Antre de la Panthère, au 29 mai2007 inclus

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Sauvegarde du 30/07/2007 09:34:18
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Chef.des.ombres a écrit:: Dans le croisement d’un des carrefour de notre belle ville, se trouve une enseigne noir avec des lettre semblable a des flammes car éclairé constamment jour et nuit par un feu qui brûle en sa proximité. Si vous savez lire, ou si vous écoutez ceux qui savent lire, vous pourrez apprendre que l’enseigne se dit « L’antre de la Panthère ».
La façade du bâtiment est plutôt sombre, mais une fois la porte franchit avec ses deux hommes qui y veillent, vous vous retrouver dans un lieu accueillant.

En dehors des hommes suspects qui semble surveiller les lieux, étant souvent appeler les panthèreux, vous apprendrais que vous êtes ici dans la taverne d’un groupe puissant qui se fais appeler « La Panthère Des Enfers ». Le chef des ombres est le propriétaire légitime de cette organisation et taverne. Les serveuses de la taverne sont jeunes, souriantes, accueillantes et sous la direction de la belle, séduisante et ravissante Cathy Roparsouille Atreides, la femme du chef des ombres.
Ici, bière a volonté, petit plat chaud a prix abordable, mais surtout bonne ambiance et rigolade assurée. En plus d’être une taverne, vous pouviez ici passer vos nuits de folie avec votre maîtresse, votre femme, seul, ou en toute amitié.
« L’Antre de la Panthère » vous apportera paix et sécurité sous la bienveillance de Chef des Ombres et de La Panthère Des Enfers. Ne vous étonné guère des hommes armée en armure et cuirasse. Une puissante Panthère du nom de Broxigor, un puissant male au poils vif, peut se promener entre vous mais n’attaquera que sur ordre de son maître.

dame roparsouille a écrit:: Cathy avait aidé son amour à tout mettre en place, tout devait être près pour l’ouverture de la taverne, et elle y fit quelques aménagements personnels, une petite touche féminine, fleurs, plantes et jolis rideaux devant les fenêtres.
L’endroits était maintenant prés a accueillir les nouveaux venus a Lausanne, les fût en place et la cuisine qui sentait bon l’odeur de ces repas qu’elle allais servir.
La ville grouillais de monde a la recherche d’une demeure, de victuailles,et le marché ressemblais a une fourmilière.
Tous les nouveaux habitant serais bien heureux de venir boire un petit verre après leur dur journée de travail et Cathy était prête a les accueillir comme il se devait, avec son sourire et sa bonne humeur
aller mon amour , il vas falloir ouvrir maintenant , c’est l’heure
Cathy se dirigeas vers la porte et l’ouvrit toute grande faisant un sourire aux gardes qui la surveillais et attendit avec impatience l’arrivée des premiers clients

Anonymous a écrit:: Vryn avait déjà passé devant l'établissement et à première vue, elle n'avait pas portée grande attention, sauf peut être les deux types qui étaient devant la porte. Lorsqu'elle y repassa plus tard dans la soirée, elle s'aperçu que la porte était désormait ouverte et les deux types toujours présents.
Vryn étant d'une curiosité enfantine, sortant d'ailleurs depuis peu de la tendre jeunesse, franchit le seuil de la taverne sous le regard amusé des deux gardes à la porte, l'oeil grand ouvert pour ramasser le plus de détails à la fois. L'endroit avait l'air bel et bien chaleureux et puisque sa journée avait été quelque peu éreintante, le voyage de nuit jusqu'ici, sans compter son installation, elle mourrait d'envie de boire quelques verres pour réussir à trouver un repos satisfaisant.
Elle s'approcha du comptoire où deux personnes y était, les propriétaires semble-t-il, et s'installa là:
-Bonsoir! Vous êtes ouvert j'espère!

Elystra a écrit:: Elystra était bien confortable dans la charrette diriger par son amour. Elle devait se reposer à ses dires et sans l’avouer, elle s’avait bien qu’il avait raison. Ils avaient parlé pendant le voyage de réaliser un des rêves d’Elystra, un si vieux rêve… Devenir la mairesse de sa ville d’attache. Ses pieds se balançaient sur le bord de la charrette et elle regardait, d’un air absent, sa fille jouer à quatre pattes dans la carriole. Rajoutant par moment des points à son futur programme, elle parlait en même temps à Asle discutant ensemble des points important à mettre et du pourquoi de telle ou telle décision.
Leurs filles avait trouver sa petite panthère poupée et jouait allégrement avec, bien réveillée la fillette laissait sifflé d’entre ses dents des bruits ressemblant a son animal préférée. Elystra avait enfin fini, les grands points était la. Leurs si grandes discussions allait t’elle porter fruit. La jeune femme souriant, elle voyant un espoir de réaliser son rêve et en était si heureuse, préparer et armée a accepter cette nouvelle vie qu’elle voulait se forger.
Elle tendit son parchemin a son amour les yeux brillant. Puis se tourna vers sa fille, quel magnifique enfant, pour jouer avec. Toute fière la fillette lui tendait une autre peluche gardant avec égoïsme la petite panthère noire pour elle. Elystra riait de bon cœur avec sa fille.
Efff efff?
Oui ma chérie, nous allons voir Chef bientôt.
Très peu de temps après son amour lui tendit a nouveau le programme avec une lueur de fatigue dans les yeux. Le voyage était long et il ne semblait pas dormir beaucoup lui non plus en se moment cherchant toujours a veiller sur elle et leur fille.
Le chariot arrivait dans la ville assez rapidement, la ville était en ébullition. Les gens arrivaient tout comme eux avec chariot et carrioles pour transportée leurs bagages. Tous semblaient épuisés par leur voyage, mais on voyait en même temps la même détermination a faire de cette ville, leur ville ou il serait bon vivre.
Elystra pris sa fille dans ses bras et se releva de la charrette le programme terminé en main.
Repose toi, mon amour, je vais porter le fruit de notre travaille maintenant.
Sa fillette dans les bras se mit apporter un passion grandissante aux deux médaillons que la jeune femme portait dans le cou. Comme d’habitude, elle porta ceux-ci à sa bouche pour en découvrir a nouveau la forme et leur goût légèrement métallique.
Elystra alla déposer son parchemin sur la place de vote des citoyens, l’espoir fessait vivre disait ton! Ils avait raison, elle se sentait rempli d’une énergie peu commune pour elle, comme si elle revivait a nouveau. Maintenant qu’allait t’elle faire? Elle retourna vers la carriole ou Asle s’était couché en l’attendant, il avait fermé les yeux, mais il était difficile de dire s’il dormait vraiment ou s’il somnolait seulement.
Eff… eff…
Elystra sourit de plus belle en entendant sa fille, cela fessait un moment qu’elle n’avait pas vu son oncle chéri… Bonne idée! Elle replaça sa fille de coté sur sa hanche la fessant relâché sa chaînette pour la retrouver a sa place dans le creux de son décolletée. La jeune femme se dirigea lentement mais sûrement vers le centre de la ville, elle avait entendu parler que Chef des ombres avait ouvert une taverne avec la panthère dans le nom… Mais elle n’arrivait pas a se rappelée avec précision du nom exacte.
Soudain son regard s’arrêta sur une bâtisse noir, et a l’entré on pouvait y voir deux gardes aux uniformes familiers. Le sourire de la jeune femme s’agrandissa encore plus. Son frère ne fessait jamais rien a moitié, il ne changerait certainement pas aujourd’hui. Elle poussa la porte toujours avec sa fille qui criait a nouveau de plus en plus fort voulant a tout prix revoir le deuxième homme de sa vie.
Il y a quelqu’un???

dame roparsouille a écrit:: Cathy réajustais les rideaux, replaçait les plante un peu énerver par cette ouverture .Son cœur battait très fort et avait très hâte de voir les premiers clients faire leur apparition. Tout avait été si rapide, le déménagement, la surprise que son époux lui avait faite en ouvrant la taverne dès leur arrivée, et la venus prochaine de toute leur famille .Cette pensée lui décrochas un beau sourire, enfin ils allaient être tous réunis.
Elle regardait sa fille qui courait entre les table et riait, elle aussi était heureuse de savoir qu’ils ne serais plus sur les routes a chaque instant et avait confier a sa mère qu’elle allais enfin pouvoir se faire des amis. Leur petit garçon dormais encore a l’étage surveiller par une des archère de Nanami. Cathy avait confiance et ne s’inquiétais pas pour son fils , il était encore un peu petit pour venir a la taverne avec ses parents .CDO était fier de se fils qu’elle lui avait donner et n’arrêtait pas de l’admirer et de dire qu’il serait le digne fils de son père , ils se ressemblais tellement tous les deux .
La porte a peine ouverte une belle jeune femme fit son apparition dans l’établissement. Cathy l’accueillis avec un beau sourire et l’invitas a venir s’asseoir au comptoir.
Soyer la bienvenue demoiselle, et oui, nous voilà enfin ouvert !
Cathy sortie des verre de derrière le comptoir et pris un bonne bouteille qu’ils avaient mit de cotés pour la circonstance.
vous prendrez bien un petit verre avec nous pour fêter l’ouverture justement . Alors, d’où venez vous ? Le voyage c’est bien passer ?
La conversation s’engagea entre les deux femmes pendant que CDO allais vérifier en cuisine que tout se passait comme il le souhaitait. Il était pointilleux et ne supportait pas que le moindre détail fut oublié, il aimait la perfection et Cathy rougit en se disant qu’elle devait sûrement être parfaite pour qu’il l’aime autant.
La porte se rouvrit et Elystra fit son apparition, le sourire de Cathy se fit rayonnant de voir enfin son amie et belle sœur passer la porte de l’établissement. Elle se dirigeas vers elle et l’embrassas chaleureusement.
te voilà enfin !! Comme je suis contente de te savoir ici !

Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres avait fais un long et beau sourire à sa femme. Quand elle alla pour ouvrir les portes, il eu un petit regard sur son bas de hanche avec un petit sourire qu’elle seule aurait pu traduire si elle l’aurait regarder.
Elle était si belle, si vivante, si entreprenante. Et elle seul savait lui remettre le sourire n’importe quand. Les gardes étaient à l’heure place, certain discutant entre eux de chose et d’autre alors que d’autre, plus âgés, plus sérieux rester a leur poste, lançant des regard dans leur environs tout en gardant un idée en tête que leur chef et sa femme leurs avaient dit.
« Soyez calme et décontracté, nous ne somme pas en position hostile ! ».
Il en avait de bonne le chef, ils les entraînent pendant de longue année au combat, et maintenant les places en surveillances, enfin bref. C’était une mission a rotation, comme d’autre.
Les clients ne tardèrent pas à venir dans la taverne. Saluant tout le monde, certain riant, d’autre commandant a boire pour eux et pour autant de personne que dans la salle. D’autre homme en mal de plaisir essayer de pousser les serveuses contre eux mais les regards d’un des gardes pouvais les en dissuader.
Jilia, rieuse comme d’habitude, courrait partout en jouant avec la puissante panthère Broxigor. La petite aux cheveux couleur ébène faisait virevolter sa chevelure en riant en éclat de rire. Tournant autour des visiteurs, essayant de distraire les gardes puis un fois avoir volé un regard quelconque se remet a courir jusqu’autour de son père.
Leur fils était à l’étage, dormant comme le trésor qu’il était. La journée et la soirée commencer a filé vite. Chef des ombres était content de sa journée. Il avait pu avoir nombreuse discutions avec beaucoup d’habitant. Et malgré son poste de chef terroriste, beaucoup lui parlait après avoir écouter ses projets pacifiste pour leur village.
Où il leur expliquer qu’il n’était ennemie que des Franc qui l’avaient mainte fois utilisé, trahit, épier, et voulu tuer au point d’en faire une arme de destruction contre eux même.
Une jeune femme lui avait parlait à lui et sa femme a un moment de la journée. Et après un bref salut et étique de politesse chef des ombres avait était contraint de sortir de cuisine, puis de comptoir pour une dispute qui commencer a être engendré par un fondu de la bouteille.
Aillant sentit une atmosphère tendu après la séparation des ivrogne, chef des ombres avait fais servir une tournée général du voix déconctraction et joyeuse puis tout avait repris leur cour comme il faut.
En une journée il avait payait sa taxe patronale, ainsi qu’il avait fais les bénéfices d’amortissement de sa taverne. Maintenant, une petite voix attiré son attention, où plutôt un petit sursaut de voix.
Tournant les yeux, il avait tout de suite reconnu le petit "mot"
« Eff, eff ! » de sa toute petite nièce. Un sourire apparut sur ses lèvres ou se retroussé un fin sourire de joie. Il se poser la question de savoir si elle était venue seul ou avec ses parents. Elle était du genre à se sauver dés qu’elle le pouvait si sa fatigue ne la coller pas au sommeil.
Se tournant, il vit entré sa sœur et sa nièce et leur sourit en s’approchant d’eux en ouvrant grand les bras pour les serrer dans une étreinte affectueuse.

Anonymous a écrit:: Vryn regardait la jeune fille courir partout se disant qu'ils sont amusant les enfants, ne voyant pas le danger nul part. Elle souriait maintenant à la belle dame qui lui offrait un verre.
Oui biensur, un verre...
La dame servait déjà le verre, alors que je portais le regard à nouveau sur la jeune fille, il lui semblait que c'était la veille qu'elle était aussi insouciante et innocente, maintenant tout était différent.
Merci ma dame..
Oui, le voyage s'est très bien passer, épuisée mais très heureuse d'être ici, j'arrive de la Bourgogne, Tonnerre précisément. Et vous ma dame? je peux me permettre de vous demander d'où vous venez?
Vryn pris le verre, gardant le regard posé sur la belle dame, la petite qui jouait lui ressemblait terriblement. Elle prit une gorgée et s'étrangla, par manque d'habitude, la cour des grands n'est pas faites que de facilité. Elle ricanna intérieurement, se demandant qu'elle impression elle pouvait bien donné en s'étranglant de la sorte sur un verre

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Elystra a écrit:: Elystra avait toute la peine du monde a retenir sa fille lorsque son frère fit son apparition dans leur champ de vision, elle tendait les bras vers lui suppliant pour finalement se ramasser coincé entre sa mère et son oncle. Elystra avait un sourire devant cet accueil chaleureux qui lui fessait Chef des ombres. La salle était partiellement rempli par les gardes qu’elle connaissait bien déjà, ainsi qu’une personne qu’elle n’avait entrevu dans le village sans plus.
Bonjour frèrot, la taverne est ouverte depuis longtemps dit moi? Je viens vraiment a peine d’arriver nous n’avons même pas pris le temps de regarder les différentes maison qui pourrait être appropriée pour notre petite famille.
Elle se décolla légèrement des bras de son frère et posa sa fille sur le sol de la taverne. Celle-ci se précipita illico vers son amie qui venait a peine de la remarquée. Les rires venant de la retrouvaille des fillettes étaient une véritable mélodie à entendre. Elystra posa une main sur son ventre grandement rebondit, signe de l’avancement de sa grossesse. Ce que le temps passait vite.
En plus quel va s’agrandir bientôt il faudrait penser a tout pour cette futur demeure. Tu as visité et vu un peu la ville toi?
Elle se dirigea de son pas lent et habituel vers le bar où se tenait Cathy le sourire aux lèvres. Elle lui fit un léger signe habituel pour avoir son éternel tisane seule boisson qu’elle prenait pendant la grossesse. Puis continua de parle, la joie quel dégageait était prenante pour toute les personnes présentes. Elle se sentait si bien, en paix avec elle pour une des premières fois de sa vie.
Vous auriez peut être vu quelque chose qui nous conviendrait a nous futur 5.
Elle éclata de rire et posa ses mains sur son ventre prometteur.

illiana a écrit:: Illiana venait d'arriver en ville une petite herbe dans la bouche l'air décontracté. Elle savait qu'elle venait d'arriver dans son nouveau chez soi. ET regardait tout les détail de cette "ville nouvelle" afin d'en imprégné au plus vite les ambiances qu'elle aimera à changer.
Tenant un bout de parchemin dans le creux de sa main. Froisser par sa main qui l'avait torturé durant tout le voyage, elle le relut, bien qu'elle connaisse son contenu par coeur. sur celui -ci était indiqué: " l'antre de la panthère" ainsi que le chemin à suivre pour y arriver. Un petit sourir aux lèvres se déssina alors sur son visage.
*Je suis enfin arrivé parmi les miens, j'ai hâte de tous les revoir et surtout de revoir ma fille*
Suivant scrupuleusement le chemin indiqué par chefs des ombres, elle trouva facilement et qu'elle ne fut pas sa surprise en ouvrant la porte de voir sa fille jouer entre les clients et lui sauter au cou lorsqu'elle la vit. Heureuse d'être enfin dans les bras de sa chérie, elle s'agenouilla en souriant à chef des ombres qui jeta un oeil vers elle. Enfin elle se releva et, tenant la mains de sa puce se dirigea vers le groupe déjà présent.
"-Bonjours touts le monde, j'espère que je ne vous es pas trop fait attendre"
Elle sourie à Cathy puis a Ely qui s'affairait avec ces enfants. [/b][/i]

Chef.des.ombres a écrit:

Chef des ombres sourit de voir sa femme arrivée si vite. Un petit sourire au coin des lèvres il lui glissa à l’oreille discrètement avec une petite voix ironique.
« Alors Cathy, tu commence une conversation avec la clientèle puis tu te sauve ?! Serait tu devenu timide ma tigresse ?! »
Il lui souffla derrière l’oreille avant de regarder sa sœur.
Sa sœur lui parlait, elle était joueuse, et il fixa un instant sa petit nièce qui fila jouer avec sa princesse Jilia. Jilia n’était pas la fille de sang de Cathy, sa tigresse, mais la fille né du premier grand amour de chef des ombres avec Illiana. Il y a bien longtemps maintenant...
Sa sœur parlait du lieu où ils pourraient tous vivres sans jamais être loin les un des autres. Il réfléchit un instant, interrogeant Cathy du regard puis commença à répondre a sa sœur.
« Tu ne veux pas prévoir pour 7 ou 10 ?! Aslejval aime bien vos moments on dirais et a la vitesse où tu nous fais nos petits panthèreux, il te faudra rapidement un château ! »
Il avait dit sa sur un ton ironique puis reprit plus sérieux.
« Nous n’avons pas encore était voir et je ne sais pas si nous allons vivre ici où si nous allons prendre une maison un peu a part !
Mais j’aimerais bien que toute notre famille habille dans le même secteur, et pourquoi pas côte a coté autour de la taverne ! (Cadastre à voir)
Qu’en pense tu ?! »
Quand il demanda cela, il vit sa fille filait a coté de lui pour sauter dans les bras d’une jeune femme. La toisant d’un regard léger de la tête au pied il reconnus les courbe du corps de son ancien amour. Elle était ravissante, comme toujours. Souriant il se porta attentif à Illiana.
« Illiana, tu es déjà arrivé ?! Tu as fais vite dis donc ! Tu tombe bien, que pense tu de choisir avec nous un emplacement dans les environs des notre pour vivre tous dans le même secteur ?! »
S’écartant de la porte, il les attira vers le bar, là ou se trouver la jeune vryn.

Le Joueur Sincère ! a écrit:: Bonjour, j'ai vu dans les vote que beaucoup avait peur de nous, de moi, de mon groupe, des se qui pourrait arrivait et autre imaginable par la peur ou le doute. Je puis vous donnez ma parole de Joeur et de Vivant que nos intentions son paisible et pacifiste. Nous ne chercherons jamais ennuie dans ces lieux car nous en avons décider ainsi. nous avons des familles a faire grandir, et il nous fallait un lieu neutre a tout nos actions passer et où tout pouvait être recommencer sans préjugé des joueurs !
Entrez, participer, parlez nou ! On ne mord pas !

Anonymous a écrit:: Vryn avait terminé son verre depuis un moment déjà, elle resta assise là sans trop savoir pourquoi, subjuguée probablement par les clients de la taverne qui passaient par toutes les games d'émotions, comme dans presque toutes les soirées trop fortement arrosée.
Plusieurs personne étaient entrées puis sorties, je regardai un moment les deux enfants qui jouaient, me rappellant certains souvenirs qui n'étaient, eux, pas si lointains, souriant dans le vide se rappellant certaines annecdotes, puis son visage devint plus sombre. Elle se sentait troublée, désorientée un peu par tous ses étrangers, alors que ses amis étaient tous au village d'à côté. À peine arrivée qu'elle pensait déja repartir pour court voyage. Elle maugréait surtout d'avoir été si pressée de partir, l'aventure lui hurlant à la fuite, au départ précipité. Elle ne cessait de penser que si elle avait attendu un jour de plus...
Elle ne porta plus attention aux gens autour d'elle, complètement absobée par ses pensées, le regard dans le vide, loin, si loin... Ce pays ne ressemblait pas à son enfance mais trouvait l'aventure satisfaisante.
Vryn sursauta, revenant brusquement à la réalité alors qu'un des enfants en courant lui avait effleurer la jambe. Elle regarda autour d'elle, la salle rempli la rendait à présent mal à l'aise. "Combien de temps avais-je perdue comme ca?" se dit-elle. Son malaise grandissant, et le temps qui avait sans doute passé, lui, à une vitesse folle.
Elle aperçut un groupe de gens qui se dirigeait vers le comptoire où elle se trouvait. Elle se leva et se faufilla rapidement entre les tables jusqu'à la porte de sortie, évitant les regards qui venaient à peine de la remarquer. Elle passa rapidement la porte, toujours bien gardée et se fondit dans les ténèbres.

