Ju le Viking arriva prés de chez Eva, l'air soucieux et triste d'un jour peut-être sans lendemain. Ne voyant qu'elle ne fut point chez elle, il laissa un mot accrochait sur sa porte.
Ma douce, ma bien aimée,
Nos instants si rare depuis notre retour de voyage et sans nouvelle de toi au village, je t'informe que je part dans les jours à venir pour empécher, les démons de la Confrérie Helvétique, de nuir à nos village!
Je t'aime ma douce que dieu te garde et reste le reflet de ton âme comme tu la toujour était.
Ton doux messir