien à moi, précieux, avec des rêves et des folies accessibles
Un Homme sans cœur mais pas dénué d'Ame
Un homme qui vienne a moi fou de désir
Un homme qui soit là pour longtemps, mais pas tout le temps
Un homme " fil rouge "... Ce "vieil" amant...Mon Pygmalion

Et que la réciproque soit Vraie...
Alors
Avec un peu de chance...et si naît l'alchimie des corps et des sens
Si tu es ce rêve d'Homme, peut être serai-je ton rêve de Femme
thalys
Elystra a écrit:
D'amour et d'amitié
L'amitié éphémère et froide qui glace les coeur
Avant qu'arrive un malheur
Qui n'est pas réelle
Ne sera jamais éternelle
Celui qui d'un coup fait basculer le présent
Sur un souffle fait tourner le vent
D'un mensonge est née
D'un vérité sera cachée
Qui nous fait grandir
Fait le plus souffrir
Le levant debout
Sera un peu plus que tout
Celui qui veut changer l'autre ne réussira pas sa faute...
Celui qui dure une éternité
Qui sais réconforter et apprécier l'être aimé
Que le sourire de l'autre nous fait éloigner la tristesse
Loin fait ressentir la détresse
A qui l'on peut tout pardonner,
Sur qui l'on peut compter
Que l'on oubliras jamais
Ou il ne sera jamais dit "mais"
Après la mort sera encore plus fort
Donnant donnant ne sera point qui donneras autant
Ou ne peut être compter
Pour pouvoir se rapprocher
Que le pardon rapproche l'âme
Qui n'importeras pas qu'il parle comme un âne
Pour terminer, celui de l'amour
Qui pour toujours manque et fait pleurer
Car l'amour débute en amitié
et ne peut se terminer
Que par un baiser
Ou une épée.

Elystra de la Foltière
stefdebruoxella a écrit:
Une poésie ..... quoi de plus beau quand elle parle de nous !!!
Ode à Anna .... qui en moi fait résonner le glas !
Une rencontre, la notre,
S'est faite un vingt et un !
L'amour frappa nos portes,
Il ouvrait un long chemin !
Arrow
Ce petit matin du 21 septembre,
Liait nos vies, nos destinées !
Je t'accueillis dans mon antre,
Tu devins ma bien aimée !
Shocked
Dans tes yeux d'émeraude,
Chaque jour je me noie !
Tu es ma belle esquimaude,
Ma fiancée venue du froid !
Rolling Eyes
Dans notre règne animal,
Tu représentes la colombe !
Pour toi je me veux magistral,
Il faut que tu me domptes !
😉
Au fond de mes yeux azur,
Jour après jour tu flamboies !
Nous aimons nos folies sans armure,
Pour clore chacun de nos ébats !
Embarassed
Annabelle, je te dédie cette ode,
De mes yeux, je veux te voir vivre !
Pour toi j'aurai même de la méthode,
J'aime quand mon coeur ... tu chavires !
Razz

Merci Guido de m'avoir guidé jusqu'ici ..........
jeahne a écrit:
Jeahne se dit que ce n'était pas parce que Guido était parti qu'il fallait laisser tomber le salon des Arts .
En fouillant dans ses poches , dans son sac , Jeahne sortit une vieille feuille de son carnet , toute recroquevillée , plissée et jaunie qu'elle avait oublié...là... Comme l'inspiration n'était pas de mise en ce jour, elle laissa donc cette feuille au salon .
Citation :
Amère certitude d'une fin si proche
douce amertume d'un passé si présent
qui sans relâche toujours mon âme écorche
ô lueurs obscures d'un futur si lointain
Emmitouflées dans de noirs sentiments
m'envahissant avec si peu de soin
mon coeur brulé chaque fois en chavire
mes pauvres yeux à nouveaux en pleurant
perdent leur vibrants éclats de rire
j'arriverai à t'oublier si ma raison se fâche
j'espère vite oublier ces ultimes moments
Je t'oublierai , oui , si mon coeur enfin se lâche
hern a écrit:
Se dit que jeahne a raison, la poesie doit perdurer.
Qu’il est doux d’être aimé
Par une femme merveilleuse
Qu’il est doux de l’aimer
Vouloir la rendre heureuse
Donner a chaque instant
La quintessence de soi
Pour que tous nos moments
Soit fait d’amour de joie
Ne plus penser au moi
Pour ne penser qu’au nous
Ecouter cet émoi
Qui rend nos plaisirs fous
Deux cœurs un seul amour
Deux corps un seul désir
Je le veux pour toujours
Malice t’entendre rire
Voir dans tes grands yeux clairs
S’illuminer sans fin
La plus douce des lumières
Ton amour et le mien
hern a écrit:
Pour que vive la poésie
Joli papillon aux couleurs de l’amour
En venant te poser au creux de mon épaule
Tu as conquis mon cœur
A jamais pour toujours
Il n’appartient qu’à toi
Me murmurant tout bas
Emmène moi voler toujours entre ses bras
La Bertille a écrit:
Ah, c'est qu'c'est ben beau, les poèmes d'amour.. J'revions qu'on m'écriv' un beau..
Bertille badait les jolis mots déposés là, et enviait les jeunes bergères à qui ils étaient adresses. Elle soupira au vent:
Ah,l'amour de mon coeur, j'pouvions ben dir' qu'c'est toué,
J'reverions d'une balade, on irait aux bolets
Au détour d'un fourré, j'irions s'couer la frisée
Et au r'tour fou d'amour, tu te jett'rais sur moué!

Elle repartit, trainant des sabots, sachant que plus jamais on ne lui écrirait un poème à sa gloire!
Malice V. a écrit:
Malice n'était pas venue là depuis bien longtemps, où résonnaient encore des mots à elle adressés. Des mots d'un autre temps, temps heureux...Mais la vie va et vient, bouscule les projets, tourbillonne autour des amours, bouscule les certitudes.. Ce soir, tard, elle avait envie de venir mettre quelques lignes.
Heureuse au bord du lac, je regardais au loin
Et plus je regardais, plus mon coeur était lourd
Lourd de regrets amers, et je me sentais moins
Heureuse au bord du lac, mon coeur devenait gourd.
Alors j'allais au Sud sous un masque cachée
Là où était l'amour, là où j'ai cru mourir
Tout au bord de l'oubli je vous ai retrouvé
Et d'être aimée de vous j'ai eu fervent désir!
Et puis je m'aperçus que j'avais fait souffrir
Que durant mon absence, vous étiez malheureux
Avais je donc le droit de vouloir revenir
Au moment où enfin, vous tombiez amoureux?
Mais c'est plus fort que moi, je ne peux oublier
Que venir dans vos bras fut l'objet de ma quête
Pourtant pour vos souffrances, il me faut expier
A d'autres amours que mien vous laisser faire fête.
Renoncer à vos bras me fut fort douloureux!
Par deux fois vous laissais adorer une femme,
Baissais les yeux pour ne pas vous voir amoureux
Et tentais d'oublier le chagrin de mon âme.
Vous êtes allé au Nord, sous un masque caché
Là où est mon refuge, lieu de résurrection
Sommes nous au bon endroit pour un nouvel essai?
Sommes nous prêts pour la fin de nos tribulations?
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