Diaphane. a écrit:: Diaphane avait entendu dire que Chef des ombres avait ouvert une taverne dans leur nouveau village. Elle décida donc d’aller y faire un tour, histoire de faire de nouvelles rencontres et d’explorer les lieux comme à son habitude elle marchait d’un pas dansant qui faisait onduler ses hanches de droite à gauche et de gauche à droite sous son long manteau. Il ne lui fallu pas beaucoup de temps pour trouver « L’Antre de la Panthère »
La façade de la taverne auberge était sombre, semblant avoir été construite de bois d’ébène des plus ténébreux. De chaque côté de la porte se tenait un garde, le visage fermé n’exprimant aucun sentiment mais dégageant une aura de froideur qui en dissuadait sûrement plus d’un. Nullement impressionnée par leur face de carême, Diaphane passa la porte de la taverne en les saluant d’un signe de tête.
Une fois à l’intérieur le décor qui se présenta à sa vue était magnifique, « Tout a fait caractéristique de Chef des ombres » se dit elle. L'endroit avait été décoré de ses couleurs fétiches, La jeune femme laissa promener son regard parmi les villageois présent à la recherche de visage connu puis alla s’asseoir à une table, commanda a boire puis ayant reçut sa commande se mit a siroter son breuvage

dame roparsouille a écrit:: Cathy s’affairait a servir les clients quand la porte s’ouvris de nouveau et laissas entrer illiana . Un large sourire se dessinas sur son visage et elle fut heureuse de voir jilia se précipiter dans les bras de sa mère.
Bien sur Cathy concéderais la petite comme la sienne, elle était si jeune quand chef des ombres lui l’avait amener, mais Cathy s’avait qu’avant tout la petite avait besoin de voir sa mère naturelle.
Enfin, la famille se retrouvait petit à petit dans une bonne humeur générale. Cela ne pouvais que leur faire du bien a tous de vivre enfin ensemble dans la même ville.
La taverne attirais du monde et elle en était contente , même si elle se connaissait bien et se demandait si l’air de la route n’allais pas bientôt lui manquer . Elle secouas la tête pour enlever cette idée qui l’effleurais et vins rejoindre Illiana et jilia .
< tu as fait bonne route j’espère , je suis impatiente de revoir Alioth il ne manque plus que lui >
Diaphane, elle se trouvait un peu a l’écart, sirotant son verre en observant tout se qui se passait.
Cathy revint vers son amour et lui passas un bras autour de sa taille en lui murmurant avec un sourire
< Alors mon amour, heureux de tous les revoir enfin ? >

Elystra a écrit:: Elystra rougit violemment a l’idée que venait de faire naître en elle son frère. Sept a dix enfants de son Asle chéri… Quel beau rêve! Elle pouvait presque imaginé les futurs enfants se chamailler pour tout ou rien et garder leurs positions avec ferveur comme pouvait l’être Chef des ombres et Elystra ensemble. Ou bien les futurs enfants tenir tête a son frère jusqu'à lui faire sortir de ses plus grosses colères et finalement en venir a la conclusion qu’il les adorait tout de même. Quelle vie mouvementée se serait!!! Finalement peut-être que sept enfants serais trop… mais peut-être pas… Une lueur taquine dans le regard, elle fit un petit sourire coquin à Chef des ombres en se dirigeant vers Cathy pour avoir son éternel tisane, seule boisson accepter par elle pendant le temps de sa grossesse.
Ce serait une idée d’avoir sept enfants! Six petits sosies d'Asle, quel vie mouvementée nous aurions… plus jamais d’ennui! Tu as raison, je devrait peut être pense a nous faire construire un château.
Elle éclata de rire à l’image de son frère courant et grognant après ce groupe de futurs petits monstres, puis repris toujours semi sérieuse.
Tu crois qu’il y aurait assez de place pour tous ses prochains enfants autour de la taverne? Si on est trop proche de toi, tu n’as pas peur qu’elle se transforme en salle de jeux pour les enfants? Pour l’instant, je ne sais pas, je n’ai pas eu l’occasion encore d’en discuter avec Asle. Nous verrons et prendrons la décision ensemble comme d’habitude, lui et moi, surtout pour une décision aussi importante!

rothrude a écrit:: LA Rothrude fut amene dans la taverne
c'est qu'il etait vraiment charmant cet homme!
c'est qu'elle aimait les roux Rothrude! en plus ce petit tatouage lui donnait un air de mechant mm rien que dy penser elle se faisait des petits rêves!
on lui servit un verre

jne comprends pas ce qua voulu cet'megere ha son louis son louis elle a qu'a le garder son Louis ! il irait pas chercher ailleurs! et pis sielle l'comblait!…
Tout en disant ça elle ne pouvait s'empêcher de regarder cet homme
mm il sentait bon ! une odeur suave un peu pimenté
elle le regarda dans les yeux quelle drole de couleur! au lieu d'avoir des yeux marrons comme tout le monde yavait comme une flamme! il semblait vouloir eviter son regard mais elle ne pouvait s'empecher de le regarder avec un immense sourire et sa grosse bosse qui poussait petit a petit…
à un moment l'homme poussa un peu ses long cheveux pour mieux voir et la regarda
La rothrude ne se sentait plus! elle allait ouvrir la bouche quand une bande de marmots arriva
d'un coup tout etait bruyant ! avec leurs petites faces sales et leurs habits dechires a jouer on ne sait ou La rothrude se disait que vraiment elle a bien fait d'abandonner le polichinelle qui s'etait incrustée en elle!

Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres regarda sa femme avec un petit sourire ironique. Passant doucement derrière elle en passant ses bras autour d’elle comme leur petit couple en as l’habitude. Lui répond doucement à coter de l’oreille.
« Oui je suis heureux de tous les revoirs ! Tu penses qu’ils le sont eux ?! »
Puis écoutant sa sœur avec amusement, il ricanant.
« Bien sûr Ely, la taverne est ouvert pour toute la famille ! Si il sont calme ! Et au pire, on leur trouvera quoi faire ! Le service tien ! Bonne idée non ?! Contre une piécette d’or ! »
Il regarda doucement tout le monde dans la salle, et sourit.

Elystra a écrit:: Elystra pris la tasse de tisane fumant que lui tendit Cathy puis y ajouta quelques herbes de menthe avec un sourire autant pour les paroles de son frère que pour les personnes qui commencait a envahir la taverne de l'antre.
Tu crois que nous serions vraiment capable d'avoir des enfants calmes moi et Asle? Et tu voudrait leur faire faire le service de ta taverne... j'aurait tout entendue!
Elle éclata de rire devant l'ironie de son frère, malgré que comme toujours ses paroles paroles était a demi sincère.
Non, nous avons un peut regarder la carte des demeures de Lausanne et avons en bonne parti choisi notre futur emplacement... c'est même pour ainsi dire... officielle... mais je ne crois pas que cela va te plaire
Elle ne dit pas un mot de plus laissant la curiosité naturelle de son frère faire le reste, puis pris une gorger de sa tisane bienfaitrice en s'assoyant près du bar et de Cathy..

Chef.des.ombres a écrit:: Tout en parlant avec sa famille, chef des ombres regarda une "femme" dont il avait déjà eu des echo. C'était la "rothrude" a se qu'il pensait ce souvenir, ou dû moins quelque chose dans ce genre la. Souriant, il la dévisagea un instant avant dque la voix de sa soeur ne le rapelle as leur conversation.
"Ah, pas me plaire ?
Vous allez vous mettre loins de moi ?! Loin de la famille ?!
C'est sûrement mieux pour Azalie ..."
Il baissa les yeux et sourit avec une petite moue.
"Moi je ne sais pas !
On va sûrement rester ici et je pense que pour toi et ta petite famille... Sa vaut mieux d'être loins des soldats de la panthère !"
Cherche du regard une éxcuse et euhhh
"Excuse moi Elystra, des services à faire ..."
Prend plusieurs bière et va servire des clients et ensuite file sur une autre table vide pour la netoyer rapidement. Le poing serré.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Elystra a écrit:: Elystra regarda son frère surprise, il était si pro a se fâché et comme toujours elle rentrait dans son jeux, rentrant dans sa colère avec lui, sans même comprendre pourquoi cette émotion était soudainement si vive. Elle ne pourrais même pas expliquer les décisions de son frère ni les pourquoi ils avaient pris une tel décision. S’il voulait se fâché, elle ferait comme d’habitude, elle le laisserais seule en espérant comme toujours qu’elle ne dureras pas comme leur précédente dispute, c'est-à-dire trop longtemps.
La jeune femme posa sa tasse a demi fini sur le comptoir, remarquant enfin les autres clients de la taverne, Diaphane et Cathy, ainsi que d’autre qu’elle ne connaissait pas encore. Elle fit un regard d’excuse et se dirigea vers sa fille pour la prendre, l’accotant sur sa hanche et posant son autre main sur ses reins douloureux, elle parla sérieusement a son frère, sans colère.
Apprend a réprimé t’es réaction impulsive Chef des ombres, et a posé des questions au lieux de te faire des idées toutes faite sur des faits que tu penses comme véridique. Cela pourrait t’évité bien des disputes inutiles.
Elle avait une lueur de tristesse dans le regard, comme elle pouvait détesté se disputé avec lui, son frère de cœur… Elle pensait avoir prouvez mainte fois combien sa famille était importante pour elle, pourtant il ne le voyait toujours pas… Elle était prêt de la sorti lorsqu’elle s’arrêta posant une main sur son ventre douloureux, juste le temps pour Azalie de se retourner vers son oncle les larmes aux yeux tendant la main vers lui.
Efff? Maman... efff??
Elystra ne portant pas attention au demande de sa fille, qui pourtant était celle de son cœur également, sorti de la taverne, pourquoi fallait t’il qu’ils soit si têtus dans la famille?

jeahne a écrit:: Jeahne se retrouva bien vite sur la place du chateau et avisa une taverne: l'antre de la panthère .
Descendant de cheval d'un mouvement leste , elle accrocha ensuite Caboche à un anneau fiché dans un mur . Puis elle épousseta ses vêtements plus que poussiéreux après cette longue chevauchée .
Une brêve caresse sur les naseaux fumants de son ami, et Jeahne poussa la porte de la taverne .
L'endroit semblait vide , Jeahne s'approcha néanmoins du comptoir et attendit que quelqu'un vienne . Ne voyant rien venir , elle s'installa à une table, histoire de souffler un peu avant de partir en quête d'un toit pour la nuit prochaine. A peine assise , et les pieds perchés sur un tabouret qui trainait , Jeahne s'assoupit .

jeahne a écrit:: Jeahne se réveilla en sursaut lorsque ses pieds chutèrent bruyamment sur le sol.
Manifestement il était tard , et elle n'avait pas encore d'endroit où dormir .
Etant donné ,l'absence des gérants de la taverne , elle quitta les lieux non sans regretter une bonne chopine .
Une fois dehors Jeahne repris les rênes de Caboche en main et partit à travers les rues de Lausanne pour essayer de trouver un endroit digne de ce nom pour y loger.

dame roparsouille a écrit:

Cela faisait plusieurs jours qu’elle n’avait pas quitter la chambre .le bruit des clients, dans la taverne riant et buvant ne la gainait même plus. Elle somnolait encore et encore, son amour a son chevet depuis tout se temps. Elystra avait pris jilia avec elle, et cdo s’occupait de Jowy. Mais son regard n’avait plus d’étincelles, il regardait sa femme coucher depuis sa fausse couche, et il la voyait s’affaiblir de jours en jours.
Il revint s’asseoir sur le lit près d’elle, caressant son front et ses cheveux, la regardant comme au premier jour, avec tout cette amour qu’il avait pour elle dans son cœur meurtris.
Cathy, elle, avait une respiration courte, des gouttes perlaient sur son front, et ses mains tremblaient à chaque fois qu’elle essayait de les bouger.
Elle était dans un état de semi conscience et son esprit lui renvoyais tous les merveilleux instant passer avec celui qui avait fait d’elle sa femme, et la mère de ses enfants. Comme dans un rêve , elle revoyais leur première rencontre , elle morte de peur et lui arrogant,elle revivait le merveilleux moment ou il était venus la chercher pour l’inviter a un dîner, se repas fut pour elle , une révélation , et elle sus se jour qu’elle l’aimait et l’aimerais toute sa vie.
Cathy bougeât les mains a la recherche de celle de son amour et les serras dans les sienne autant qu’elle le pouvais. Des larmes roulaient sur ses joues sans qu’elle ne puissent rien faire, elle savait, elle avait compris que la fin était proche. Pourquoi ….pourquoi si vite l’arracher a cet homme qu’elle aimait tant …..
Son souffle se fit plus court, sa main se resserra une dernière fois sur celle de cdo, elle aurait voulus lui dire tant de chose encore, mais les mots ne sortaient plus, sa force l’avait quitté. Elle ouvris les yeux et le regardas, son regard lui disait, je t’aime mon cœur, je t’aimerait et veillerais sur toi ou que je sois, sois fort …
Lentement l’étreinte de sa main se desserra, et ses yeux a jamais se fermèrent, de ses levres s’échappas comme dans un souffle ses derniers mots …
Im bolgor ….

Citation :: Tout a une fin un jours …. Bon vent a vous tous les panthèreux , sa a été un réel plaisir que ses mois passer a jouer avec vous .a toi la joueuse d’Elystra , je t’envois ma plus sincère amitié , et j’espère qu’elle dureras encore longtemps. Comme il est dur de parler HRP après avoir écrit se post. Au joueur de l’amour de ma Cathy, je fait de grosses bises , et te demande de faire en sorte que ton cdo continus sa vie , même sans elle ….l’amour de nos perso , nous on fait découvrir se que le mot amitié veux dire alors , a toi mon ami , je te dit a bientôt.
Je vous embrasse tous très fort.
Cathya

Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres n'avais jamais quitté sa femme, ses hommes étaient inquiet et mal a l'aise à la tentions qui planer a l'étage de l'auberge. Peu osaient s'y aventurer sauf par obligation. Mais avec ces temps calme, il y avait peu d'obligation, heureusement pour eux ...
Les journées passaient lentement, les heures paressaient des jours, les minutes des heures et les secondes ...les secondes, ils avaient oublier cette notion de temps ...Les gradés de la panthère essayer de maintenir des rangs et les équipes entraîner et de bonne humeur...
Mais cela n'était pas de mince en l'absence de leur chef qui voulait paraître tous les jours dynamique et prêt à renverser du duché par sa simple volonté.
Mais depuis que sa femme n'allait pas bien, leur chef semblait disparaître petit à petit suivant la vie maintenant faible de sa femme. Il ne riait plus, même avec son enfant.. Ne démontrait plus de joie, plus d'énergie comme si la part de lui qui le rattachait a elle s'effaçait pour ne laisser qu'un être vide sans vie.
Nous sommes l'un de ces jours où on souhaiterait rien d'autre que de ne pas vivre celui ci. Chef des ombres ne dormait plus, veillant nuit et jour sur sa douce, ne la quittant à aucun instant de la journée. Elle dormait énormément, elle avait une fièvre élevée et chef des ombres sentait bien qu'elle n'en aurait plus pour longtemps...
Il passait son temps à prier, sa mère, Aristote, mais rien n'y faisait. Il voyait à chaque instant les forces de sa tigresse se perdre, la vie peu à peu partir de son corps. Il n’en voulait à personne et aux royaumes entiers, pourquoi cela devait leur arriver.
Elle ouvrit doucement les yeux sur lui, prenant ses mains entre les siennes.
Cette main dans les siennes, cette main a laquelle il avait passer une alliance un jour béni de dieu.
Cette main appartenait à la femme de sa vie, silencieusement les larmes roules sur ses joues.
La chaleur des mains de sa tigresse n'était presque plus, les moments de bonheur qu’ils avaient vécu n'était que de doux souvenirs qui lui déchiraient et réparait le coeur à la fois dans une souffrance des plus cruelle.
Il la savait sur le point de le quitter, pour ce royaume appeler paradis. Mais ce qui lui broyait le coeur, c'est que jamais il ne pourrait la rejoindre dans cet endroit qu'on dit de tout repos... Lui serait condamné, par ses actes passé, par sa cruauté, il se sentait vide.
Et quand sa femme, tout bas, lui dit ses derniers mots, dans cette langue qui était la leur. A ce moment là il sentit son coeur saigner, de peine et de chagrin. Il aurait voulu revenir dans le passé, la revoir souriante et pleine de vie. Il aurait tant voulu lui dire :
"Nöst'hrês dïôs, nöst'hrês corïs, nöst'hrês enfhortäs, l’hârmo'hïs !
Im Bolgor tïûs Cathy, në mïe quïst’hîs päs, parhd’hônêïs me !
Je ne veux pas te perdre mon amour, reste avec moi ! Ne me quitte pas ! Pas maintenant, pas ici ! Mon coeur, je t'aime ! Je t'ai promis à la vie, à la mort ! Mais je ne peux partir tout de suite, je ne peux pas laisser les enfants ! Bébé, ne part pas !"
Mais aucun mots ne sortait, ses yeux le criait, mais rien, aucun son de sortait de sa bouche entre ouverte. Doucement, s'approchant de son amour, il lui déposa un doux baiser. Entre leurs lèvres, s'échappaient le souffle de vie de leur amour.
Chef des ombres ne sentait plus son ange, il ne sentait que sa présence dans son coeur, mais plus face a lui. Les yeux clos, il les ouvrit lentement, pour voir le visage de sa tigresse. Elle semblait seulement endormie, mais il le savait, elle n'était plus de ce monde, dieu lui avait pris son coeur, et inévitablement, des flots de larmes explosèrent de ses yeux.
Il explosa en sanglot, des flots de larmes sur ses joues, le coeur comme broyer, il ne voulait pas se retenir de pleurer, et de toute façon il ne le pouvait pas. Levant les yeux au ciel, il cria de toute ses forces, il cria de tout con coeur et de toute son âme.
" Je t'aime Cathy Atreides ! ! ! ! ! Je t'aimerais à tout jamais !!!!!!!! "
Puis il s'écroula sur le corps sans vie de son amour, dans un silence de mort. Aucun muscle de son corps ne bougeant. Que faire maintenant, que faire maintenant que la vie n'avait plus son soleil....

Lucy a écrit:: Ayant eu vent de ce qui ce tramait dans l'auberge, Lucy avait finit par y descendre au beau milieu de la nuit... pas un bruit dans celle si, pas un sourire pathétique d'ivrogne mais bien trop de membres de la panthère au même endroit....
Le calme qu'accompagnait la mort régnait en maître entre ces 4 murs.
Poussant lentement le bâtant de la porte Lucy entra silencieusement dans la pièce ou logeait la dépouille de la défunte Cathy.
Lucy ne savait pas vraiment comment réagir dans ce genre de situation... les relations émotionnelles n'était pas vraiment son fort. Cependant son goût prononcé pour la lecture lui rappela certaine situation romanesque similaire.... s'approchant sans un bruit de son supérieur, Lucy posa une main sur son épaule...
Vidé de toute volonté, le Chef des Ombre, leader incontesté de la panthère des enfers, n'était plus qu'à présent l'ombre du guerrier qu'il fut...
Accablé par l'extinction de sa flamme éternelle, il n'entendit Lucy entrer dans la pièce... et ce fut à peine s'il sentit sa main froide ce poser sur son épaule...
Il restait inerte et pourtant il y avait encore tant à faire...
Mais l'heure n'était, sans doute pas, à la discution ou à ses conseils, mais au recueil...

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Elystra a écrit:: Une sensation de mort régnait près de la taverne de son frère, quelque chose n’allait pas… Tout était trop calme, comme si le temps s’était arrêté sur la tragédie. Que faire? Les malheurs avaient toujours laissé la jeune femme dans un état statique, elle ne savait jamais quoi faire… Quoi dire pour apaisée les pleurs ou la tristesse des autres…
Sa façon de toujours tout prendre a cœur, de vouloir vivre les émotions avec les autres avec l’idée qu’elle pourrait les apaisée de cette façon l’avait toujours trahi et blessé. L’empathie… était t’elle seulement capable de vivre de l’empathie sans vivre elle-même l’émotion?
La jeune femme se trouvais devant l’entrée de l’antre, elle n’avait pas eu le courage encore d’y entrée, d’accepter les faits, d’accepter la mort de son amie… bien sur elle s’avait se qui arrivait… la nouvelle s’était répandu comme une traîner de poudre allumée dans toute la ville. Jusqu'à venir affectée son cœur d’amie, de femme… Ses enfants qui avait tant besoin d’elle l’empêchait de sombrée dans cette léthargie qu’amène c’est mort inattendue.
Es-ce vraiment si surprenant que cela? Elystra n’avais pas gardé la petite Jilia jusqu'à présent pour rien… Elle s’avait bien que le temps courait contre eux. Un carrosse se trouvait près d’elle contenant les jumeaux endormis, et ont pouvait percevoir le bruit des rire des fillettes jouant ensembles. L’air commençait a se réchauffée et les enfants semblait avoir découvert la joie de jouer dans la boue qui ornait le pavé des routes.
La panthère qui les suivait depuis que son maître était absent restait a ses pieds comme s’il n’arrivait pas a se décider entre rester près des fillettes et sa nouvelle maîtresse ou retrouver son maître légitime. Son instinct animal lui criait de le rejoindre, mais il se sentait pris entre deux. Elystra regardait la porte close de la taverne n’osant même faire un pas dans sa direction ou un pour se retirer et partir… Que faire? Que devait t’elle faire?
A ce moment, Jilia vient près d’elle lui pris la main.
Tata? On va voir papa et maman?
Et maman… La fillette serait t’elle prête a accepter et voir cette état des choses? Était-ce le bon moment pour lui annoncer la nouvelle? Comment allait t’elle réagir?
Non Jilia!
Une froideur régnait dans toute sa personne et transperçait dans ses paroles, seule façon qu’elle réussissait à passer au travers de cette épreuve sans se laisser emporter complètement par ses émotions contradictoire et violent. Ce n’était pas à elle de décider si la fillette devait ou non connaître la vérité… Quand son père s’en sentirait le courage, il savait ou venir la chercher… Pour l’instant sa place n’était pas à pleurer les morts, mais bien à vivre avec les vivants. Plus tard, elle la pleurerait… plus tard…

Anonymous a écrit:: Il poussa la porte et observa rapidement l’intérieur. A cette heure-ci il n’y avait que très peu de client, les servantes émergées de leurs sommeils et commencées tout juste a ce mettre au travail. Il entra et s’approcha d’une servante, baissant son cache-nez pour lui parler.
Je voudrais un repas et une bonne chope, il remonta son cache-nez et sortit de sa poche quelques écus qu’il donna à la servante.
Bien monsieur, je vous apporte votre repas le plus rapidement possible, et elle fila vers le comptoir.
Il se dirigea ensuite vers un coin de la taverne, une table contre un mur, donnant une vue sur la porte et sur l’ensemble de la pièce. Son chien se coucha a ses pieds puis l’étranger commença lentement a déguster son repas que venait de lui apporter la servante.

Elystra a écrit:: Elystra entra dans l’antre de la panthère, cela fessait si longtemps qu’elle n’était pas revenu ici et pourtant les moments de conflit avec son frère était fini a présent. Comme d’habitude entre ses êtres si semblable une simple discussion avait remis les choses a leur place, et beaucoup de compréhension de sa part.
Mais l’endroit ou tout était arrivée… elle n’avait pas encore eux le courage d’y pénétré a nouveau. Pourtant se n’était qu’une bâtisse fait avec quelque bout de bois se disait t’elle en rentrant a nouveau dans la bâtisse.
Jeahne et Chef des ombres semblait s’être accordée presque en même temps pour la poussé a reprendre les rênes avant que le maître des lieux ne revienne par lui même. Un lieux parfait pour accueillir les futurs vagabonds a la recherche d’un endroit vivant et accueillant pour être accueilli par les deux jeunes femmes.
La jeune femme avait également décider de reprendre ses habitudes de cuisinières qu’elle avait perdue depuis un temps avec la politique et les autres obligations de la villes nouvellement arrivées. Maintenant s’était fini… La jeune femme regarda dans la taverne, un premier homme était déjà arriver semblable a un vagabond, une panthéreuse lui avait déjà servi un bon bouillon fumant.
La jeune femme sourit au jeune vagabond.
Bonjour, je suis la tavernière pour un temps, si vous avez besoin de quoi que ce soit n’hésiter pas, je m’appelle Elystra.
Elle se tourna vers le comptoir tapant dans les mains, les panthéreux étant bien entraîner n’allait certainement pas manquer de travail parce que leur chef se la coulait « douce » ou que le calme était établi dans le groupe.
Il est temps de remettre cet endroit sur pied!
Elle sorti le tablier de tavernière et l’enfila commença a nettoyer les différentes fûts et verres qui commençait a prendre la poussière et les différents étagères comprenant le peut de marchandise qui restait encore dans la taverne. Elle se dirigea vers la porte de la réserve et tenta de l’ouvrit… Encore barrée!! Mais pourquoi fallait t’il qu’elle soit toujours barré immanquablement lorsqu’elle tentait de l’enfoncé… ou plutôt de la débarrée innocemment bien sûr. Elle sorti une petit tige de fer servant a forcer les serrures en toute discrétion et commença son art en toute impunité pour débarré et découvrir enfin toute les trésors que devait sans aucun doute contenir cette réserve.

Anonymous a écrit:: L'étranger avait jetté un regard rapide sur la tavernière, puis d'un hochement de tête il avait bien fait comprendre qu'il ne manquerait pas de l'apeller si il avait besoin de quelques choses et il replongea dans son bouillon. Il regardait avec plaisir l'agitation qui régnée dans la taverne, la patronne distribuant ses ordres a ses "panthéreuses".Il s'arreta un instant de manger pour observer toutes ses belles et genereuses formes feminines qui dansaient devant ses yeux pour remettre en ordre la taverne, qu'elle plaisir ce dit-il avec un léger sourire, voilà qui vous redonne le moral pour attaquer une journée et ainsi il prit le temps de deguster son bouillon tout en ne manquant pas de temps en temps de jeter un regard sur les "panthereuses".

jeahne a écrit:: L'endroit était plutôt accueillant pour une taverne .néanmoins , quand elle poussa la porte une odeur âcre la pris à la gorge mais ce n'était pas pour lui déplaire .Cela sentait la bière et le bois mélangés, la sueur et le graillon, tout ce qui fait la vie d'une taverne . La fumée dégagée par l'âtre s'était accumulée au plafond , planant en un léger brouillard où les yeux avaient presque du mal à distinguer ce qui se passait dans les recoins de la pièce .
Jeahne s'avança au comptoir et appella :
Elystra ? Tu es là ? C'est Jeahne , sors de ta cave !!
Sans réponse , Jeahne se retourna et jeta un oeil circulaire sur la salle . Son regard tomba alors sur une énorme masse blanche au ras du sol . Curieuse, Jeahne s'approcha et découvrit alors un chien , étendu de tout son long aux pieds de son maître.
Tout d'abord, Jeahne ne prêta pas attention à l'homme en train de souper , subjuguée qu'elle était par l'animal .Elle s'acroupit à distance respectable de la bête qui commença à grogner . Jeahne en souriant et ne quittant pas la bête du regard, sans la fixer pour autant dans les yeux , approcha sa main doucement , paume vers le haut à la hauteur de la gorge de l'animal . Celui ci ne broncha pas mais continuait son grognement sourd et régulier.
Salut toi, dit Jeahne dans un murmure, tu es si belle , la bête , n'aies pas peur ....
Doucement mais décidée , la main de Jeahne se posa sur le poil fourni , la bête sembla hésiter, arrêta de grogner un instant puis recommença. Dans un mouvement à peine perceptible , et toujours accroupie, Jeahne s'approcha de l'animal tout en enfonçant ses doigts dans l'épaisse fourrure qui crissa entre ses phalanges.Ses ongles atteignirent alors le cuir de la bête qu'ils commencèrent à gratter et caresser à la fois en un doux mouvement régulier et appuyé.
-là....ça va ...n'aies pas peur , regarde , ça fait du bien non ?
La bête arrêta de grogner soudain et sembla se soumettre avec délice aux caresses . Jeahne continua tranquillement de caresser l'animal sans le quitter des yeux .
C'est alors qu'elle réalisa la présence de l'homme assis juste à côté et qui la toisait du regard.
Toujours en gardant un oeil rivé sur la bête colossale , Jeahne s'adressa à lui :
-C'est un bel animal que vous possédez là .....je ne me souviens pas en avoir vu souvent de semblable
Jeahne retira sa main de l'épais manteau de poils dans un geste très lent , et se redressa tout aussi lentement en souriant à l'étranger qui n'avait pas bronché.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Anonymous a écrit:: Titoan avait jetté un regard rapide vers la femme pendant qu'elle caressait son chien. Elle portait un manteau noir frappé de la croix pattée. Arfff une templiére, pff une sacrée bonne soeur et moi qui aurait préféré une catin ce dit-il dans sa tête. La femme finit pas ce redresser en lui souriant. Titoan remit en place son cache-nez et lança un regard inquisiteur a la femme.
Dite la bonne soeur on vous a jamais dit qu'il ne fallait pas caresser un chien que l'on ne connait pas, il aurait pu vous mordre et j'aurais eu des ennuis. Vous faite la tournez des tavernes pour recolter de l'argent pour les pauvres dit-il d'un ton ironique.
Puis il fixa sérieusement la femme en semblant attendre qu'elle repond ou qu'elle quitte sa table.

jeahne a écrit:: Jeahne ravala son sourire devant les propos du triste sire qui manifestement ne tenait pas à engager la conversation . Jeahne en voyant le regard aiguisé du bougre et la provocation manifeste,calma ses ardeurs à répondre ,c'était pas l'envie qui lui manquait de lui donner une leçon . Elle posa cependant les deux mains bien à plat sur la table , bousculant au passage l'assiette de bouillon qui versa légèrement , le fixa droit dans les yeux qui dépassaient à peine de son cache-nez , arbora de nouveau un sourire en coin et rétorqua d'un ton calme et bienveillant :
-vous devriez oter cet encombrant cache-misère qui non seulement ne vous sied guère Messire , mais en plus vous rend parfaitement inaudible . Néanmoins , si j'ai bien compris vos propos , j'en déduis que votre chien est nettement plus cordial et avenant que vous . N'ayez crainte, je ne vous dérangerai pas davantage . Sachez juste qu'ici à Lausanne , je suis chargée de l'accueil des vagabonds et si vous avez besoin de pain pour vous nourrir , malgré votre conduite fort peu engageante , j'en tiens à votre disposition à bas prix.
Puis Jeahne fait mine de s'en aller , ébauche quelques pas puis se retourne en riant :
-au fait sachez aussi qu'effectivement soeur je le suis, mais pour mes frères et soeur du temple uniquement, quand à être bonne , ce n'est certainement pas à moi d'en juger mais seul notre Seigneur le pourrait.
Jeahne prenant l'air de réfléchir intensément et les yeux plissés par son sourire ajoute :
et peut être aussi ....enfin bon .... Ce qui est certain c'est que je crains fort que vous même , en tout cas n'en soyez pas capable
Puis Jeahne retourna vers le comptoir et s 'adressa à la servante qui se tenait tapie juste derrière :
sers moi donc une bonne bière bien mousseuse , je vais attendre Elystra ici , mieux vaut être seule que mal accompagnée .

Anonymous a écrit:: Arfff sacrée bonne soeur, et blablabla elles savent faire que ça jacasser ce dit Titoan a voix basse. Il caressa son chien et termina rapidement son bouillon, tout en regardant toujours de temps en temps les formes genereux des panthereuses qui s'activent a leurs taches. Puis il ce leva promptement et pris la direction de la porte.
Allez Pyrrhos viens nous partons, ahh tenez pour le pourboire.
Titoan lança quelques ecus sur le comptoir, salua la salle d'un geste de la mains puis se dirigea vers la porte, accompagné de son chien qui semblait heureux de repartir.

Elystra a écrit:: Elystra était concentrée dans l’ouverture de la porte de la réserve. Un léger cliquetis se fit entendre qui lui permettait enfin d’ouvrir la porte en toute impunité. Elle et Diaphane avant tant essayer d’ouvrir cette antre au trésor, découvrir ce que son frère cachait dans cette cave. Avec une démarche d’une enfant fessant délibérément un mauvais coup, Elystra entra dans la salle. Le vent venant de la porte ouverte fit relever la poussière qui recouvrait le sol de cette réserve trop longtemps barrée.
La jeune femme avait les yeux brillant de curiosité en découvrant cette endroit normalement interdit pour elle, des condiments pour la nourriture, des tonneaux de bière restait dans un coin de la salle… La réserve serais encore bonne pour un temps aux moins cela restait une découverte rassurante, cela pourrait lui permettre de se faire un peu de réserve d’écu avant de devoir en dépensé pour ici.
Bien! Que voulait t’elle? Excepter sa trop grande curiosité? Elle regarda autour d’elle, finalement elle voulait seulement s’assurer pouvoir reprendre cette taverne sans trop de dépense en commençant… son frère était prévoyant cela ne l’étonnait pas du tout.
Elle ressorti de la réserve en portant bien attention a ne pas barré la porte tant que la poigné et la serrure ne serais pas réparer. Elystra ressorti de la réserve époussetant ses mains poussiéreuses sur son tablier. Elle vit son amie, assise aux comptoirs sirotant un verre d’alcool. Un grand sourire se dessina sur ses lèvres et elle revient au comptoir.
L’atmosphère semblait silencieux et un peu tendu comme si un malaise s’était installé un moment plus tôt, mais la jeune femme ne savait pas du tout de quoi il s’agissait. Elle fit un signe a la jeune femme qui s’occupait des breuvages pendant son absence et celle ci retourna a sa cuisine laissa une odeur de bœuf aux légumes pénétrés dans la taverne juste le temps que la porte se referme.
Bonjour Jeahne, comment va tu? Je suis contente de te voir! Tu voulais me parler?

jeahne a écrit:: Voyant l'homme se lever et décidé à partir , Jeahne lui lança :
-vous partez déjà Messire ?,vous ne souhaitez pas apprécier la bonne bière que Dame Elystra tient à votre disposition ?
Je vous assure qu'elle en vaut la peine. Pyrrrhos c'est un joli nom .
Et Jeahne de siroter la sienne avec plaisir
Si vous le souhaitez il y a une bonne auberge à Lausanne , des chambres sont encore libres .
Jeahne regardait l'homme se diriger vers la porte avec un sentiment bizarre , l'homme semblait empreint d'une grande solitude malgré la présence de son chien .

Anonymous a écrit:: Titoan hesita un instant puis il s'arréta devant la porte et ce retourna vers la templiére pour lui repondre.
La biére non merci je n'en abuse pas, car cela altére les facultés du corps, et je préfére toujours être sur mes gardes et puis gardez votre charité pour les pauvres, moi je n'en ai point besoin. Et comme vous dite si bien il vaut mieux être seul que mal accompagné dit-il d'un rire sarcastique.
A peine terminé ces quelques mots Titoan passa la porte et la referma calmement.

jeahne a écrit:: Jeahne hocha la tête de droite à gauche en se demandant bien ce qui pouvait tourmenter un homme de la sorte .
Puis elle se tourna vers Elystra qui venait de remonter de la réserve avec un grand sourire :
Ha tu es là , tant mieux , la taverne est bien vide et je n'aime pas boire seule . Accompagne moi , si tu veux . Je voulais savoir si tu avais eu des demandes concernant le pain à 5 écus car je n'ai eu aucune demande depuis que j'ai le mandat .

Elystra a écrit:: Elystra regarda la scène qui venait de se dérouler sous ses yeux, elle avait un visage sans expression en regardant la porte se fermé lentement. Cet homme lui rappelait quelqu'un...
Elle sorti de son demi songe, en secouant la tête pour revenir a la réalité de Jeahne en face d'elle. Elle tendit la main vers un verre et se servi un biere bien mousseuse. Pris la première gorgé avant de répondre, mal a l'aise.
Non je n'es presque rien recu, j'ai eu des réponses comme quoi certains était bien content de la réponse que je leur est faite mais sans plus... pas de demande pour le pain... sa me décourage, depuis le début de mon mandat je n'es vendu qu'un pain a un vagabond qui d'ailleur ne l'a jamais recu, il s'est perdu dans les lympes du marché :?

jeahne a écrit:: Cela n'empeche qu'il faut perséverer , quand bien même un seul en voudrait , ça sera toujours ça de bon. Peut etre pourrions nous les relancer de temps en temps , renvoyer la lettre ?
Jeahne marque une pause et reprends en dévisageant Elystra
Ca n'a pas l'air d'aller ? C'est la bière ?

Elystra a écrit:: Elystra relava le regard vers Jeahne surprise. Cela était si évident qu'elle n'allait pas en se moment? La jeune femme releva un sourcil interrogateur, elle démontrait tant dans ses actions pour que même ses amis qui la connaissait à peine s'inquiète de son état?
Comment expliquer ses sensations qu'elle-même ne comprenait pas? Quelque chose se préparait elle le sentait comme le glaive qui allait l'effoncé définitivement au sol. Elle ne savait ni la texture, ni la composition de cette épée de démoclaise. La jeune femme ressentait seulement sa présence prête à frapper.
Elle eu un mouvement de recul, laissa sa bière sur le comptoir face à Jeahne et baissa les yeux sur le comptoir propre, le frottant lentement, cherchant à évité des yeux la jeune femme. Elystra avait toujours eu une difficulté a cachée chacune de ses émotions ou presque.
Mais non je vais bien.
Elle fit un pauvre sourire qui se voulais rassurant. Toute ses pensées était si bizarre en se moment.
Ce serais une bonne idée pour renvoyer la lettre a chacun des vagabonds, normalement ce que je fessait, a chaque semaine je remettait ma liste complète a jour que ce soit pour les parrains je revérifiait ou pour la confiance que les gens leurs apportaient et a ce moment je renvoyais la lettre a tout les vagabonds vivants bien sur...

jeahne a écrit:: Bon je vais te laisser Elystra , je vais aller faire un tour . Manu est parti et j'ai besoin de prendre l'air
A demain à la mairie sans doute
et Jeahne sortit de la taverne en se disant qu'Elystra avait sans doute besoin d 'être seule . Jeahne avait besoin de se retrouver un peu seule elle aussi .Elle commençait à ressentir le départ de Manu au plus profond d'elle même et rentrer au chalet était trop dur pour l'instant .

Diaphane. a écrit:: Diaphane marchait d'un pas rapide dans les rues de Lausanne, se dirigeant vers la taverne du nom de L'Antre de la panthère. Elle avait une rouleau de parchemin a la main. Cette missive contenait un message venu de loins, apporté par un oiseau couleur d'ébène.
Arrivée devant la taverne Diaphane soupira, salua les gardes posté de chaque côté de la porte et entra a l'intérieur. La jeune femme chercha du regard son amie, elle l'aperçût frottant le comptoir et alla vers elle d'un pas lent, sentant dans l'air un relant de tristesse, un mélange d'émotion que chacun ici présent transportait avec lui, même elle. Une fois au comptoir Diaphane frappa du poing sur la table et s'écria:
Allé tavernière une bière pour une messagère a la gorge brûlante par sa course au travers des rues et ruelles de notre cher village de Lausanne.
La jeune femme sourit a Elystra qui sembla surprise de voir son amie en ce lieu qu'elle fréquentait rarement occupée a aider son amie avec sa jeune famille. Mais elle était de toute facon discrete de nature, et en ce moment cherchait a calmer son âme tourmentée. Diaphane tendit le parchemin qu'elle tenait a la main a Elystra puis ce saisie de sa chope de bière qu'elle sirota avec délice...

Elystra a écrit:: Elystra avait laisser partir Jeahne comprenant son besoin de se retrouver seule et le partageant par la même occasion. Elle se sentait fébrile comme si les questionnements qui la hantait depuis des jours avait stoppé dans sa tête laissant place a un calme étrange. Elle pris sa serviette et se mis a nettoyer le comptoir, bien vite elle se rendit compte qu'elle ne fesait qu'usé le bois plus que le nettoyer a présent.
Elle accota ses coudes sur le comptoir regardant la taverne vide et sirota sa bière en attendant d'avoir des compagnons qui pourrait l'accompagner pour la vidé de se vide trop calme qui l'envahissait.
La porte s'ouvrit finalement sur Diaphane, Elystra ouvrit des yeux en voyant son souffle irrégulier, ont dirait qu'elle avait courru pour arriver jusqu'à elle. Pourquoi était t'elle pressée? Elystra lui sourit et tendit la main vers un verre.
Bonjour Diaphane, quel bon vent t'amène? Tu as passer une bonne journée?
Elle l'écouta et rempli expressément son verre de bierre pour lui tendre avec un sourire. Puis voyant la missive qu'elle tenait et lui tendait elle eu un mouvement incertaine, puis la pris et la déplia...

Sequelle a écrit:

Sequelle a écrit:: Chère Elystra,
Il y a bien longtemps nous nous sommes connu, nous avons fait connaissance grace a ta soeur Hytoni. Je ne sais si tu te souviens de la jeune femme et du jeune homme qui vint a ton aide alors que tu n'était qu'une demoiselle. C'est l'amitié que je porte a ta soeur qui me permet de t'écrire cette missive.
C'est le coeur lourd que je t'annonce une triste nouvelle. Pardonne ma brusquerie, mais les mots me manque. Ta soeur qui était ma plus chère amie c'est éteinte il y a peu de temps. Rongée par un mal étrange que personne, pas même les plus éminents médecins de notre armée n'ont pu reconnaître. Je suis terriblement désolée du chagrin qui sera le tien, sache que je partage ta peine au plus haut point.
Je veux aussi t'informer que je me suis arrangée pour offrir a Hytoni des funérailles digne d'elle et qui a mon avis elle aurait approuvé. Encore une fois je te prie de me pardonner la tristesse que je t'inflige.
Mes sincères condoléances
Amicalement
Sequelle

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Elystra a écrit:: Elystra commença à lire la missive, Sequelle... Bien sur qu'elle se souvenait d'elle... La jeune femme et son fiancé l'avait raccompagné lors de son premier voyage qui l'avait conduite à la guerre et à sa soeur, il y avait si longtemps.
Elystra continua sa lecture découvrant aux fils des mots l'affreuse vérité, ses mains se mirent a tremblées tenant toujours avec difficulté la lettre annonciatrice. Ses yeux se remplirent de larmes, reluisant comme un miroir, coulant sur ses joues de trop plein d'émotion violente. Non! Elle revoyait tout les souvenirs de sa chère soeur, leurs retrouvailles... sa rancoeur contre son ainée, leurs amitiés nées de situation si difficile, la guerre, celle-ci qui l'avait sauvé trois fois de mort certaine pour la réfugié a Mayenne dans ses débuts.
Sa rencontre avec Asle, ses secrets faces à la panthère, son incapacité de laisser une vision si noir même frôler l'image parfait que sa soeur avait d'elle. Elle n'avait jamais eu le courage de lui dire la vérité, plus jamais elle n'en aurait la chance. Ne pleure pas! Les voix de son enfance n'empêchait pas les larmes d'envahir complètement son visage.
Ma soeur est morte...
Elle avait parler d'une voix blanche contrastant avec les émotions qu'elle démontraient de toute sa personne. La jeune femme ne réalisait pas toute la porter de cette nouvelle. Non, sa soeur ne pouvait être morte... Une des seule personne qui connaissait exactement comment la jeune femme pouvait être altruiste et la seule confidente pour de grand secret qu'elle n'osait toujours pas dévoilée.
Une énorme boule lui broyait la gorge, la jeune femme avait l'impression qu'un poids était porté sur sa poitrine, beaucoup trop lourde pour elle... Cela fesait si longtemps qu'elle ne l'avait pas vue... sa grande soeur... elle avait perdue sa grande soeur! Les yeux en larmes, elle se tourna vers la jeune femme près d'elle répétant ses mêmes paroles si claires et pourtant si dures a intégrées et acceptées pour elle.
Ma soeur est morte...
Elle avait peine a respirer, des sanglots transparaissait a présent dans sa voix. Si elle avait été présente sa connaissance des plantes aurait peut-être servi à la sauvée. Ses yeux absent et embuée se fixèrent un moment sur Diaphane, sa lèvre inférieur était parcourus de spasme incontrôlable, tout un passé lourd partait avec sa sœur.
Non, elle n’aurait servi à rien, la jeune femme savait bien que les médecins de Normandie était qualifiée pour se genre de maladie, s’il n’avait pu rien faire c’est qu’il n’y avait rien à faire.
Elystra replia la missive d’un geste lent, mais tremblant, puis la serra délicatement dans une des poches de son vêtement. Elle porta sa main au poignard de sa trop petite famille à présent, il ne restait plus qu’elle.
Elle n’avait pas eue le courage de relevé les yeux vers Diaphane pour la regardée de peur d’y lire une pitié qu’elle ne voulait pas voir… Sa tante aurait été peu fière d’elle. Elle n’avait, encore une fois, pas su retenir ses larmes…
Tu pourrais t’occuper de la taverne en attendant le retour de Chef des ombres, Diaphane? J’ai besoin de repli et de solitude pour l’instant…

Diaphane. a écrit:: Diaphane buvait sa bière lentement en observant son amie. Elle remarqua les changements dans la physionomie de celle-ci. Une profonde tristesse émanait d’elle. La jeune femme fut saisie par le chagrin lorsque Elystra prononça d’une voix blanche « Ma sœur est morte » ces quelques mots avaient tellement de poids tant pour son amie que pour elle-même.
Combien de fois ne c’était elle pas demandé ce qu’était devenue sa véritable famille qu’elle n’avait jamais connue. De sombres pensés s’imposèrent à son esprit, elles les laissa affluer au même rythme qu’elle voyait couler les larmes sur les joues de son amie. Comprenant la peine d’Elystra, Diaphane tendit la main et la posa sur celle de la jeune femme en face d’elle dans un geste de réconfort mais Elystra la retira pour plier sa missive.
Son amie tremblait en rangeant la lettre dans l’une de ces poches. Mais elle ne leva aucunement son regard vers elle et Diaphane se demanda bien pourquoi, peut-être que son amie ne voulais pas faire transparaître sa douleur. Diaphane ne fit aucun geste, elle allait lui dire quelque chose lorsqu’une voix brisée par l’émotion franchie les lèvres de la brunette qui lui faisait face. Lui demandant de s’occuper de l’Antre de la panthère le temps que son propriétaire revienne. Cette demande la surprit énormément mais en même temps une joie indescriptible. Diaphane dévisagea Elystra et c’est en esquissant un timide sourire qu’elle répondit :
Bien sur Ely, je m’occuperais de la taverne jusqu’au retour de mon cher parrain avec plaisir. Tu crois que ton frère me…. Heuuu… rrrr….re….re…reviendra bientôt???
Tout en parlant Diaphane rougissait violemment en fixant le fond de sa chope de bière…

Elystra a écrit:: Elystra garda toujours une main sur le manche d'ivoire du poignard. Elle cherchait à puisser un courage qui lui manquait depuis son arrivée à Lausanne.
Chef des ombres reviendrait il? Comment le savoir vraiment? La dernière fois qu'elle l'avait vu s'était pour prendre la relève de la taverne... et il semblait déjà aller mieux a ce moment.
Une boule envahissait doucement sa gorge l'asséchant. Elle avait une soudaine envie de partir, fuir se monde si triste et si dépourvue de tout mais surtout ou les personne qu'elle aimait disparaissait si facilement...
Tranquillement, elle se mis à parler d'une voix automate et douce en enlevant son tablier de tavernière et les donnant à Dia.
La porte de la réserve est débarré. Je les enfoncée pour vérifier son contenue. Il faudra la faire réparer. La serrure également... Tu y trouvera tout ce qui sera utile pour les repas ainsi que plusieurs tonneaux de bière. CDO devait revenir d'ici quelques jours, je ne crois pas que cela sera très long.
Elle releva les yeux vers son amie, pour la première fois affrontant sa propre tristesse, elle la détailla un moment du regard. Son visage était plus que familier.
Tu pourras t'occuper d'Azalie et des jumeaux s'il te plait? Je vais prendre Broxigor avec moi je crois que CDO approuverais ce choix. Fait bien attention à Asle également, il va s'en doute être en colère mais il comprendra, je l'espère...
Elle déposa le tablier sur le comptroi et s'approcha de la femme face a elle, la prenant dans ses bras autant pour son besoin de réconfort que pour réconforté. Que lui arrivait t'il? La femme en face d'elle n'était pas celle a qui elle ressemblait. Sans y porter attention elle chuchota.
Prend soin de toi, mon amie. Un jour, il te découvriras ne perd pas confiance. J'ai besoin de partir, de m'évadé un temps. Au revoir, ... Dia.
Puis, Elystra relacha la jeune femme et sortie de la taverne.

Diaphane. a écrit:: Des jours avait passé depuis le départ d’Elystra, Diaphane qui s’occupait de la jeune famille de son amie avait quelques peu négligée la taverne de son cher parrain, elle avait mit ses énergie a calmer le chagrin des enfants, qui souffrait du départ de leur mère ne comprenant pas cette soudaine absence.
La jeune femme suivit de Jilia entra dans l’Antre de la panthère, le lieu était sombre, Diaphane alla vers la cheminé, y mit deux ou trois bûches et alluma un feu. Une petite flamme diffusa d’abord une faible lueur, puis les flammes grossirent progressivement illuminant la taverne d’une douce lumière tout en propageant une chaleur suave a la pièce.
La femme et l’enfant observèrent un instant la danse des flammes dans l’âtre, toutes deux émerveillées devant le mouvements du feu. Diaphane après quelques minutes se détacha de ce spectacle envoûtant, laissant la fillette a sa contemplation, alors qu’elle-même se dirigeait vers le comptoir et passait de l’autre côté pour prendre le tablier et un chiffon pour ensuite entreprendre de nettoyer l’endroit avant que les premier client arrive. Surveillant d’un œil tendre la petite fille de Chef des ombres.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar entra dans la taverne quelque peu désorienté.Elle se laissa tomber sur une chaise,la fatigue ayant raison d'elle.Elle caressa son ventre bien rond.Toujours les mêmes interrogations.Elle si jeune,sans famille.Un enfant sans père.Elle allait devoir se montrer bien plus forte qu'elle ne l'avait été auparavant.Elle devait prendre soin de sa vie et de celle de son enfant.Elle sortit de ses pensées et regarda autour d'elle la compagnie présente en taverne.Elle sourit à la jeune femme et à l'enfant qu'elle tenait dans ses bras.

"Bonjour à vous....à vous deux.Comment s'appelle-t-elle?"

Diaphane. a écrit:: Diaphane qui nettoyait les tables de la taverne en jetant de temps en temps un regard a Jilia pour voir si la fillette n’était pas loin d’elle et qu’elle allait bien, mit fin a sa tâche et rejoignit l’enfant qui s’était assise dans le fauteuil près de la cheminée. La petite fille fixait les flammes et dans son regard Diaphane y vit de la tristesse. Devant ce chagrin la jeune femme ne pouvait rester indifférente, Elle comprenait les sentiments qui envahissaient le cœur de la fille de Chef des ombres, a un tel point qu’en regardant l’enfant a cet instant, elle cru voir ce a quoi elle devait ressembler quand elle était petite et que son univers avait basculé. Le sentiment d’abandon quelle horrible sensation s’infiltrait dans notre cœur lorsqu’on le connaissait.
Lentement un petit visage au regard voilé se leva vers elle. Diaphane y vit toute la peine contenue au fond du cœur de la fillette. Muette la jeune femme s’accroupie et tendit les bras. Jilia s’y blotti sans dire un mot, alors Diaphane la serra contre elle et lui caressa les cheveux dans un geste de réconfort…
Ne t’inquiète pas Jilia papa sera bientôt de retour et Jowy aussi. Tout ira bien je te le promet.
Diaphane sourit a la petite fille qui la regarda intensément, et déposa affectueusement un bisou sur sa joue ronde tout en se balançant d’un pied sur L’autre. Alors qu’elle berçait Jilia la porte de la taverne s’ouvrit et céda le passage a une jeune femme au ventre rond qui s’effondra sur une chaise l’air hagard et épuisée par le poids de son ventre. Un moment la nouvelle venue se perdit dans ses pensées, discrète Diaphane la laissa à son introspection. Quand l’arrivante s’adressa a elle Diaphane lui sourit chaleureusement…
Bonjour, et bienvenue!!
Cette jeune personne se nomme Jilia, moi c’est Diaphane et vous???
Vous semblez fatiguée, je vous offre quelque chose a boire, ou a manger avant de vous offrir un lit pour vous reposer??

**Shalimar** a écrit:: Shalimar sentit la chaleur du sourire réchauffer son corps et son coeur froid.
Et bien à vrai dire....j'ai été détroussée en chemin...j'ai peur de ne pas avoir assez de pieces pour vous payer.
Elle se leva et s'approcha de la tavernière et de l'enfant qui se nommait Jilia.Elle sourit et caressa du revers de la main le visage de la fillette.Elle fit semblant de chercher derrière son oreille et en fit apparaitre une petit papillon aux vives couleurs.La filette rit de bon coeur malgré la tristesse visible dans ses yeux,elle tendit la main pour saisir le papillon,Shalimar le posa sur ses petits doigts et détourna son regard émeraude vers Diaphane.
Je viens tout juste d'arriver...laissez moi le temps de me refaire et peut-être que je pourrais m'offrir le luxe d'un repas et d'une boisson chaude.J'avais besoin de m'assoir et votre taverne était ouverte alors...

Elle sourit tristement,tout en caressant son ventre.

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Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres arriva dans sa taverne, portant Jowy dans ces bras il fit claquer la porte avec Fracas. Et dit, ou plutôt cria :
« Bonjour tout le monde ! Le patron est revenu ! ! ! »
En riant, il entra avec quelques personnes qui l’avaient rejoint en route. La déco de sa taverne n’avait pas changer, sa lui fais chaud au cœur. Même si il sentait encore la présence de son épouse Cathy quelques part ici.
Mais il ne pleurerait plus jamais de sa vie, le passé était ce qu’il était. Et avançant, il vit Diaphane et sa fille Jilia le regard triste pour l’instant. Et une autre jeune femme qu’il avait déjà rencontré et sourit.
Les gens qui accompagnèrent chef des ombres, pour la plupart des hommes et femmes de son groupe, ils allèrent a plusieurs table et parlèrent entre eux. S’approchant des deux jeunes femmes et de sa fille il avait un grand sourire au lèvre. Posant Jowy au sol, il le vit marcher vers sa sœur.
« Alors Jilia, on ne viens plus faire de câlin a son papa roi ?! »
S’abaissant au niveau de Jilia, il ouvrit les bras et sourit.
« Aller, viens la ma princesse d’amour ! Viens voir papa sentir combien tu m’as manquer ! »
Il ria quand sa fille sauta de son fauteuil pour courir vers lui et lui sauter au coup pour s’envoler dans un câlin tourbillonnant dans les airs en criant « Papa ! ». Tenant ensuite Jilia d’un bras et reprenant Jowy de l’autre qui tirer sur son pantalon pour remonter avec sa sœur. Chef des ombres fit un gros bisous a chacun de ses enfants.
« Mes petits trésors d’amour ! »

**Shalimar** a écrit:: Shalimar sourit,attendrie par la scène mais elle ne voulait sa présence lors de ses retrouvailles familiales.Elle s'écarta et alla s'assoir sur un tabouret devant le comptoir.Son ventre lui faisait de plus en plus mal.Un coup.Le premier...l'enfant s'éveillait en elle et elle était la seule à se réjouir de cet instant.

Elle regarda autour d'elle,elle aurait aimé partager ce moment avec un ami,un père,un époux...personne.Elle se tut et baissa la tête.Après tout,il n'y avait rien à ajouter.
Elle sentait cet enfant grandir en elle,elle si jeune,elle si pauvre...l'amour viendrait peut-être....il devait venir,une mère ne peut qu'aimer son enfant,mais...un enfant,symbole d'un mariage râté,annulé les heures qui suivirent,un enfant qui ressemble à l'homme qui l'a trainné dans la boue...

aylay a écrit:: aylay avait laissé hern à l'auberge.. elle avait eu envie de faire un petit tour dans la ville ..
au bout d'un moment, ses pas la menèrent vers l'antre de la panthère.
elle n'avait jamais eu l'occasion d'y entrer et de boire un verre ,c'était le moment ou jamais.
elle avait entrevue quelques minutes Chef des ombres , elle serait heureuse de le saluer ..
d'un geste rapide , elle ouvrit la porte et entra dans la taverne..
il y avait du monde notamment quelques amis de chef des ombres , diaphane derrière le comptoir , une nouvelle et chef des ombres et ses enfants..
la façon dont il s'en occupait lui fit comprendre combien il devait les aimer.
bonjour a tous , depuis que je suis a lausanne , je n'avais jamais eu le temps de venir prendre un verre chez vous..
je crois qu'il est temps de remédier à cela.
CDO , votre retraite s'est bien passée?
.
la petite fille de CDO regardait son père avec amour ...elle semblait subjuguée par lui.
.le coeur de aylay coeur se serra ..si jeune perdre sa maman , quel désastre!!!...
mais les enfants semblaient être entourés de beaucoup d'affection ...c'était déja un bien grand soulagement.
elle s'approcha de la nouvelle et vint s'asseoir à ses cotés..

peut on avoir une tournée ,? il est bon parfois de réchauffer le corps pour mieux réchauffer le coeur
son regard se tourna vers chef des ombres et le fixa un long moment

Diaphane. a écrit:: Diaphane regarda la futur maman et ne put cacher une expression outrée en entendant les paroles de la jeune femme.
« Vous détrousser dans votre état mais quelle honte. Je suis vraiment désolée pour vous.»
La jeune femme sourit quand elle vit l’émerveillement se dessiner sur le visage de Jilia quand Shalimar fit apparaître un papillon aux couleurs pétillantes. Diaphane allait lui répondre quand la porte de la porte de la taverne s’ouvrit brusquement, dévoilant la silhouette d’un homme qu’elle reconnue avant même qu’il hurle son retour. Accompagné de plusieurs personnes dont elle reconnue certaines d’entre elles.
Chef des ombres s’avança vers elles, Diaphane qui tenait la fille de celui-ci rougit lorsqu’un sourire se dessina sur les lèvres du jeune homme. Alors que les personnes qui avaient suivit son entrée s’installaient aux différentes tables dispersées dans la pièce, sen suivit un brouhaha que le lieu n’avait pas connu depuis un long moment déjà. Jilia qui était toujours dans ses bras se retourna subitement au son de la voix de son père, sur ce Diaphane déposa la petite fille par terre et la vit se précipiter vers l’homme qui représentait tout pour elle et qui elle le savait lui avait cruellement manqué. Un sourire attendrit naquit sur ses lèvres a la vue des retrouvailles du père et de l’enfant. Soucieuse de ne point déranger ce moment Diaphane s’en alla vers le comptoir où elle rejoignit la jeune voyageuse pour discuter avec elle tout en servant à boire a ceux qui le désirerais.
Passant derrière le comptoir Diaphane remarqua un changement dans la physionomie de sa vis-à-vis. Inquiète elle tendit la main et la posa sur celle de la jeune femme.
«Je vous offre à boire, un repas et un lit pour vous reposer, nul besoin de refuser, je vous offre le tout avec plaisir.»
Diaphane sourit chaleureusement puis apercevant une main levée, elle entreprit de remplir quelques chopes de bière, puis alla à la cuisine, où elle mit de l’eau a chauffer et chercha de quoi manger rapidement. Une fois qu’elle eut trouvé de quoi se sustenter, elle retourna dans la taverne et déposa un plateau sur le comptoir. On y trouvait du pain, du beurre et un morceau de lard…

**Shalimar** a écrit:: Shalimar détourna son regard vers Chef des ombres.Il était bel homme et semblait mon père,mais celui-ci croisa ,ou peut-être était-ce une illusion ,le regard de celui-ci,elle détourna alors brusquement les yeux,quand elle sentit la main de la jeune tavernière.Celle-ci lui faisait la charité,comme à une vagabonde...elle en ressentit une grande honte mais elle n'était plus seule,elle ne pouvait plus désormais refuser l'hospitalité.
Elle sourit tristement et la remercia du regard avant de la regarder s'éloigner.Elle tourna à nouveau ses regards vers CDO et sa fille.

garett a écrit:: Un homme entre dans la taverne, plutôt grand , fortement charpenté , le regard gouailleur. Un brin d'herbe au coin des lèvres qu'il recrache avant de s'adresser à l'assistance.
Salut la compagnie .
Puis s'adressant à celui qui semble tenir le lui.
Ola toi à boire bon sang de bois, j'ai le gosier plus sec et plus râpeux qu'un champ de cailloux.
Il empoigne une chaise , la retourne s'installant à califourchon, la tête dans le creux de ses mains,les coudes sur le dossier ,il observe la salle.
Détaillant sans gène aucune chacune des femmes présente.
Trois jolies pouliche se dit il un sourire carnassier se dessinant sur ses lèvres. La route avait été longue depuis la France ,il se serait volontiers laissé aller a quelques câlineries avec chacune d'entre elle.
Alors mon gars elle vient cette bière ou faut il que j'aille la chercher moi même à la cave. On m'avait dis les helvétes un peu lent ,mais je ne vais pas attendre trois heure que tu te sorte les doigts .

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

**Shalimar** a écrit:: Shalimar vit entrer un homme au moeurs des plus grossières.
Il était rustre et sans manières,cela la fit sourire...jusqu'au moment où elle se sentit observée.Elle tourna légèrement son visage et lui lanca un regard glaciale.
Elle se demanda pourquoi les hommes se sentaient-ils obligés d'avoir un comportement aussi associal.Elle se leva et s'approcha de CDO et Jilia.
Elle sourit à la fillette.Elle était si belle.Elle l'observa un instant puis fouilla dans sa bourse.Elle en sortit un petit collier en argent,avec un petit papillon en guise de pendentif,le cadeau qu'elle destinait à l'enfant qu'elle portait en elle...mais il était fort probable,d'après ce que lui avait dit une vieille femme rencontrée en chemin,qu'il s'agisse d'un garçon,le collier ne serait donc pas à son goût.
Elle s'approcha et tendit le collier à l'enfant.

"Tiens ma jolie...voilà pour toi,prends en grand soin."

garett a écrit:: Tapotant impatiemment des doigts sur la table devant lui ,il écoute machinalement les conversations.
La brune au regard incendiaire , ne semble pas apprécier qu'il la détaille ainsi. Elle lui jette un regard noir et se lève pour aller rejoindre celui qui depuis quelques minutes devrait déjà s'être empresser de l'avoir servit.
Démarche légèrement chaloupée, chute de rein vertigineuse, la bougresse à de quoi éveiller bien des choses chez un homme normalement constitué.
Il la regarde passer devant lui , a priori inconsciente des brasiers qu'elle peut allumer. En souriant il laisse échapper un sifflement.
Fuuuuuuuuuuuufuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu

Diaphane. a écrit:: Diaphane fut surprise de la réaction de la jeune femme en face d’elle. Elle la regarda intriguée alors que celle-ci ce retournait pour observer Chef des ombres et sa fille sans toucher a la nourriture qu’elle lui avait apporté. Pansant faire un geste d’amitié, elle se dit que c’en était peut-être pas un pour la jeune femme. Prenant quelques chopes de bière elle les distribua aux quelques personnes entourant le comptoir. Soudain une voix salua l’assistance et réclama à boire grossièrement.
Diaphane derrière le comptoir observa le nouvel arrivant, les manières de cet homme étaient rustres et il était d’une arrogance qui ne l’impressionnait point, même qu’elle trouvait cela il ne fallait pas ce le cacher séduisant. Elle sentit le regard de ce dernier couler sur elle, levant les yeux elle remarqua le fin sourire carnassier qui c’était dessiné sur ses lèvres. Exactement le genre de rictus qu’elle s’attendait à voir sur ce genre d’homme.
Saisissant une nouvelle chope de bière la jeune femme sourit chaleureusement à l’un des hommes de Chef des ombres et sortit de derrière le comptoir d’un pas léger. L’impatience commençait à gagner le visiteur, ont pouvait le constater aux mouvements de monter et de descente de ses doigts sur la table à ses côtés. Amusée d’un tel comportement Diaphane souriait malicieusement. Elle avançait accentuant le balancement de ses hanches qui faisait onduler le fin tissu de sa robe pourpre. Arrivée à la table de l’homme elle le vit mettre sa bouche en cœur et entendit le triste sifflement qui en sortit. Déposant la chope sur le meuble de bois Diaphane leva ensuite la main et dans un geste souple et ferme la posa sous le menton râpeux, puis tourna le visage du goujat vers elle.
Vous avez demandez à boire… hé bien voila votre chope monsieur. Soignez votre gorge peut-être que votre langue sera plus joliment volubile.

garett a écrit:: Sa chope vient à lui de bien jolie façon, déhanchement gracieux, quelques peu accentué, regard de défi.
Il la regarde approcher, amusé de l'audace de la donzelle.
La bière est posé sur la table en même temps qu'un doigt lui fait lever la tête vers la tavernière.
Une fausse courtoisie se terminant en raillerie vient ponctuer ce geste de défi.
Délaissant la bière sa main se fait rapide quand elle emprisonne le poignet. Sans violence juste ce qu'il faut pour assurer la prise sans lui faire mal. Il l'attire un peu en avant.
Ma gorge dis tu ma mignonne, elle est âpre comme la terre en plein soleil du mois d'août, ma langue desséchée.
Mais tout celà n'est rien que soucis passager.
Dans son geste il l'a obligé à se pencher un peu, il jette un oeil sans vergogne et sans se dissimuler dans le décolleté de la femme.
Mais la route est bien longue et je n'ai pas connue d'agréable compagnie depuis un moment, assied toi quelques minutes, parle moi de cette ville, de ce que l'on peut y faire, comment y passer d'agréables moments.
Je t'offre un verre je ne peut pas faire moins.

Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres était en train de câliner ces deux enfants adorés. Victor avait rejoint la taverne lui aussi. Nanami et son petit Lucas était sûrement rentré à leur maison. Victor et Nanami étaient tout deux les capitaines de chef des ombres depuis bien des années maintenant, et aussi de très bon amis.
Shalimar était près du comptoir en ce moment et Aylay venait d’arriver, lui adressant un sourire la joie se lisait sur son visage. Puis tournant les yeux vers Diaphane et Shalimar, il remarqua le regard de Shalimar et lui sourit tendrement. Sa petite princesse lui parlait, et celui-ci souriant d’entendre enfin la voix de sa douce princesse.
Mais ce beau cadre joyeux fût brisé de façon très habituelle pour une taverne. Un homme, bien bâtis par le travail manuel était arrivé en sa demeure et auberge. Un sourire carnassier caressa habillement les lèvres de chef des ombres avant que quiconque ne le remarque.
L’homme s’adressa à lui, et dans un rictus d’amusement, il passa outre. L’observant, cet homme n’était pas le premier a ce comporter comme cela. Et chef des ombres aimait de tel homme. Pendant ces voyages, il les avait souvent vu saoul à courtiser femme d’une nuit.
Dépouillant la salle à vue d’œil, il ne vis pas de telle femme et sourit. L’ironie de ces voyages, c’est que ces hommes se vante de supporter l’alcool, mais se retrouve sous la couette le soir venu et cela dans un état d’impuissance. Un sourire ironique apparut quand il entendit l’homme de nouveaux ce plaindre de la lenteur de sa nation…
Aylay lui demandait des nouvelles de sa retraite, et avec une voix aimable il lui répondit que tout c’était bien passé mais qu’il était heureux d’être de nouveau ici et de l’y retrouvée aussi.
Quand Aylay arriva au comptoir, le regard du bougre était déjà en train de scruter les femmes de la taverne. Puis Shalimar vint vers lui et offrit un présent à sa princesse. Jowy réclamant de descendre, chef des ombres le laissa filer vers Victor pour tirer sur sa braie réclamant un câlin.
Mais le rustre recommença a se faire remarquer, et souriant à Shalimar, chef des ombres lui confia Jilia un instant. Lui demandant de veiller un instant sur sa princesse et disant à sa princesse :
« Jilia, ma belle princesse ! Reste avec la demoiselle et regarde ! Papa s’occuper de quelqu’un ! Après ce moment, tu me dira se que tu as retenu ! »
Puis se levant, il se dirigea vers la table du bougre ou Diaphane était en quelque sorte forcé de rester. Avec un sourire de panthèreux, il caressa le pommeau de sa garde et arriva à la table.
« Mal’jour étranger ! Que viens tu chercher en ces lieux qui sont miens ?!
Femme ? Boisson ? Bagarre ? Repos ? … Ou simplement la mort ?! »
Un sourire carnassier resta sur le coin de ses lèvres et il enchaîna.
« Ici il est de coutume que si le respect de l’autre n’est pas, le respect pour soi ne soit pas aussi ! Et venir ici troublé mon retour et opportune mes retrouvaille avec ma famille et mes amis n’est que très peu apprécier de moi !
Mais qu’en plus tu insultes ces dames du regard et que tu insultes ma nation et donc ma famille de lent ! »
Son poing se serra et se rouvrit
« Cela je ne peut l’admettre ! Alors tu as deux possibilités pour un chien de ton espèce !
Soit tu te fout à terre pour demander excuse a chacun ici et tu te calme !
Soit tu te tire de cette taverne la queue entre les jambe se qui est plus simple pour toi ! Vu qu’elle y reste toujours ! »
L’atmosphère était devenu tendu et beaucoup de panthèreux murmurer amusé. Victor lui garder Jowy près de lui avec un calme impassible. Tout en disant cela il pris le poigner de l’homme pour l’invité à lâcher Diaphane qui est elle-même une femme dangereuse due moins, de se qu’en sais chef des ombres !

**Shalimar** a écrit:: Shalimar fut surprise lorsque Chef des ombres lui tendit en toute confiance son enfant alors qu'il ne la connaissait que peu. Et ce sourire...
L'enfant dans ses bras lui souriait et jouait avec le pendentif. Elle ressentit alors un sentiment qu'elle n'avait jamais connu. L'amour. Cet enfant dans ses bras, le coeur si lourd et pourtant elle lui souriait.
Shalimar répondit presque machinalement à ce sourire. Elle caressa du revers de la main le visage rond du petit ange. Elle s'approcha alors de son oreille et lui murmura :

"Chaque fois que tu te sentiras seule, chaque fois que tu auras peur ou que tu seras triste, fait briller ton pendentif à la lueur de la lune ou du soleil et tu verras se refleter un petit arc-en-ciel. Il redonnera un peu de couleur à ton coeur. Et tu ne seras plus jamais seule, il ne fera plus jamais sombre et si tu veux qu'on devienne amies alors à chaque fois tu feras briller le pendentif, je viendrais..."

Elle baisa son front et lui sourit encore lorsque ce moment fut troublé par la grosse voix de CDO qui s'énervait quelque peu.Elle s'approcha de lui et s'interposa entre les deux hommes.Elle rendit Jilia à CDO et se tourna vers garett. Elle lui assaignit une giffle mémorable. La jeune femme d'apparence fragile était portant très forte.
Sachez que personne ne vous a forcé à entrer en cette taverne,ainsi si le service ne vous plait pas,vous savez où est la sortie.Personne ne vous retient.

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garett a écrit:: La mignonne n'avait pas encore répondu que déjà celui qu'il pensait devoir le servir , enfourchant son preux destrier venait a son secours.
Un sourire au lèvres Garett le laisse approcher, toujours laisser les fort en gueule prendre de l'assurance plus ils se sentent gonflés, plus ils deviennent imprudents.
Et celui là semble un beau coq qui se pavane devant sa basse cours, regardez comme je suis beau, comme je suis fort, comme je protège bien toutes mes poules.
Il aurait bien vu l'homme pousser un retentissant Cocorico.
Cette idée l'amusait fort.
Et bien mon gars c'est ainsi que l'on parle aux clients dans ton établissement?
La mort rien moins que celà, pour un regard sur la croupe d'une jolie pouliche.........comme tu y va.
Aurait tu passé une mauvaise soirée , serait tu en manque de cajoleries pour être à ce point vindicatif?
L'homme avait saisit son poignet de sa main droite, serrant pour lui faire lâcher celui de la ravissante serveuse, qui semblait avoir bien plus d'esprit et d'humour que son rustaud de patron.
Garett avais perdu le sourire, ses yeux avaient viré au gris acier, il aurait put a cet instant saisir la petite dague dans sa botte et la planter dans le ventre de cet ahuri qui se croyait intouchable, la lame était petite mais placé au bon endroit était à coup sur mortelle. Profiter ensuite de la confusion pour sauter à travers la fenêtre et disparaître laissant l'homme agonisant.
Mais non il avait envie de jouer aujourd'hui et le bonhomme tout bouffit d'orgueil promettait d'être un compagnon de jeu bien amusant.
Il se força donc a retrouver le sourire.
Excuse moi ma mignonne, mais nous reprendrons notre intéressante conversation , je crois que ton patron semble vouloir m'entretenir de choses urgentes.
Prenant un air gêné.
Pouahhhhhhh mon gars n'aurait tu pas croqué une gousse d'ail récemment, tu sent de la gueule c'est à vomir.
Le regard de l'homme vire à l'orage, quand il se retrouve un marmot sur les bras posé là par la jeune femme a qui il l'avait confiée.
Elle s'est interposé entre eux et le gifle a toute volée.
Le coup porte lui fendant légèrement la lèvre une goutte de sang apparaît. Sans se départir ,il passe sa langue sur sa lèvre pour en essuyer le sang. Regarde la femme d'un regard amusé.
Jolie droite ma toute belle, un peu molle quand même ,mais bon manque d'entraînement certainement. Pourquoi donc partirais je on commence tout juste à s'amuser. A oui une dernière chose va pour cette fois mais ne t'amuse pas trop à ce jeu là avec moi.

**Shalimar** a écrit:: Dans la tête de Shalimar se déroula le film de vie.La jeune fille n'avait que 17 ans et pourtant depuis l'âge de 6,les soldats prussiens l'avaient formé à l'esclavage,l'avaient torturés à maintes reprises ,certains s'amusaient à lui enseigner leur savoir militaire.Un peu molle. Elle eut un sourire narquois. Elle se rappella sa grossesse...

Ecoutez...vous êtes servi,la charmante dame que voilà doit reprendre son service. Oubliez donc cette rencoeur. La giffle vous la méritiez, vos menaces ne me font pas peur, on m'a déjà fait subir bien plus que vous ne pourrez jamais imaginer. J'ai vécu la peur il y a bien longtemps, c'est bien fini.
Elle soutint un instant le regard puis se tourna vers CDO et lui murmura afin que lui seul puisse entendre.
" Seriez vous capable de vous battre avec ce brigand,voire pire devant vos enfants ? Allons bon, je ne sais ce que votre vie a été mais je sais lire la peine dans les yeux de votre fille, voulez vous lui infliger un pareil spectacle?"

garett a écrit:: Croit tu vraiment avoir touché le fond? Je peut t'assurer que non ma jolie. Si tu veut voir ce que dont sont capable les pires des hommes, vient je t'emmène là ou tu regrettera d'avoir mis les pieds. Là ou tu suplliera pour que l'on te tue.
Il parait que certains In Tenebris se repaissent des entrailles des femmes qu'ils viennent de forcer.Mais après seulement leur avoir infliger les pires souffrances imaginables. Je soupçonne certains de le faire la femme encore vivante. Aimerais tu connaître un tel sort?
Pourquoi lui racontait il celà d'abord? Qu'avait il donc à faire de sa prétention. Que croyait donc cette donzelle, qu'elle avait à faire à un paysan mal dégrossi en recherche de plaisirs facile. Après tout qu'ils le croient, celà arrangeait ses affaires, s'arranger pour être sous estimé, mais jamais ne sous estimer sois même ,c'est ainsi que l'on dure d'où il venait.
Mais pour ma part je n'ai nulle intention de vous faire du mal bien au contraire ma mignonne.
Il éclate d'un rire sonore.
Tu semble avoir les faveurs du patron, alors dis lui donc de se calmer, je n'ai pas fait grand chose de grave , reluquer les fesses d'une jolie pouliche, n'est pas encore un crime punit de mort à ce que je sache.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar se tourna vers Garett.L'homme était aussi odieux que celui qui face à elle avait éventré une femme enceinte,celui là même qui avait coupé les doigts de celles qui ne voulait pas l'accompagner dans sa couche,celui-là même qui avait castré un de ses hommes pour avoir touché à une de ses putains.Elle avait dormi dans l'humidité et le noir total d'une cave,sur les corps de ses amies assassinées. On l'avait marqué au fer rouge. Elle avait dormi dans le sang et la crasse mais après tout,comment pouvait-il le savoir? Comment les gens pouvaient seulement imaginer pareille horreur?
Elle sourit,un sourire trop amer peut-être puis lasse de cette discussion elle passa près de la tavernière,la remerciant cordialement pour le repas et retourna à sa place.

aylay a écrit:: aylay appuyée au comptoir avait assisté a toute la scéne sans rien dire.
quand cdo s'avanca ,,elle crut que la bagarre allait éclater,mais la cliente brune ne lui laissa que peu de temps pour agir , elle vola litteralement et asséna une gifle à l'etranger..
elle ne put s'empêcher de sourire .. la tavernière semblait bien se defendre, et ne comprenait pas pourquoi tout le monde s'en mélait.
cet étranger était certe grossier et cherchait un peu la provocation, mais il n'avait fait de mal à personne...
bien d'autres hommes étaient pires que lui surement dans leur comportement cdo lui meme et ses hommes n'etaient pas des saints .
alors que la brune reprenait sa place au comptoir ,
aylay se leva à son tour ,prenant sa chope de bière, elle s'avança vers l'étranger et lui faisant passer la chope devant le nez...
je crois que vous vous y êtes mal pris messire.
trinquons voulez vous et bienvenue
aylay levait sa chope attendant la réaction du nouveau
la taverniere ne disait rien , sa main toujours prise en étau dans la main de l'etranger
quand à cdo ,il n'avait pas réagit encore.

Démon des ombres a écrit:: Démon qui enfin avait fini, tout le travail que Cell n'avait pas fait et que en tant que nouveau Procureur il se devait de faire, décida de prendre un peu de bon temps et se rendit à la taverne de son ami Chef.des.ombres, il entra et salua tout le monde.
"Bonjour tout le monde!"
Il observa les personnes présente, et appercu deux personnes qu'ils ne connaissait pas, une femme prêt du comptoir, et un homme qui semblait prêt à se battre avec CDO.
"Euh... Que se passe t-il?
Pourquoi l'ambiance est si tendue?"

Diaphane. a écrit:: Ayant servit une bière a l’inconnu, Diaphane détourna les yeux et s’apprêtait a partir lorsqu’elle sentit des doigts s’enrouler autour de son poignet, malgré l’emprisonnement de son bras qui lui évitait toute fuite l’étreinte était douce, presque comme une caresse sur sa peau satinée. Soudain l’homme devant elle fléchit son coude et pousse son bras vers l’arrière l’obligeant a se pencher vers lui. Nullement farouche elle suivit le mouvement offrant alors les délicates rondeurs emprisonnées sous son corsage à son regard.
Avant même de pouvoir réagir la jeune femme vit une deuxième main se superposer sur son poignet, levant les yeux elle vit le sourire cruel de son parrain. Puis ce fut le choc, il se portait à sa défense ou bien ne ce portait il pas plutôt au secours du rustre personnage qui l’invitait a prendre un verre. Suivit l’intervention de Chef des ombres celle de la jeune femme à qui elle avait offert un repas et qui l’avait dédaigné. Tenant dans ses bras la petite fille qu’elle avait apprit à aimer au fil des mois. Jilia fut rendue à son père tel un bouclier, puis une gifle mordit la joue du voyageur qui tenait toujours son poignet.
Ayant bouger légèrement Diaphane avait évité le coup. Mais ce geste, ces paroles prononcées de part et autre tout cela, fit monter en elle une vague de colère, qui se révéla au fond de ses prunelles grises les teintant imperceptiblement de bleu. Cette nuance dans son regard n’augurait jamais rien de bon. Elle était là immobile observant et écoutant les paroles haineuses de la visiteuse et les réponses sarcastiques de son vis-à-vis, alors que tout son être commençait à trembler d’une rage sourde.
La joute verbale s’essouffla finalement et la jeune protagoniste passa près d’elle, mais Diaphane ne réagit point à ses remerciements seul son regard se durcit. L’atmosphère qui régnait dans la taverne était devenue lourde et étouffante. Sortant une dague de sa manche Diaphane la planta brusquement au milieu de la table…
«CELA SUFFIT!!!»
Ayant saisie l’assemblée la jeune femme libéra son poignet et dans un mouvement souple se retrouva sur les genoux du beau parleur.
«Vous parler de Lausanne, mais que vous dire…On ne parle pas de Lausanne on la vie et on la visite. Passer d’agréable moment…humm ne trouvez vous pas que ce lieux est d’une…»

**Shalimar** a écrit:: Shalimar tournait le dos à l'assemblée.Elle ne fut pas surprise par la colère de la jeune tavernière,mais fut plus surprise par l'attitude qu'elle adopta ensuite après tout...
Pourquoi l'avait-elle gifflé? Quite à s'attirer les foudres de toute la compagnie présente en taverne,Shalimar avait au moins reporter l'attention de cet homme belliqueux sur elle. Elle ne voulait pas de bagarre,encore moins devant des enfants. Qu'on ne l'apprécie pas,elle en avait l'habitude. La seule personne qui avait jamais osé l'aimer était son père adoptif dont elle n'avait plus aucun nouvelle. Peut-être était-il mort? Elle regarda le repas qui lui faisait face et hésita longtemps avant de porter une bouchée à sa bouche.
La tavernière était trop bonne de lui offrir l'hospitalité,ce repas avait le gout amer de la pitié.

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garett a écrit:: Le jeune coq avec son lardon sur les bras se retrouvait embarrassé comme une poule qui aurait découvert des bésicles. L'oeil toujours belliqueux, ce que lui avait murmuré la jeune femme semblait avoir toutefois légèrement calmé son envie d'en découdre.
Il voyageait depuis un long moment et l'idée d'un combat n'était pas la première qui lui venait à l'idée. On se retrouvera mon gars j'en suis sur se dit il ,un sourire mauvais aux lèvres.
La jeune femme qui l'avait giflé s'en était retourné a sa place. Qu'avais t'il a foutre de son passé et de ses états d'âme, le prenait elle pour un de ces godelureaux qui se pâme à l'évocation des malheurs des jeunes filles en fleurs? Qu'elle aille au diable ,il n'était pas homme à s'apitoyer sur ce genre de situation ,chacun son destin.
Il regardait s'approcher une autre femme qui visiblement une bière à la main n'avait pas d'autres intentions que de discuter, quand la jolie pouliche qu'il tenait toujours par le poignet ,les yeux furieux réagis violemment. Il s'attend à une nouvelle gifle, mais non changeant de registre la donzelle vient s'installer sans plus de manière sur ses genoux.
Les choses prenaient donc une tournure nouvelle, mais oh combien agréable. Comme quoi la vie n'était pas si mauvaise fille qu'on voulait bien le dire.
Garce à certains moments mais aussi fabuleuse maîtresse à d'autres.
Sans plus de manière il passe son bras autour de la taille de la pulpeuse créature installée sur ses genoux.
Invite dans un geste l'autre femme à s'asseoir.
Mesdames c'est ma tournée. s'exclame t'il avec une emphase exagérée.
Visiter Lausanne mouais pourquoi pas, la vivre tout dépend de ce qu'elle peut offrir à quelqu'un qui a fait une bien longue route.
Quand à passer d'agréable moment pour celà je suis toujours prêt à me donner de la peine soit en sure ma jolie.
L'atmosphère semble se détendre quelque peu ,mais quelques regards torves continuent à le scruter. Contrarier la bonne populace est une habitude chez lui, une seconde nature en quelque sorte, bousculer les esprits bien pensant un credo qu'il exploite avec délice.
Ce lieu ma toute belle disait tu ?

Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres était près a en découdre. Il en avait même très envie. Ces dernier mois d’entraînement sans réel combat l’avait fais envier l’attaque de quelques brigand maladroit.
Mais alors que l’atmosphère était en zone critique, tout se déroula vite et les femmes de la taverne bougèrent toutes vers ici.
D’un coup avec sa fille dans ces bras et des murmures à l’oreille, il sourit. Jilia avait déjà vu son père se battre plus d’un fois et elle était même prédestinée a devenir elle-même une panthèreuse et même la chef des panthères avec son petit frère …
Enfin bref, le temps de ces réflexion, beaucoup de chose avait changé. Et la voix de son bon général et ami démon des ombres le fit sourire. Se retournant vers lui, il alla l’accueillir. Il aurait son combat avec cet idiot tôt ou tard.
« Démon, comment vas-tu vieille fripouille ! Cela faisait bien longtemps que l’on ne s’était pas vu ! »
Retrouvant visage souriant et visage aimable avec un grand sourire il entraîna son ami avec lui vers le comptoir.
« Tu boira bien un coup avec moi, non ? »
Ricana, il servit deux bonne pinte de bière en passant de l’autre coté du comptoir, laissant Jilia aller voir Victor qui s’était assis à une table avec d’autre hommes de la panthère. Gardant un œil si le nouveau, il se dit qu’il avait peut-être était rude.
Après tout, Diaphane décider elle-même du respect qui lui était due et il n’était en rien a vouloir faire autrement. Même si il l’aurait cru plus farouche.
« C’est ma tournée ! A tous et toutes les buveurs et buveuses et autre assoiffés de cette taverne ! Pour le désagrément de mon retour hahaha ! »
Puis faisant distribuer les pintes a toutes allure, il commença a regarde Démon.
« Tu as bien changer mon brave démon ! »

Démon des ombres a écrit:: "Chef, je t'ai déjà que pour toi et seulement pour toi maintenant sa sera Procureur Scipio!"
Il eut un sourire moqueur envers son ami.
"Sinon oui je boirais bien un verre. Et oui j'ai changer ! Ca pose un problème peut être?"
Il eut toujours ce sourire moqueur, puis il commenca a boire le verre que CDO venait de lui servir.
"Dit t'aurais pas un peu grossis toi?
Faut que tu te remettes à bouger!"
Ce n'était même plus un sourire moqueur qu'il avait c'était un petit rire moqueur.

Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres eu à son tour un surire moqueur.
" Moi, prendre du poids ?!
tu rigole, je sors d'une longue periode de retraite et d'entrainement !
Moi je m'entraine pas à jouer au chef et a lever une plume !"

il avait dit cela sur un ton humouristique puis rajouta.
"Monsieur Scipion !"
il afficha un large sourire avant de boire un peut du contenue de sa pinte.

garett a écrit:: Démon des ombres, chef des ombres on se serait crut à la cour des miracles, mais la-bas ses noms avaient une valeur, ici certainement pure fanfaronnade.
Le dernier chef des ombres dont il avait entendu parler, était une légende dont personne n'avait jamais vu le visage, rien à voir avec celui ci, bien trop prompt à prendre la mouche pour diriger une quelconque organisation mafieuse.
Bon d'accord la dernière fois aussi il avait fallut qu'il l'ouvre,ne devant son salut qu'à la fuite, en laissant derrière lui la gorge tranchée le spadassin qu'on lui avait envoyé pour le punir de sa bravache.
Peut être quand même qu'après tout ce bredin pouvait lui procurer un quelconque emploi, rançonner un riche marchand, enlever une jeune pucelle pour obtenir rançon...
La charmante donzelle sur ses genoux devait certainement en savoir un peu plus.
Glissant sa bouche dans son cou pour y prendre un baiser il lui murmure à l'oreille.
Avant de passer aux choses sérieuses ma mignonne, dis moi peut être que ton patron aurait quelques taches peu recommandables à me confier, mon escarcelle est un peu vide quelques écus ne seraient pas de refus.

Diaphane. a écrit:: Diaphane le dos droit était assise sur les genoux de l’inconnu le regard brillant tjrs de colère. Mais pour qui la prenait il tous? Perdue dans ses pensées elle se dit que finalement les gens ne percevait d’elle que ce qu’elle voulais bien leur montrer mais que certaines personnes voulaient bien voir d’elle ce qu’ils désiraient. Une seule personne savait réellement qui elle était mais nul ne pouvait savoir qui la connaissait sous son vrai jour. Saisissant la chope qu’elle avait apportée un instant plus tôt elle en but le contenu lentement, les yeux rivés à ceux de son fauteuil.
«Ce lieu dise-je est d’une beauté et d’un divertissement sans égal ne trouvez vous pas?»
Chef des ombres bougea subtilement se dirigeant vers son vieil ami Démon des ombres. Le calme avait reprit sa place au sein de la taverne donnant un répit aux esprits échauffés par les récentes discutions. Déposant la chope qu’elle avait vidée, elle observa les gens autour d’elle. Soudain des lèvres se posèrent sur son cou, outré par ce geste Diaphane d’un geste rapide arracha la dague sur la table, puis dans un mouvement félin sauta des genoux de l’étranger qui se retrouva avec une lame affûtée au niveau de la jugulaire. Alors que deux prunelles d’acier cerclées du bleu de la colère si caractéristique de la jeune femme. Le bravait effrontément.
«Sachez mon cher que nul ne pose mains ou lèvres sur ma personne sans mon consentement. Ensuite si vous manquez tant d’écus que cela cessez de le gaspiller pour de vulgaires besoins primitifs masculins et si cela ne suffit pas, allez donc voir celui que vous nommez mon patron »

garett a écrit:: Le geste avait souple et rapide . Bon sang de bois ne jamais baisser ta garde tu devrais le savoir se reprocha t'il intérieurement.
Il se retrouvait désormais avec une dague sur la gorge et une donzelle furibonde qui le menaçait.
Malgré le danger il ne put s'empêcher d'éclater de rire.
Tout doux ma jolie , vous avez une fâcheuse tendance a vouloir trudicer les clients ici. Tout d'abord sache que cela n'est pas dans mes habitudes de payer pour ce que tu appelle mes besoins primitifs. Si mon escarcelle est vide c'est que la route fut longue tout simplement.
Ses yeux lançaient des éclairs, ce qui rajoutait du charme à la bougresse. Au moins ce n'était pas une de ses paysannes fadasse qui se laissait culbuter facilement des qu'on leur faisait un beau sourire et que l'on leur susurrait quelques mots tendres à l'oreille.
Il évaluait froidement ses chances de saisir l'arme ou le poignet sans se faire égorger. Une sur deux se dit il, cela se tente; il avait toujours aimer jouer.
De plus tuer un homme en combat et l'égorger de sang froid sont deux choses différentes, même si la jeune femme semblait ne pas avoir froid aux yeux rien ne prouvait qu'elle aurait suffisamment de détachement vis à vis de la mort pour le faire.
Mais d'abord la calmer , gagner du temps désamorcer la crise en attendant de récupérer la main.
Accepte mes excuses ma toute belle, j'ai cru que je pouvais je me suis trompé cela arrive à tout le monde , on ne tue pas un homme pour un baiser dans le cou.

Diaphane. a écrit:: Diaphane sourit méchamment aux paroles de l’homme qu’elle menaçait, son audace était donc rivale de la sienne. Tous deux était là mesurant le cran de l’autre attendant impatiemment qui oserait bouger le premier. La jeune femme sentait un léger fourmillement au bout de ces doigts, les battements de son cœur s’accélérer, signes de son envie de voir le sang couler. Cette source de vie qu’elle avait mainte fois vue jaillir. Appuyant un peu plus fermement sa lame sur la gorge, elle répondit :
« Quelle que soit la raison de tuer un homme, toute raison est bonne pour qui pose le geste. Soit j’accepte tes excuses, mais sache que le respect d’autrui n’est pas un luxe que l’on réserve aux gens bien nés exclusivement. Un écart à mon endroit et tu devras payer de ton sang.»
Sur ce Diaphane retira sa lame de la gorge de l’homme. Puis fit un pas de côté et s’en alla vers le fauteuil près de la cheminée. Elle s’y installa confortablement, la dague toujours à la main. Elle était là admirant le miroitement des faibles flammes sur la lame.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar avait terminé un bon repas et la faim qui la torturait avait disparu,elle s'empara de sa lyre et ses doigts s'aventurèrent avec dextérité sur l'instrument.Les premières notes donnait le ton celtique de la douce mélopée qui baignait la taverne.
Elle fut surprise par une nouvelle altercation provoquée encore une fois,par le voyageur.Elle vit cette femme qui premièrement facile,cette fois repoussait plus qu'il ne l'aurait fallu les avances de ce dernier. Elle n'en eut cure.Eh quoi!Ils pouvaient bien s'entretuer si ça leur chantaient. Elle ne voulait plus être la médiatrice.Puis les esprits échauffés trouvèrent la paix et la querelle en resta là.
Sa voix claire alors s'échappa de sa gorge pâle et résonna dans l'antre de la panthère.Elle chantait pour son bébé et pour la petit Jilia à qui elle souriait.
"La maison est derrière
Le monde est devant
Et il y a de nombreux chemins à emprunter
A travers l'ombre
Jusqu'à l'orée de la nuit
Jusqu'à ce que les étoiles soient toutes allumées
Brume et ombre
Nuage et ombre
Tout va s'affaiblir
Tout va s'affaiblir..."

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garett a écrit:: La lame avait quitté sa gorge, toujours ça de gagné se dit il, aucune femme ne valait de se faire égorger pour elle.
Bon et bien il semblait avoir choisit le mauvais endroit , vindicatif dans le coin, entre le jeune coq paradant devant sa basse cour, la jeune donzelle enceinte jusqu'aux yeux mais à la main leste et maintenant une moitié folle qui l'allumait pour ensuite le menacer de lui trancher la gorge ,le tableau était complet.
On ne peut pas gagner à tous les coups ,il y a des jours avec et d'autre sans. A défaut de mieux pour l'instant il se contenterait d'une bière. Il aurait bien aimer se faire quelques écus malhonnetement acquis bien sur, mais à priori ce n'était pas dans ce lieu qu'il trouverait un emploi à la hauteur de son talent.
Contre mauvaise fortune bon coeur se dit il en souriant.
Bon à défaut de mieux je pourrais avoir une autre bière au moins.

Chef.des.ombres a écrit:: Chef des ombres dégustait sa bière tranquillement. Regardant le peuple de sa taverne. Le calme était revenu et c'était tant mieux. Dans le bruit des discution, un calme rapide vint au première note d'une mélodie.
Cherchant du regard d'où elle venait, il remarqua Shalimar, elle jouait une douce mélodie très agréable. Sirotant sa bière calmemant, il chercha Aylay du regard, il lui avait semblait la voir mais où était elle maintenant.
Discutant tout de même avec les invité, une oreille sur la conversation, et l'autre sur la mélodie. Tout en cherchant du regard la jeune femme.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar cessa de jouer.Il était temps.Il fallait partir,elle l'avait senti,elle l'avait su,cette ville ne serait pas son asile.Il lui fallait reprendre son chemin.Elle accoucherait sûrement au bord de la route dans la châleur,la sueur et la poussière des calèches indifférentes.Il lui faudrait trouver de l'alcool pour désinfecter la plaie.Elle se servirait du poignard qu'elle porte à sa cuisse pour couper le cordon..Et après...pas le temps pour la faiblesse pour une femme seule.Après,laver le nourrisson,reprendre la route,faible.Et ne s'arrêter qu'en terre d'acceuil où enfin elle oublierait le passé et pourrait offrir un meilleur avenir à son enfant s'il survivait au voyage et peut-être un père aimant...
Mais pour l'heure,encore un peu de musique,encore quelques heures de repos,elle partirait la nuit,le temps serait moins lourd.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar voulu se lever mais une violente douleur la poignarda au ventre.Elle laissa échapper un cri étouffé entre ses dents serrées.
GNNnnnnn!!!!!!

Elle s'effondra à terre et serrait son ventre qui la faisait tant souffrir,elle leva la tête pour chercher de l'aide,voyant que personne ne prêtait attention elle cria.
JE VAIS ACCOUCHER!!!AAAAaaah....

garett a écrit:: A priori pas grand chose a tirer de cet endroit sauf quelques ennuis, quand ils ne les cherchaient pas il ne les fuyaient pas, mais là les fonds étaient sérieusement en baisse ,il allait falloir trouver une solution rapidement.
Il n'était heureusement pas sans ressources , il suffisait d'attendre la nuit ,un coin de ruelle un peu sombre et un pigeon........
Il allait sortir pour reconnaître un peu les endroits les plus propices à ce qu'il avait en tête quand la jeune femme enceinte se met à hurler
JE VAIS ACCOUCHER!!!AAAAaaah....
La taverne s'était vidée de la plupart de ses occupants, et le patron avait disparut en cuisine .
En fait il était quasiment seul avec elle, mis a part un homme passablement éméché qui la regardait hurler l'air bovin.
Bordel de merdeeee ,c'est à moi que ce genre de connerie arrive, jura t'il entre ses dents.
Elle ne va quand même pas accouché ici la drôlesse...
Et puis chacun sa mouise après tout.
Il se lève pour sortir, se disant que le jeune coq va sans doute surgir de sa cuisine, ravi de jouer les sauveurs. Se dirige vers la porte ,mais personne ne vient.....
La main sur la poignée il stoppe son geste, des images du passé reviennent en force, celle qu'il voudrait à toutes fins oublier, mais qui reviennent sans cesse........
Poussé par une force qu'il ne contrôle pas, il fait demi tour, file à la cuisine chercher quelqu'un mais n'y trouve personne.
Jurant comme un charretier il revient rapidement dans la salle, ou la jeune femme roulée en boule semble souffrir.
Tu ne va pas accoucher là quand même?
Sa question est idiote il le sait, elle l'a hurler tout à l'heure. Il s'approche d'elle, s'agenouille à ses cotés. Et soupirant à fendre l'âme il lui éponge le visage inondé de sueur.
Qu'est ce que je dois faire?

**Shalimar** a écrit:: Shalimar perdait les eaux.Les contractions étaient attrocement fortes.Elle entendit la voix du rustaud et pria pour qu'elle ait mal entendu.
Oh..bon sang!Mais pourquoi vous?Pourquoi toujours vous...AAAAaaaah...Vous ne savez même pas accoucher...Allez vous en pendant qu'il en est encore temps...

Son visage avait rougit,la sueur perlait à son front.Son front était brulant de la fièvre provoquée par la douleur.Elle rampa vers le comptoir sur lequel elle s'adossa et écarta les jambes en tenant ses maisn crispées sur le ventre.Les dents serrées et une grimace de douleur.

garett a écrit:: Une furieuse envie de la gifler lui vint, elle commençait à lui courir celle ci .
Tu voit une légion de personnes prête à t'aider peut être? Alors faudra te contenter de ma personne ou te débrouiller toute seule.
Vu l'état dans lequel tu te trouve il vaut mieux quelqu'un qui n'a jamais accouché que personne.
Mais si tu insiste à vouloir mettre ta fierté au dessus de ta sécurité et de celle de ton enfançon, libre à toi.
Après tout c'est ta peau à toi de voir.
Tout en parlant il avait mis de l'eau à chauffer dans la cheminée et cherchait du regard quelques linges à utiliser.

Volkhva a écrit:: Volkhva arrivait de Fribourg, suivant de loin la chasse qui avait mené à Lausanne. Epuisée, sale, elle avait besoin d'une auberge. Bière, viande, bain, cela devenait urgent! de plus, elle sentait par la présence du grand lac que le Vodyanoï était là, et s'il était là, c'est qu'un enfant serait élu pour faire l'échange.
Antre de la panthère. Panthère... un animal , un prédateur..elle ne connaissait que les loups et les ours, mais allez.. ce jour, ce serait une panthère.
Elle entra dans l'auberge, apprécia qu'elle soit presque vide, silencieuse. Elle sursauta au cri d'agonie qu'elle entendit, son coeur s'emballa. Elle s'approcha précautionneusement.. faillit rire! Une femme accouchait. Elle villipendait un homme a l'air efficace mais perdu.
Un espoir fou naquit en elle! Comment ne pas voir un signe divin, l'annonce par Sretcha à Volkhva que ce bébé dont elle allait assister à la naissance était le bon?
Elle devait intervenir, chasser l'homme qui n'y connaissait rien, s'assurer que le bébé naitrait dans les meilleures conditions! De sa voix rocailleuse, à l'accent ses steppes, elle annonça en s'avançant dans la pièce, posant ses sacoches et sa besace, fouillant déjà dedans pour en sortir un couteau, pour couper le cordon, et son kindjal, au cas où un problème surgirait:
Je faire naitre bébé. Je savoir faire ça. Toi, homme, aller chambre trouver sur lit grand tissu blanc. Couper plein petits . Amener aussi eau froide et eau chaude. Beaucoup. Je Volkhva. Je savoir faire naitre bébé. Je déjà avoir bébé.
Elle arracha une tentutre du mur, l'étala sur une banquette. Pas question de faire monter la femme à l'étage, elle semblait déjà ne plus pouvoir bouger. Elle alla vers la femme, l'enlaça de toutes ses forces... Toi venir sur tapis... Et l'aida à s'allonger. Un coussin sous la tête, un torchon pour éponger encore son front plissé sous la douleur.
Volkhva se sentait venir une infinie sollicitude pour cette femme qui allait peut être donner vie au bébé le plus important du monde de Volkhva.. après Lubka!

**Shalimar** a écrit:: Shalimar qui hrulait de douleur saisit le poignard attaché à sa cuisse et le pointa en direction de la nouvelle arrivante et lui parla les dents serrées.
Hey...gardez vos distances....Si vous touchez à mon enfant je vous tue!Qui êtes vous et qu'est-ce que vous faites là?Je trouve la coincidence un peu troublante...
Shalimar soufflait par moment pour expier toute la douleur qui l'empêchait de respirer et poussa un nouveau cri.

GNNNnnnn..AAAAAAAAaaaah!!!

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garett a écrit:: La réponse à son interrogation ne vint pas, une femme à l'allure étrange venait d'entrer dans la taverne un sac sur l'épaule.
A son parlé il comprit rapidement qu'elle n'était pas d'ici .
Elle sortit une arme, mais la posa immédiatement , stoppant ainsi son geste qui instinctivement lui avait fait saisir un petit couteau de lancé.
Énergique elle semblait vouloir prendre les choses en main, mais voilà qu'elle lui donnait des ordres, son empressement ne semblait d'ailleurs pas convenir à la donzelle sur le point d'accoucher
S'interposant entre les deux femmes, exaspéré, sa voix se fit dure presque brutale.
D'une main il saisit le poignet de la jeune femme le tordant pour lui faire lâcher son couteau, son bras sur la poitrine de l'autre femme pour lui intimer l'arrêt.
Ca suffit vous me rangez vos armes toutes les deux, je ne crois pas qu'il y en est besoin ici.
Si vraiment tu sais accoucher ton aide n'est pas a repousser, mais au moins demande avant de faire.
Quand à toi il faudrait peut être que tu arrête d'en vouloir à la terre entière, à priori nous voulons juste t'aider.

Volkhva a écrit:: Volkhva avait reculé devant la menace de l'arme. La louve s'enrageait..
L'homme s'était aussitôt interposé. Soit. Elle les regarda avec mépris tous les deux. Elle savait mettre les enfants au monde. Mais on ne voulait pas de son talent. Soit. La femme préférait laisser le soudard tripoter son entrejambe sans savoir? Soit.
Volkhva ne comprit pas un traître mot de ce que dit l'homme. Débit trop rapide, voix hachée. Mais il voulait apaiser la femme. Idée grotesque, si elle ne voulait pas d'aide, surtout ne pas lui en imposer. Qu'elle se débrouille.
Volkhva leva les mains, ouvertes, pour montrer qu'elle capitulait. Pour l'instant. Elle rangea dans son sac son nécessaire qu'elle avait déballé. Puis elle se dirigea vers une table, lançant à l'homme:
Je pas aider. Elle vouloir pas je. Elle vouloir pas tu , pareil! Tu boires alcool avec je? Tu être travail ici? Tu patron? Tu boire verre avec je? Elle faire bébé seule, mais nous pas rester sans rien faire. Nous boire?
Elle alla avec son barda à une table plus loin, s'installa en regardant autour d'elle la configuration des lieux. Une cruche de vin était abandonnée sur une table. Elle se releva pour s'en saisir. Un gobelet d'étain sur le comptoir attendait qu'elle le saisisse. Elle le saisit. Elle se pencha par dessus le comptoir pour en attraper un autre, pour l'homme. Se servit. Le servit. But.

garett a écrit:: L'étrangère semblait ne plus vouloir s'en mêler, mais la donzelle ne baissait pas sa dague pour autant.
En forçant sur le poignet il aurait put lui faire lâcher prise, mais dans quel but? Il n'allait pas l'accoucher de force non plus.
Si elle refusait toute aide, il n'allait pas risquer un coup de poignard pour celà.
Malgré son langage haché ,il comprenait que la femme voulait lui offrir à boire. D'ailleurs elle venait déjà d'aller se servir.
Et puis merdeuu après tout ,puisque tu refuse notre aide, débrouille toi seule.
Peut être qu'en la laissant mijoter un peu elle deviendrait plus raisonnable se dit il.
Se dirigeant vers la table ou la femme s'était attablée, il s'assit , pris le verre qu'il pensait lui être destiné et se servit à son tour.
A la tienne , comment t'appelle tu?
A son visage interrogatif il compris qu'elle avait du mal à saisir ses mots. Pas facile pour communiquer mais bon ...
Posant son doigt sur sa poitrine il reprit.
Moi Garett.
Pointant ensuite le doigt vers elle.
Toi?

**Shalimar** a écrit:: Shalimar lacha son poignard torturée par la douleur lancinante. Elle mordit un bout de baton pour s'empêcher de crier.La fièvre l'envahissait à une vitesse fulgurante. Elle ne voulait pas attirer la pitié alors elle rampa derrière le comptoir pour se cacher des autres. Ses dents s'enfoncèrent dans le petits morceau de bois. Les larmes coulaient sur sa joue.La sueur perlait à son front et ...du sang coula de son entre-jambe.La douleur était trop intense et elle était trop jeune .Rapidement,elle manqua d'air et perdit connaissance.

Les voix semblaient désormais lointaines.Tout était noir.Puis..le silence...la paix,enfin la paix attendu...Dix sept ans de vie,c'était déjà beaucoup trop...beaucoup de souffrance amassées,trop de violence,trop de solitude...Elle avait prié pour la paix...elle l'avait enfin trouvé...

Volkhva a écrit:: Tu Garett? Je Volkhva, Volkva!!
Elle répéta son nom pour qu'il comprenne bien. Garett. Elle leva son verre et trinqua, sirotant le breuvage avec plaisir. Depuis Fribourg, elle n'avait bu que de l'eau.. L'eau, l'élément de l'esprit qui lui avait ravi sa fille.
Elle jeta un oeil à la femme, qui rampait comme un ver pour se cacher derrière le comptoir. Femme bête! Volkhva l'eut aidée, eut soulagé ses douleurs. Elle n'avait pas de compassion pour ceux qui aimaient souffrir pour rien. Femme bête.
Regardant le vin tournoyer au fond de son verre, elle se demandait quoi faire.. la conversation? Elle l'étrangère, qui savait si peu parler cette langue barbare.. Elle tourna la tête vers la fenêtre, trouva son sujet de conversation, oiseux en apparence, primordial pour elle.
Lac grand!
Elle se leva, alla vers le comptoir où la femme s'était dissimulée, pour se saisir d'un peu de nourriture.. Toujours personne pour faire le service.. La femme ne criait plus, ne gémissait plus, et ses vêtements avaient cet aspect poisseux... Volkhva posa brusquement le jambon qu'elle avait saisi, s'agenouilla auprès de la femme, en retroussant ses manches. Un examen rapide, puis un peu plus poussé confirma le pire. Ventre mort.. Elle soupira, larmes aux yeux.
Nesretcha avait coupé le fil... Le bébé ne serait pas celui de l'échange. La déception lui fit comme un coup de poignard, elle vomit une malédiction.
Un court instant plus tard, elle se releva, annonça par dessus le comptoir à l'homme Garett :
Femme morte. Bébé pareil.
Puis elle passa en arrière cuisine, cherchant de l'eau où laver ses avants bras, sanguinolents jusqu'au coude. La bassine qu'elle trouva pleine d'eau à peine sale lui convint, et elle s'y rinça. Puis elle resta abattue, regardant son reflet dans l'eau rougie.. l'eau, toujours l'eau.. Elle ne supporta plus de voir cette eau, et de rage, se saisit d'une nappe froissée dans un coin, l'immergea dans la bassine, ou l'eau s'infiltra dans les fibres du tissu, perdant sa nature liquide. Quand l'étoffe fut imbibée de toute l'eau, et eut prit une teinte rosâtre, Volkhva fut satisfaite, revint dans la salle, attrapa le jambon, et retourna s'asseoir.

garett a écrit:: L'échange n'est guère facile, le peu de mot qu'elle semble maîtriser ne laissant pas beaucoup de possibilité à la discussion.
Elle s'appelle Volkhva, il n'a jamais entendu de nom similaire, d'où peut elle bien venir?
Lac grand!
Elle semble faire au moins des efforts pour communiquer avec lui, puis soudain elle se lève , s'approche du comptoir pour s'emparer de nourriture .A l'intonation il reconnait un juron dans son langage , elle passe derrière le comptoir en lui disant.
Femme morte. Bébé pareil.
Etrangement la mort de la jeune femme et par la même de l'enfant qu'elle porte semble contrarier la femme. Pourtant quelques instants plutôt elle semblait ne plus s'intéresser le moins du monde à elle.
Quelques secondes de surprises ,il la rejoint, la tés jeune femme baigne effectivement dans son sang, mais on ne meure pas aussi rapidement se dit il, c'est impossible.
Pendant que Volkhva part vers la cuisine les mains pleines de sang, il se penche sur le corps inanimé, elle semble effectivement morte, il pose le doigt sur la carotide, ne sent rien, mais au moment de le retirer une pulsation, elle n'est pas morte, mais n'en est guère loin.
Il crie à destination de l'étrangère.
Vient elle n'est pas morte vite nous pouvons la sauver.
Sans attendre la réponse, il allonge la jeune femme ,faisant fi de sa pudeur, il retrousse la jupe , arrêter l'écoulement du peu de sang qu'il lui reste, la sortir de sa perte de connaissance aussi, il a vu cela déjà, ne pas laisser le blessé partir.
Il la secoue .
Réveille toi, reste avec nous, si tu veut vivre , bat toi ,pour toi et ton enfant.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar vit un couloir...sa vie qui se déroulait devant ses yeux...la haine,les massacres,les tortures...toute cette haine...pas la paix qu'elle avait espéré...serait-elle condamnée à revivre son lourd passé?
Une issue...s'arracher à l'enfer...
Une voix...celle qu'elle n'aurait jamais cru entendre en cet instant...celle du rustre de la taverne.Il lui demandait de revenir ...son enfant..Et son corps ,son corps lutta contre elle,contre sa propre volonté.
Un souffle.Une contraction improbable...L'enfant voulait vivre...un enfant miraculé qui luttait contre sa mère pour survivre...Elle fut ramené à la vie par son enfant.Elle ouvrit lentement les yeux...et vit...ce Garett...Elle serra fort sa main lorsqu'une autre contraction la foudroya.Elle serra plus fort son emprise et son visage se crispa....

AAAAaaaaaahhhhh....

garett a écrit:: Elle reprend soudain conscience quand un spasme secoue son ventre. Elle lui serre la main à lui broyer, sa force décuplée par sa douleur.
Laisse échapper une longue plainte. Les contractions reprennent de plus belle, le cycle de l'accouchement momentanément interrompu par la perte de connaissance ayant repris.
Respire , pousse , allez bat toi . Serre fort ma main .
Il crie à destination de l'autre femme attablée non loin.
Volkhva aider moi vite.
Il n'est pas sur de mener les choses à bien tout seul, il a passer sa vie à ôter celle des autres, et voilà que le hasard se joue de lui en le mettant en situation de la donner.
Il cesse de réfléchir , cela ne sert à rien de se poser des questions, il a commencé il faut aller au bout. Cette jeune femme encore presque une enfant a dut endurer bien des choses, elle a le droit à une chance, comble d'ironie c'est lui qui va peut être la lui donner.

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Volkhva a écrit:: Volkhva a un reniflement de dédain. Tiens, elle s'est trompée dans son diagnostic. C'est qu'elle n'y a pas preté l'attention qu'il fallait. Sans doute parce que cette femme ne peut pas être la mère de l'enfant que le Vodyanoï attend. Volkhva l'a cru louve, elle n'est que chat domestique.
Elle jette un coup d'oeil à Garett dont les pieds dépassent du comptoir. Il semble vouloir aider la femme. Il n'en retirera qu'un coup de griffe, et si elle ne meurt pas, un coup de dents plus tard, en reconnaissance.
Pas aider. Elle pas vouloir.
Elle tranche vigoureusement dans le jambon, puis dans le pain, se sert une belle rasade de vin, et commence à déguster son en-cas, regardant pensive vers le lac au dehors.
Le cas ici n'est pas intéressant. Libre de s'en aller , elle se lève, attrape une dernière bouchée de pain. Ce lac est trop grand, le vodyanoï y est , c'est sur. Il faut qu'elle trouve un enfant à lui offrir...

**Shalimar** a écrit:: Shalimar souffrait un martyre bien plus grand que tout ce qu'elle avait enduré dans sa vie. Garett était au-dessus d'elle et tentait tout ce qu'il pouai pour la rassurer. Lui, celui que tout le monde prenait pour un tueur de vie, ce qu'il était sûrement, s'époumonait et semblait lutter avec Shalimar pour qu'elle accouche de cet enfant-miracle.
Il l'encourageait même à serrer plus fort sa main, à respirer...Le faisait-il vraiment uniquement pour l'enfant. Elle tourna alors son regard émeraude vers Garett, un regard emprunt de doutes. Qui était-il vraiment? Est-ce que personne n'avait jamais essayé de le connaître..Elle se rappella une rencontre fortuite, incongrue...indicible...un secret...Puis la douleur la ramena à la réalité. Elle entrouvrit la bouche mais aucun son n'en sorti.Elle se crispa et dans un ultime effort,elle lui parla.
Accouche moi!Je t'en priiie...AAAAaaahh!!

garett a écrit:: L'étrangère était partie sans un mot, refusant tout net de les aider. Drôle de femme, pas de celles que l'on rencontre communément en ville. Elle lui faisait penser plutôt à celles que l'on croisait dans les sombres ruelles de la cour. Mais elle n'avait rien tenter contre lui, il n'avait de raisons de lui en vouloir.
Quelques secondes ses pensées vagabondent, un autre lieu une autre femme au ventre rond, ils l'avaient avortés de force avant de la tuer, on n'exécute pas une femme enceinte avaient ils prétexté..........
Les cris de la jeune femme le sort de sa torpeur.
Accouche moi!Je t'en priiie...AAAAaaahh!!
En souvenir d'elle ,il se doit de le faire. Il prend la trés jeune femme dans ses bras pour aller l'installer sur la tenture que Vokhva a disposé tout à l'heure, la laisse quelques secondes le temps de ramener de l'eau chaude et des linges .
L'heure n'est plus à la pudeur pour la donzelle, il relève la jupe , instinctivement elle écarte les jambes , la sueur ruisselle sur son visage, les larmes inondent ses yeux. Il lui prend la main , pour lui donner un peu de réconfort dans cette épreuve.
Tu doit pousser je ne peut pas grand chose de plus tant qu'il n'est pas sortit au moins un peu.
Il dis cela sans trop savoir si ce sont les bons gestes les bonnes paroles, espérant qu'il fera ce qu'il faut sans en être vraiment sur,mais de toute façon ils n'ont pas le choix.
Les contractions sont de plus en plus rapprochées, cela va sans doute ne pas tarder.
Encore un effort allez , respire , pousse, pense à lui.
Elle lui broie la main , tentant de ne pas crier , mais n'y arrivant pas totalement.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar soufflait tant qu'elle pouvait. La sueur glissait sur son front. Tout son corps se crispait à chaque contraction et elle poussait de toute ses forces, serrant avec vigeur les doigts du pauvre Garett qui endurait la douleur sans broncher.
Elle le regardait et essayait de suivre le rythme de respiration qu'il lui imposait et poussait quand il lui disait de le faire.Elle poussa encore plus fort cette fois-ci,serrant les dents.
Elle sentit la vie se battre en elle pour vivre,respirer...Elle sentait l'enfant lutter lui aussi pour voir la lumière.

garett a écrit:: Accélération des contractions, la jeune femme ruisselle de sueur, ses yeux malgré sa volonté laisse échapper quelques larmes , la douleur semble trop forte pour être contenue totalement.
Elle continue à lui broyer la main, mais la chose lui parait sans importance. Sa douleur semble bien ridicule au regard de la sienne.
Un cri un peu plus fort, une pression sur la main encore plus brutale et il voit l'endroit qu'il surveille entre les cuisses de la femme se dilater, quelque chose commence à apparaître, encore à peine, mais le bébé est désormais tout proche.
Pousse encore ma belle , je commence à le voir, ton supplice arrive à son terme.
Moment fugace un merveilleux sourire s'inscrit sur les lèvres de la jeune femme , juste quelques secondes, car à nouveau elle hurle sa douleur poussant à n'en plus pouvoir ,pour obtenir la délivrance.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar lacha enfin la main de Garett et s'accrocha fermement à la tenture sur laquelle elle est allongée et la déchire par endroit. Elle ferme les yeux si fort qu'elle en voit des étoiles,ses dents serrées la font souffrir et semble faillir à chaque isntants.Elle pousse encore,et encore..Elle ne cri plus...Elle n'a plus la force.Elle se contente de gémir.

OOh!Mon Dieu!Je s...Je su...je suis fatiguée!Je n'y arriverais pas.

garett a écrit:: Bat toi bon dieu, bat toi.
Il avait presque hurlé cette phrase. Les images d'une autre femme se superposait, elle elle voulait vivre avoir leur enfant ,il lui avait prise et en même temps son insouciance, mais celà était si loin maintenant.
Revenant à l'endroit il se rend compte de la brusquerie qu'il a mis dans sa phrase et qu'a son tour c'est lui qui a serré fortement la main de la jeune femme.
Il regarde à nouveau entre les cuisses de la donzelle ,l'enfant dont on commence à voir le haut du crane.
S'adoucissant un peu.
Encore quelques efforts , dans quelques minutes tu pourra te reposer, mais pour l'instant POUSSEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

**Shalimar** a écrit:: Shalimar sursauta légèrement en entendant Garett lui criait après..Elle s'étonnait d'autant d'implication mais il n'était pas de lui poser ces questions.Il lui broyait la main,elle hurla pour le faire lâcher.
AAAaah...Garett, ma main!

Puis elle le vit e radouir et disparaitre à nouveau entre ses cuisses et lui hurler de pousser.Elle se demandait qui accouchait et pour qui la vie de l'enfant importait le plus.Elle s'executa serrant les dents pour ne pas crier et déranger la tranquilité des gens présents dans la taverne qui semblaient n'en avoir cure.Elle poussa donc.

garett a écrit:: AAAaah...Garett, ma main!
Il ne s'était même pas rendu compte de la pression qu'il avait exercé sur la main de la jeune femme, les images se superposaient dans sa tête qui commençait à lui faire mal.
Pardonne moi.
Il fut le premier surpris des mots qu'il venait de lâcher, des excuses, incroyable, il n'avait pas prononcer ces mots depuis plus de 10 ans, depuis qu'il les lui avaient murmurer à l'oreille quand il avait été obligée de.........
Des larmes commençaient à perler au coin de ses yeux, pourquoi maintenant, pourquoi ces souvenirs remontaient ils aussi violament à la surface .
Il fixe toujours obstinément l'endroit d'où doit sortir l'enfant, elle a encore poussé et maintenant la tête est presque totalement sortie.
Sans plus réfléchir il lâche ses mains , les plongent entre ses cuisses pour venir l'aider à sa délivrance.
Pousse encore un grand coup il est là cette fois.
Le ton est un peu sec pour cacher l'émotion qui l'envahit.

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**Shalimar** a écrit:: Shalimar qui regardait Garett remarqua son trouble mais la situation ne lui permettait pas de s'en soucier.La tête était sortie...le travail allait bientôt prendre fin.
Elle souffla puis se remit à pousser de toutes ses forces remerciant le ciel que Garett soit là pour l'aider dans cette épreuve.
Elle suait à grandes eaux.
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh....

garett a écrit:: Elle hurle, poussant de tout ce qu'il lui reste de maigres forces. Le petit corps sort un peu plus ,laissant la possibilité désormais de s'en saisir .
Il réfléchit une seconde ,sur ce qu'il doit faire, donner la mort lui semble à cet instant plus facile que de donner la vie.
Mais elle semble ne plus avoir la force d'y arriver toute seule, mu par une force venue de son lointain passé, une envie impérieuse que l'enfant vienne au monde le pousse à agir.
Il saisit donc le petit corps fragile n'osant trop le serrer, tire lentement vers lui, il est obligé de serrer un peu plus à cause du liquide glissant qui recouvre le bébé. Mais petit à petit il sort, elle pousse une dernière fois en hurlant toute la puissance de sa douleur, l'enfant sort d'un coup d'entre les cuisses de sa mère.
Ça y est ma belle c'est presque finit ,il est sortit.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar après avoir donné ses dernières forces se reposa enfin..Elle reprit son souffle.Le travail été bienôt fini,l'enfant sorti...Elle pouvait enfin se reposer. Elle le regarda épuisée,elle n'avait plus la force de rien.
C'est...c'est fini?...

garett a écrit:: Il tenait l'enfant entre ses mains, encore relié à sa mère par un cordon. Sans être expert en la matière il savait néanmoins qu'il devait le trancher.
Prenant dans sa botte une lame effilée il tranche le lien qui unissait encore l'enfant à la mére.Pose celui ci sur son ventre qui s'est dégonflé l'ayant enveloppé dans le petit morceau de tissus qu'il avait apporté.
Voilà un nouveau mâle parmi nous ma belle .
Au fond de son coeur bat une sourde douleur, un garçon c'est ce qu'elle voulait ........
Chassant ces pensées avant qu'elle ne le dévore, il regarde alentour la tapisserie est couverte de sang et la jeune femme à tout le bas du corps inondée de son sang mêlé à ses eaux.
Je revient je vais aller chercher quelques linges pour nettoyer tout celà.
Sans attendre la réponse il laisse la mère et l'enfant et s'élance dans l'escalier rapidement.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar s'abandonna à la lassitude,reprenant son souffle difficilement.Lorsque Garett lui mit son fils dans les bras sans autre forme de procès.
M..Mais...Garett...qu'est-ce...?Je dois...Où vas-tu?
Elle tenait cet enfant,le sien,qui hurlait tout ce qu'il pouvait.Elle le tenait presque éloigné.Elle ne savait comment se comporter avec lui,mais...n'était-ce pas en partie grâce à lui qu'elle était en vie?L'enfant s'arrête de pleurer et ils se regardent tous deux comme intrigués l'un par l'autre.Ils semblent se jauger et l'enfant tend les bras vers celle qui l'a enfanté,avec un sourire.Cela ne se pouvait...l'enfant était bien trop jeune...et pourtant...Elle le rapprocha de son visage et embrassa avec délicatesse son front...de peur de blesser cet être si fragile.Elle ne l'abandonnerait pas comme l'avait fait sa propre mère. Il était si petit,si fragile...comment ne pouvait-on pas l'aimer?Comment sa mère n'avait-elle pas pu l'aimer il y a dix sept ans?Une larme glissa sur sa joue.

Volkhva a écrit:: Volkhva n'était pas allée loin. Placidement, elle avait attendu devant la taverne, décourageant du regard d'éventuels clients! Dedans, ça avait gueulé fort! Chaque cri avait fait sourire Volkhva! C'est bien, femme, accouche dans la douleur, c'est ta condition! Condition d'accoucheuse, condition de femme, toujours la femme qui encaissait la douleur! Oui, elle en savait quelque chose!
Son esprit voilé revoyait toujours la même scène... une jeune femme défigurée en pleurs, un ruisseau presque gelé, un bébé qu'elle noyait, contrainte et forcée. Volkhva reporta son regard vers le lac...
Allons, il fallait tenter!!
Elle se redressa, entra dans la taverne, où la femme gisait, admirant le bébé visqueux et recouvert de sang ... Elle contempla la scène, sans bouger.
Bébé vivant, et tu vivante. Ca bien.
Elle s'approcha de la femme, mais resta à distance, pour ne pas l'effaroucher.
Il quel nom?

**Shalimar** a écrit:: Shalimar se replia légèrement sur elle-même et prit une attitude protectrice envers son enfant.Elle trouvait la femme étrange et quelque chose en elle la dérangeait.Elle ne se sentait pas en sécurité en sa présence,un sentiment animal. Elle était quelque peu perdue et fatiguée.Elle la regarda s'approcher.
G...Garett!!
Puis la jeune femme lui demanda quel nom elle allait donner à son enfant...C'est vrai....elle n'y avait pas pensé...Quel nom pourrait-elle lui donner?Peut-être celui de son accoucheur mais il trouverait sûrement que c'est de mauvais goût.Elle réfléchit un instant.

...Michaïl...
[Hrp] Prononciation russe pour un nom russe Mira-il. [hrp]

garett a écrit:: A L'ETAGE
Bon voyons voir une paire de drap devrait faire l'affaire se dit il, l'aubergiste serait certainement furieux, mais cela l'amusait plus qu'autre chose, qu'il ramène sa grande gueule le jeune coq et cette fois il ne s'en sortirait pas indemne.
La première porte est fermée à clef, il ne va quand même pas l'enfoncer, il passe donc à la suivante, fermée également.
G...Garett!!
Il lui semble entendre la voix de la jeune femme l'appeler en bas, un peu paniquée. Elle a beaucoup souffert dans l'accouchement et se retrouver seule même quelques minutes doit l'inquiéter.
Et puis merdee.
Un grand coup de botte fait céder facilement la serrure, léger sourire, peut être va il troubler les ébats d'un couple......mais non la pièce est vide et le lit fait.
J'arriveeeeeeee cri t'il suffisamment fort pour qu'elle l'entende.
Défaisant en hâte le lit, il s'empare des draps, qu'il ne juge pas de la première fraîcheur, mais au moins ils semblent propres. Sur une commode un pichet et une cuvette, il les prend également celà pourra servir pour nettoyer la femme et son enfant.

Volkhva a écrit:: Мичаил
Le nom est joli. Comme un Dieu.. Volkhva approuve. Cela donnera t-il plus de valeur au bébé, aux yeux difficiles du Vodyanoï ? Possible. A voir.
Elle lève la tête, écoute à l’étage l’homme Garett qui semble se battre avec une porte, au vacarme qu’il fait. La porte semble avoir perdu le combat, on l’entend claquer violemment contre le mur ! L’homme lui plaît bien, à Volkhva. En d’autres temps, d’autres lieux.. Au dehors, le temps s’est rafraîchi…
Elle secoue la tête, reporte son attention sur le couple, la femme épuisée gisant à terre, et le bébé encore visqueux.
Bébé froid. Tu protéger pas ?
Elle attrape dans sa besace un petit lainage écru très doux, dont elle enveloppait Lubka. Elle le déploie, le montre à la jeune mère, souriante.
Ca chaud ! Bébé plus froid ! !
Elle agite le lainage, se caresse la joue avec, voulant prouver à la femme que c’est vraiment agréable à la peau ! Et elle se lève, jette un regard à l’escalier où Garett ne va pas tarder à apparaître, on entend ses pas dans le corridor à l’étage, il revient.
Alors elle se penche, souriant, vers la femme, le lainage en évidence pour la rassurer.
Moi, chaud bébé !
Elle écarte les mains de la mère de son enfant, pour l’emmitoufler chaudement de l’étoffe. Comme Garett arrive presque en haut de l’escalier, Volkhva attrape l’enfant, l’arrache du giron de sa mère, le serre contre elle, et saisissant au passage sa besace, s’enfuit soudain.

garett a écrit:: Il a récupéré tout ce dont il à besoin, il se dirige vers l'escalier ,en bas il discerne maintenant , plusieurs voix , dont une qu'il reconnaît facilement celle de la femme de tout à l'heure , l'accent était assez prononcé pour ne pas passer inaperçu.
Elle a dut se raviser et venir les aider, un peu tard, mais le geste est là.
Au milieu de l'escalier un cri , s'élève d'en bas.
Nonnnnnnnnnnnnn, pas le bébé.
Dévalant l'escalier , il rejoint la jeune femme, qui hurle en pleur. Il voit de suite la raison de ses cris, le bébé a disparu.
Il cherche rapidement dans la pièce qui est vide , l'autre femme s'est volatilisé , la porte est grande ouverte. Aucun doute possible , elle a pris l'enfant.
Sans plus réfléchir il se précipite , passe la porte , cherchant du regard l'étrangère, il la voit dévaler la rue droit vers le lac, avec une bonne longueur d'avance sur lui. Elle serre dans les bras un petit paquet qui hurle tant qu'il peut, aucun doutes sur sa nature.
Il part sans attendre à sa poursuite, une question tourne dans sa tête ,.
Pourquoi?

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Volkhva a écrit:: Elle court, sa besace tapant contre sa hanche, le bébé serré contre elle, l’étoffe laineuse rabattue sur son visage, pour couvrir ses pleurs !
Et il pleure à plein poumons, secoué qu’il est par la course rapide ! Volkhva le tient au plus serré, tenant sa tête pour qu’elle ne ballotte pas, rasant les murs pour ne pas être vue. Si Garett la suit, et elle en est persuadée, il a un peu de retard sur elle, mais si peu !
Elle n’ose aller plus vite pour ne pas blesser le bébé, mais fait tout de même aussi vite que possible ! Le Vodyanoï ne voudra pas d'un bébé abimé. Lubka était parfaite!! Le bébé de l'échange doit être parfait! Elle suit la pente douce qui l’amène au lac, court en se cachant dans l’ombre d’une rangée d’arcades, se penche derrière une palissade.. Elle court toujours, droit vers le lac quand enfin elle arrive plus près !
Et enfin, elle entre dans l’eau ! Sa course s’achève dans une gerbe claire sur l’eau sombre du lac ! Avec ça, le Vodyanoï sait qu’elle est là ! De sa voix rauque brûlée jadis par le feu, elle l’appelle !
Есприт! Esprit ! ! Je suis là ! J’ai un présent pour toi ! Accepte ce bébé ! Prends ce bébé, et rends-moi Lubka ! Rends-moi ma fille ! ! Tu n’as que faire de tant d’enfants ! Ce petit en échange de ma fille ! ! Rends la moi ! Je t’ai donné ma fille par erreur, par faiblesse, par soumission ! Rends moi Lubka, et prends Michail ! ! Comme Un Dieu ! ! Prends le ! !
Pendant sa supplique, elle a débarrassé le bébé, qui s’est mis à hurler, de son cocon de lainage douillet. L’étoffe flotte devant Volkhva qui espère que Lubka la verra, la reconnaîtra et viendra. Elle tient le bébé nu devant elle, encore hors de l’eau, attendant un signe, immergée sans prêter attention aux eaux encore glacées du lac . Elle sanglote sa supplique, mère infanticide, folle de douleur !
Une cavalcade sur la rive… C’est Garett !

garett a écrit:: Elle a pénétré sans hésitations dans le lac , l'eau jusqu'à la poitrine,ses vêtements flottant autour d'elle, elle tient le bébé à bout de bras.
Psalmodiant dans une langue qu'il ne comprend pas, le visage inondé de larmes, ces cris mêlés à ces sanglots révèlent une profonde douleur.
Arêtteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Il a hurlé en arrivant au bord , stoppant net sa course, s'il l'attaque à cet instant, elle lâchera le bébé et s'en sera finis du nourrisson.
Je t'en prie arrête, pourquoi fait tu celà?
La femme se retourne vers lui , le regard est étrange, comme si elle avait perdue la raison, mais en même temps tellement empli de douleur ,qu'il en est retourné. Que se passe t'il donc dans la tête de cette femme pour qu'elle en vienne à vouloir noyer ce bébé.
Revient rend le bébé, je te laisse partir.

Volkhva a écrit:: Elle se retourne, se demande furtivement s'il peut l'aider. Mais non.. Il faut qu'il reparte, il faut qu'il la laisse faire, il faut qu'elle aille jusqu'au bout!
Je pas donner bébé. Tu partir!!! Tu partir!!!
Elle regarde Michaïl avec tendresse, petit d'homme à la peau encore visqueuse, qu'elle tient au dessus de l'eau sous les aisselles, les doigts joints retenant sa nuque. Elle reporte son regard perdu sur Garett. Et explique, de sa voix brûlée dans un ancien incendie vengeur!
Tu rien savoir! Je donner bébé Vodyanoï! Il esprit des eaux!Il vouloir hommes morts dans eau, femmes mortes dans eau, bébés morts dans eau!
Avant, je avoir bébé! Fille! Lubka! Et je faire Lubka mourir dans eau! Je forcée!! Je pas vouloir, pas vouloir!! Mais je forcée!! Steva forcer je! Après, je mettre feu à maison Steva! Steva mort! Je aimer Lubka, vouloir revoir Lubka! Je vouloir donner autre bébé à Vodyanoï, pour il donner Lubka à je! Echange!! Tu partir!
Au départ, elle sanglotait, mais expliquer la renforce dans sa résolution! Elle reste face à Garett, recule encore dans les eaux, sa besace pleine d'eau flottant entre deux eaux .

garett a écrit:: Elle lui explique dans un langage approximatif ses raisons. Il reste interdis quelques secondes, comme cette femme dois souffrir de son geste, c'est pathétique de la voir ainsi vouloir récupérer sa fille à n'importe quel prix.
Attend laisse moi t'aider, regarde je ne te veut aucun mal la preuve.
Il ôte de ses bottes ses deux dagues , les plantent dans le sol, son épée va les y rejoindre. Dans un autre contexte il apprécierais le piquant du jeu ,le risque insensé, le défi à la mort, mais là il le fait simplement pour sauver l'enfant.
Je n'ai plus d'arme, tu vois . J'approche ne craint rien je ne te veut pas de mal. Tu te trompe , ce n'est pas ainsi que tu pourra trouver le repos de l'esprit.
Se désarmer ainsi est pure folie, elle est armée et sait visiblement s'en servir, mais que faire d'autre pour tenter de la convaincre de ne pas commettre l'irréparable, il veut sauver l'enfant , s'il peut le faire sans la blesser il le fera , autrement...............

Volkhva a écrit:: Elle ne comprend pas tout ce qu'il dit, mais le ton est posé. Sans doute se veut il apaisant. Mais elle ne veut pas être apaisée! Elle ne veut que sa fille! Rien d'autre ne l'apaisera!! Sa vengeance par le feu n'a servi à rien! C'est de l'eau que viendra le soulagement, la fin de l'histoire.
Il ôte ses armes, et elle a un rictus amusé. C'est mieux pour lui s'il ne veut pas couler à pic en entrant dans l'eau.
Elle commence à sentir le froid l'engourdir, saisir ses jambes et les tétaniser. Ses jupes flottent en corolle autour d'elle , ample méduse sombre.. Ses sandales de cuir semblent ne faire qu'un avec sa peau, mais une sorte de sable s'infiltre à l'intérieur, et elle s'étonne d'y prêter attention, alors qu'elle va peut etre réaliser l'échange primordial.. Elle regarde Garett, et elle regarde ses armes plantées dans la berge.
Tu attraper bébé avec langue? Tu parler pour je donner bébé tu? Niet!
Sa voix rauque se voudrait moqueuse, mais elle est juste tendue. Volkhva a peur d'échouer, et peur d'être empêchée. Si ce Garett voulait bien partir...
De combien de temps dispose t-elle pour noyer Michaïl, avant que Garett n'arrive jusqu'à elle?
Combien de temps a t-il fallu à Lubka pour mourir? Pour enfoncer sa tête, la regardant se débattre sous l'eau glacée du ruisseau, à travers ses larmes , tandis que Steva la menaçait? Il semble que ça a été long... si long! Elle revoit encore et encore les yeux terrifiés de sa petite fille pendant qu'elle appuie sur son torse menu bleu de froid, et ses petites mains battant dans le vide pour saisir le salut, mais ne trouvant que le vide..
Elle recule encore, pour se gagner du temps! Mais une pierre, un rocher, ou un détritus volumineux, elle ne sait.. elle trébuche, s'engonce dans ses jupes flottantes, s'empêtre dans sa gibecière, et elle tombe à la renverse! Sale coup du Vodyanoï! Elle peste, l'eau s'infiltre dans sa bouche. Elle se débat pour résister au Vodyanoï qui surement veut la prendre. Dans ses gesticulations, elle a laché le bébé...

garett a écrit:: Il avance très lentement vers la femme, mais celle ci semble déterminée a ne pas vouloir transiger. Il lit dans son regard un mélange de détermination et de douleur.
Elle est prête à tuer le bébé, pensant récupérer sa fille qu'elle à visiblement tuée, cela le bouleverse à un point qu'il ne croyait plus possible, tant avec les années il s'était forgé sa carapace.
Comment faire la situation semble désormais sans issue .
La chance ou le hasard viennent à cet instant modifier la donne, le femme en reculant trébuche, part à la renverse disparaissant sous l'eau, mais surtout elle lâche le bébé dans un réflexe pour se rattraper.
Sans plus réfléchir, il se précipite , comblant en un bref instant les quelques mètres qui les séparent, attrape l'enfant qui était déjà entre deux eaux, le cale au creux de son bras.
Il s'apprête à tourner les talons quand la femme surgit de l'eau , bouche ouverte cherchant de l'air, il la repousse violemment, la faisant chuter à nouveau à la renverse. L'idée de tenter de la tuer lui traverse l'esprit , la noyer en profitant de son avantage, mais ils ont en commun cette profonde douleur issue du passé, pour cela il l'épargne.
Sans le savoir pour des raisons et dans des circonstances différentes ils ont commis le même acte, tuer leur enfant, l'un né , l'autre à naître, mais la douleur est sans doute identique.
Sans plus attendre ,il se retourne, sort de l'eau précipitamment, se met à courir en direction de l'auberge afin de ramener l'enfant à sa mère.

Admin Nombre de messages : 255 Age : 60 Date d'inscription : 24/07/2007

Volkhva a écrit:: L'eau glacée s'infiltre dans sa bouche, ses yeux, ses oreilles.. Elle réalise soudain que le bébé n'est plus dans ses mains, et d'un coup s'affole! Elle sort de l'eau, avale une bienfaitrice goulée d'air, et sans comprendre, se sent repoussée dans l'eau, où sa dernière bienfaitrice inspiration se transforme en douloureuse absorption .. l'eau dans ses bronches la brûle et elle ressort en crachant, ses yeux furieux cherchant l'homme.
Il est déjà en train de courir sur la berge, et elle ne se lance pas encore à sa poursuite. Elle se dépêtre de sa gibecière alourdie par l'eau qu'elle retient, la jette sur la rive, où elle tombe avec un bruit mou aux côtés des armes de Garett qu'elle éclabousse. Elle sort, transie et dégoulinante, totalement folle de rage. Repoussant ses cheveux collés à sa peau comme des algues , elle réfléchit.
Dans sa gibecière, elle empoigne son kindjal, et regarde là où l'homme à fui. Il ramène sans doute le bébé à sa mère. Soit. Ce bébé n'était pas le bon, Volkhva l'avait pressenti au départ. Mère trop coléreuse, et cette mort, presque mort, avant l'accouchement... Elle veut se venger de Garett, qui ne comprend rien, qui ne sait rien.. bien qu'elle sache que la vengeance est absurde, elle l'a bien vu la nuit du grand incendie. Mais elle doit l'écarter, car elle tremble qu'il l'empêche à jamais de mener sa quête à bien.
Un regard au lac, où l'esprit des eaux devra attendre.. Elle suit Garett, de loin, lentement, crachant encore de l'eau, poumons douloureux, rage aux yeux, coeur en deuil éternel.
Sa jupe de laine imbibée colle à ses jambes, elle se débarrasse d'elle , reste en jupon. Le lin colle aussi, mais plus léger, ne l'entrave pas.
Elle remonte la rue vers l'Antre, incertaine de sa route, suivant seulement les gouttes d'eau luisantes que Garett a semées durant sa course.
Sur la berge, une épée et deux dagues, une gibecière et une jupe de laine trempées attendent que le destin décide duquel des propriétaires pourra revenir chercher son bien.

garett a écrit:: Il court sans se retourner, sur qu'elle le poursuivra, il est désarmé, l'affronter dans ces conditions serait pure folie.
Il a encore joué ,un jeu dangereux, un jeu ou sa vie est l'enjeu.
Rapidement il rejoint la taverne, la jeune femme s'est traînée tant bien que mal jusqu'à l'entrée une dague à la main, en pleure, criant sa détresse que l'on lit également dans ses yeux.
Il entre se heurtant presque à elle , essoufflé légèrement, elle se précipite vers lui pour saisir l'enfant le serrer dans ses bras.
Ne reste pas là elle va venir d'ici peu, donne moi ta dague et fuit par derrière si tu le peut, va mettre l'enfant en sécurité je couvre ta retraite.
Elle le regarde étonnée, n'opposant pas de résistance quand il lui prend la dague des mains.
Mais et toi.........
Il pose son doigt sur sa bouche, pas le temps de discuter , écoute ce que je te dis, sauve ton fils, et prie pour moi.
Sans attendre sa réponse il la pousse vers l'intérieur , lui sourit pour la rassurer sur l'issue, mais pour sa part il n'est pas sur que cette fois il s'en sortira.
Fermant la porte derrière lui pour mettre fin à toutes discutions, il redescend les quelques marches jusqu'à la rue, il la voit remonter celle ci , arme à la main. Il a quelques secondes avant qu'elle n'arrive, il se débarrasse de son pourpoint mouillé alourdit par l'eau et qui le gène dans ses mouvements. Sa meilleure chance reste sa mobilité, il veut ne rien négliger.
S'il lui expliquait comprendrait elle, il peut au moins essayer.

**Shalimar** a écrit:: Shalimar regardait cette femme qui ne lui inspirait pas confiance. Une minute dévagation,une seule.Un regard qui s'était trop attardé et l'enfant déjà ne pleurait plus dans bras.La vie qu'elle tenait avec affection lui avait été volée. A cet instants tous ses doutes convernant cette étrangère se confirmèrent.
Ooh..Non...non...mais que fait-elle?Mon bébé...Mais que fait-elle?
Des mots sourds car déjà la furie s'échappe de la taverne comme si elle avait le diable aux trousses et Garett qui revient enfin et se lance à sa poursuite.
Ga....
Encore une fois trop tard, cet embryon de nom s'évapore dans le silence de la taverne. Les rares personnes présentes restèrent muettes,personne ne protesta et ne proposa son aide.Shalimar était habituée à l'indifférence. L'anéantissement de la toute jeune mère était visible,même palpable mais sa vie ne l'avait pas forgé à être une faible. Elle prend de grandes respirations et s'aide des tabourets du comptoir pour se relever. Le premier essai est un echec. La tabouret chut et lui heurte l'épaule,pas assez violement pour la briser mais assez pour la blesser. Elle gémit et respire encore profondément pour tenter d'éradiquer la douleur de son esprit,son corps,sa vie n'avait plus la moindre importance. Après quelques minutes ,elle entreprit une nouvelle fois de se relever. Le tabouret ne vacilla pas et elle parvint à se relever. Il lui sembla à plusieurs reprises que ses dents étaient sur le point de se briser tellement elle les maintenanait fermement serrées. Une fois debout elle fut prise de quelques vertiges mais parvint à retrouver une partie de ses forces. Elle chercha des yeux sa lourde cape...Il était évident qu'une femme seule et enceinte,si jeune de surcroît ne voyagait pas sans garantie,ses seuls poignards ne suffisaient pas. Elle avait cousu ,à l'intérieur de cette cape,un fourreau de cuir à son épée,gage de son ancienne appartenance à la chevallerie,ainsi que son arc,le seul ami fidèle de ses longs voyages.. Elle ne la trouvait pas. Quand enfin Garett éssouflé et mouillé jusqu'aux os se précipite dans la taverne et la bouscule. Sans qu'il ne s'en apercoive ou n'y prête atention, elle s'était emparée de sa cape qui gisait sur le sol,prêt d'un fut de bière. Il lui rendit son enfant et la poussa à l'étage pour l'enfermer dans une chambre.
Elle n'en croyait pas ses yeux.
Mais...et toi..?
Une réponse enfin à ses mots mais bien trop décevante.Cela ne lui convenait pas.Il disparait encore sans lui laisser le temps de répondre. Elle tient son enfant qui pleure appeuré par ses récents évènements. Un bébé,un être si fragile et si fort à la fois..Il avait survécu à bien des choses,cet enfant était bénni par les dieux. Elle l'enveloppa dans une lourde couverture et ammassa une pile de draps sur le sol et en fit un couffin de fortune. Elle le dissimula derrière une lourde commode...personne n'irai voir là. Elle emmitoufla le nourrison dans sa cape,une fois l'épée retirée de son étui et déboucha une petite fiole en cristal,une fumée argentée en sortie,elle la passa à plusieurs reprises sous le nez de l'enfant,elle savait la substance innofensive. L'enfant devait rester calme et surtout...se reposer enfin après toutes ses épreuves.L'enfant s'endormit presqu'aussitôt.
Shalimar le regarda et baisa son front.
"Maman ne t'abandonne pas..Je t'aime...souviens t'en.." chuchotta t-elle.
Puis elle ouvrit la porte et se précipita dans les escaliers,épée aux hanches et arc à la main. Elle rallentit la cadence et se dissimula derrière les lourds pillers de bois qui soutenait la bâtisse. Elle poussa très silencieusement l'ajour de la taverne et pointa son arc en direction de Volkvha, mais sa vue brouillée par la fatigue l'empêcherait d'être aussi précise qu'à l'accoutumée. Elle baissa donc son arc,de peur de blesser Garett et observa la scène.
Après quelques instants,elle se dit que sa présence n'était pas requise et s'enfuit avec son bébé.